Salem et bonne lecture...
Dans la peau de Zahera...
1 month later...(sisi l'anglais, zayra ? oui ! TG )
"1 mois, 1 mois que vous êtes partis et que vous avez laissé Wassila toute seule, toi Khalti, toi qui s'est occupée de moi pendant des années, tu me manque tellement, tu t'es occupée de moi comme ma propre "mère" n'a jamais su le faire, tu m'as aidé, tu m'emmenais chez le médecin pour mes "problèmes" (Azhar et Intissar si vous vous en souvenez), toi qui me soignais quand je me faisais tabasser par eux. Et toi Mamar mon frère partis trop tôt avocat à l'international, c'étais ton projet, mdrrrr tu te rapelles quand tu m'as dis que t'allais faire une remise à toute la cité, c'était un peu méchant mais bon mdrrr je suis là, et je rigole toute seule en pensent à nos délires nous 3 avec Wassila , tu te rappelles lorsque tu as mis de la teinture de le shampoing de Wassila, zehma elle kiffais la sirène Ariel et elle te soulais avec ptdrrr tu lui as dis voilà tu lui ressemble maintenant casse toi ma sirène ptdrrrrrr on étais morts et tu t'es fais hagar par Khalti avec le balai, tu lui avait dis zehma mais c'est pour lui faire plaisir et même toi tu kiffes la fraise... putain c'est chaud, tu étais autant con qu'intelligent, tu as toujours essayé de combler l'absence que Rachid Allah ou Rahmeh, j'écris, j'écris sur mon carnet je gratte le papier, vous me manquez, j'essaie de me montrer forte devant les autres surtout devant Wassila mais une fois seule l'histoire est différente, vous me manquez, l'encre de ma plume coule à cause de mes larmes qui gouttent sur la page. Je pleure, tous le monde pleure, j'ai mal, mon cœur souffre de cette douleur qui est présente mais qui s'est endormie mais là, elle s'est réveillée j'ai trop mal, je pleure, je pleure votre absence, voilà 1 mois que vous êtes sous terre, dans votre pays, on doit être content vous n'avez plus à supporter cette vie pleine de hram, vous êtes en paix, près de lui. Mais vous me manquez, comme on dit si bien c'est les plus belles fleurs qu'on cueille en premier et vous êtes ces fleurs, aujourd'hui les Hommes pleurent votre morts mais les Anges se languis de votre arrivée."
"Les passagers du vol 2568 en direction d' Orly sont appellés à rejoindre la porte 6 ."
La voix de l'hôtesse me coupe dans mon inspiration . Je ferme mon carnet, en essuyant les larmes qui carressent mon visage. Ils sont partis mais ils sont heureux maintenant et surtout en paix, c'est ça, je sais que la perte de quelqu'un est dure mais il ne faut pas être égoiste et pleurer sa mort même si c'est naturel, on pleure car maintenant on doit apprendre à vivre sans, c'est pour nous en fait, pas pour elle, il faut être content car dorénevent elle est en paix sans se soucié de ce que le monde nous réserve, du hram la plupart du temps, des tentations, ils sont en repos maintenant et heureux du moins je l'espère...
Je me lève et prend ma valise, je vis Wassila qui semblait être dans ses pensées, je l'appela mais elle était loin, je claqua des doigts devant son visage ce qui sembla la réveiller.
- Wawa ? lui répondais-je avec un sourire compatissant
Elle : C'est l'heure ? me répondit-elle avec une voix d'enfant
Moi : Hmm allez on vas rater notre vol !
Elle se lève et prend son baggage, avança et en baissant la tête malgré cela je vis quelques larmes miskina , je l'attrappa par le bras, elle se retourna et je la serra dans mes bras, je la serrais fort, fort, fort comme pour lui transmettre tous l'amour et l'attention dont elle avait besoin, et elle me serra plus fort dans mes bras tel une enfant qui serrai sa maman, elle semblait avoir peur que je m'envole, elle peurait elle lâcha toutes les larmes de son corps sur mon épaule quand....
hum hum !
On se retourna et on a vu Yanis qui regardais Wassila d'une manière chelou mais on ne fit pas attention sur ce coup et nous dit : " Les filles c'est pas bien de pleurer, en plus on va rater l'avion !"
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Assassin Malgré moi [ EN PAUSE ]
AcciónDepuis ton départ rien ne va plus. Pourtant j'ai tout causé comment vais-je tourner la page ? Elle pensais pouvoir s'en sortir de la misère mais elle s'y enfonce.