Agent Spéciale.

Chapitre 27..

-Je suis Mélanie Westone, le lieutenant Westone. Vous allez me le payer, mes collègues vont arriver. Grognais-je.

-C'était pas compliqué! Mettais la fille dans l'autre pièce et laissez nous seul un moment, ce sera votre tour après! Sourit-il.

Il me prend par le bras me forçant à me lever, il me détache le pied et m'attache les poignets à l'attache la plus haute. Il commence à me déshabiller, il prend un fouet et me fouette! Je hurle de douleur.

Après m'avoir frappée, il me viole, encore une fois. Je me débats de toutes mes forces mais il me maintient avec ses grandes mains. Il me sert tellement fort que j'ai la trace de ses mains, j'arrive à lui mordre la main, j'y mette toute ma force et la colère que j'ai en moi.

Quand il a finis de s'occuper de moi, il appelle ses hommes qui se chargent de moi. Je n'ai plus de force mais jambes vacillent, ils me détachent les mains et je tombe par terre, avant de partir ils m'envoient des coups de pied en plein dans le ventre.

***

Je reprends mes esprits beaucoup plus tard, je ne suis plus attachée. J'en profite pour aller libérer Diane.

Je me lève difficilement, j'entrouvre la porte, je ne vois personne.
J'avance doucement dans le couloir, j'arrive devant la porte et l'ouvre. Je rentre à l'intérieur et referme la porte.

-Qu'est-ce que tu fais la? Demande t-elle.

-Je suis là pour te faire sortir d'ici! Dis-je en enlevant ses attaches.

-Merci! Mais comment on va faire pour sortir de la sans se faire repérer? S'inquiète Diane.

-Je fais diversion et tu prends la voiture garée devant. Je reste ici et toi tu vas prévenir la police. Lui expliquais-je.

-Attend! Tu vas rester ici? Je ne vais pas y arriver et s'ils me suivent? Panique t-elle.

-T'en fais pas pour ça, ne panique pas. Tu prends la voiture et tu roule jusqu'à l'adresse que je te donne. Je m'occupe du reste, fais doucement sur la route! Tu peux le faire.

-Ok, je peux le faire.

-Allez faut qu'on y aille, sinon on va se faire repérer.

On avance dans le couloir, on arrive devant la porte. Je l'accompagne à la voiture et lui fais un câlin.

-Je suis désolée pour tout, j'espère que tout ira pour toi maintenant.

-T'en fais pas, tout est oublier prend soin de toi, je serais prudente.

Elle démarre la voiture et pars en trombe, c'est à ce moment que les hommes de Salomon me tombent dessus. Il me ramène à nouveau dans la salle où je me fais à nouveau frapper.

***

PDV Diane.

Je roule à toute allure, je me rends vers l'adresse indiquée. Mélanie m'a surement sauvée la vie, je lui suis reconnaissante. Je me concentre sur la route, les gens roulent comme des fous. En arrivant à l'adresse je gare la voiture en face de l'entrée, il y a des beaucoup de personnes dehors, je cours dans leurs direction quand une voiture me percute.

Je suis allongée au sol, j'ai mal partout, du sang coule. Tout le monde accourt vers moi, j'entends l'ambulance au loin.

-Madame vous m'entendez? Demande un jeune homme.

-Mélanie est... Danger. Sauver... Réussis-je à dire.

-Ne dites rien, l'ambulance arrive. Dit un autre homme.

-Attendez vous avez dit Mélanie? Me questionne le premier homme.

Je hoche la tête du mieux que je peux.

-On va la chercher, elle est en danger? Elle va bien? S'inquiète t-il?

-Danger... ils sont méchants... Vite... Besoin... Aide...

L'homme me fait un sourire et court vers le bâtiment. Les secours sont arrivés et me prennent en charge. Je me sens plus légère, ils m'ont surement donné un médicament, il me fait planer...

***

PDV Jonathan.

J'ai réunis tout le monde. Elle est en danger, il faut agir tout de suite.

-La jeune femme qui c'est faite renversé est Diane Cooper, c'est sans doute Mélanie qui l'envoie. Dis-je à mes collègues.

- Vous ne savez même pas si c'est elle qui l'envoi, elle vous à peine adresse la parole, elle est peut être même sous le choc de ce qu'il lui arrive. Rigole un collègue.

-Si vous ne voulais rien faire j'irais seul! S'il lui arrive quoi que ce soit je vous tiendrais tous responsable! On a établit un plan, il est parfait. On peut maintenant agir comme convenu au lieu de rester assis ici à parler. M'énervais-je.

-On part dans dix minutes, demande du renfort au cas où. Nous avons assez attendu. Coupe le commandant.

Tout le monde se disperse pour chercher leurs affaires. Le commandant me sourit et me dit que j'avais raison de m'énerver un peu.

-Il a beaucoup de flemmard dans cette équipe! Je ferrais le nécessaire dès que le lieutenant Westone sera à nouveau parmi nous. Me rassure t-il. A présent préparer vos affaires on décolle dans quelques minutes sauver notre collègue!

Je profite de ses quelques minutes pour téléphoner à sa famille, je sais qu'ils sont tous ensemble en train d'attendre mon coup de téléphone.

~Conversation téléphonique~

-Allo?!

-On part la chercher dans quelques secondes. Je vous tiens au courant des que je pourrais. Tout va bien se passer.

-Ramenez ma fille vivante et en un seul morceau, s'il vous plaît.

-Je ferrais mon possible. J'ai du secouer l'équipe pour qu'on se mette en route, j'ai l'impression qu'elle n'est pas encore intégrée ici, j'ai réussi à faire bouger les choses.

-Je vous remercie, je suis heureuse que vous fassiez tout cela pour ma fille.

-Je dois vous laisser, je vous donne des nouvelles dès que possible.

~Fin conversation téléphonique~

***

PDV Caroline (mère de Mélanie).

Je repose le téléphone toute tremblante. Mon mari me prend dans ses bras et me fait assoir avant que je ne tombe.

-Ils se mettent en route. J'espère que tout va bien se passer. J'ai tellement peur de la perdre.

-Ça va aller, elle est forte notre Mel'. Je suis sûre qu'elle ne se laisse pas faire. Me rassure Alice.

Je suis contente que Alice et Arnaud sois la. C'est un grand soutien de les avoir près de moi, ils essayent de me faire penser à autre chose, de me rassurer.
Raphaël aussi est présent, il n'est pas dans son état normal. Il est assis, le regard vide et ne dis pas un mot. Je sais qu'il aime ma fille, je suis mère j'ai vu tous les signes depuis longtemps.

Je me mets assis à côté de lui et lui prends ses mains.

-Elle va s'en sortir, on l'aura bientôt dans nos bras. Dis-je.

-J'espère.

***

PDV Raphaël.

Je suis complètement perdu, j'ai peur pour elle. Je ne voulais pas qu'elle se mette en danger, je ne voulais pas qu'elle infiltre ce réseau. Je devrais être avec la police pour la ramener dans sa famille.

Je vois très bien que sa mère essaye de me réconforter mais t'en que je ne l'aurais pas près de moi, je ne serais pas bien.
Je sais très bien que sa mère a compris que je l'aimais, ma mère la connais je suis persuadé qu'elles ont divisés de tout ça. Et puis ça crève les yeux que j'éprouve des sentiments pour elle.

Je veux que ce cauchemar se finisse au plus vite.

***