Chapitre 26..

294 19 0
                                    

***

-Claudia! Nous vous cherchons partout, ce n'est pas bien de disparaître comme ça, sans nous prévenir. Dit le patron.

-Je pensais que nous avions reporté notre rendez-vous. Je voulais juste voir comment se porter cette jeune femme. Expliquais-je.

-Donc vous avez juste pris de ces nouvelles. Nous pouvons finir notre entretien maintenant? S'impatiente t-il.

-Je vous suis!

-Veillez à ce que personne ne nous dérange! Dit le patron à ses hommes.

Il ne m'emmène pas dans son bureau mais dans une autre pièce. Dedans il y a très peu d'éclairage, c'est humide et sale. Il me fait assoir sur la table et sors du meuble derrière lui des attaches. A ce moment là, je comprends tout de suite où il veut en venir.

J'essaye de me débattre mais il me maintient fermement les mains pour les attachées au dessus de ma tête. Je me débats avec les pieds mais il les accroche aux menottes qui sont attachées à la table. Je n'arrive plus à bouger, on dirait un saucisson.

Je le vois se déshabiller et ensuite il arrache mon haut de ses mains. Il me prend par les cheveux et m'embrasse, son haleine est dégelasse. Il descend ensuite vers la poitrine jusqu'à mon jean. Il réussit à l'enlever tant bien que mal à cause des menottes et du fait que je bouge. Et finit par enlever ma culotte, il passe ses mains partout et sa langue aussi. Je ne comprends plus rien, j'essaye d'enlever ses attaches mais je n'y arrive pas, même crier ne servirait à rien. Je suis perdu et seule, je ne peux rien faire.

***

Quand il me détache, je le gifle aussi fort que je peux. Je vois ses yeux s'emplir de colère.

-Pourquoi vous m'avez violé? Criais-je.

-Depuis le début tu m'excite, il fallait bien qu'un jour tu y passes. D'ailleurs je sais que tu me caches des choses, mais hommes ont fouillés ton appartement mais ils n'ont rien trouvé. Je me suis demandé où tu avais bien pu les mettre, tu les as peut être détruite. J'ai alors pensé à ta mère c'est peut être là où tu les caches. J'ai cherché et je n'ai malheureusement pas trouvé de madame Miller, enfin si mais elle est morte il y a plus de dix ans. Alors j'ai compris que ce n'étais pas ton vrai nom. M'explique t-il.

-Vous êtes qu'un salaud! M'énervais-je.

-Tu vas me dire ta vraie identité, ton secret. Crache le morceau et maintenant! Crie t-il.

-Jamais! Je m'appelle Claudia Miller, j'ai été adopté par une famille étant jeune et j'ai gardé le nom de ma mère biologique! Mentis-je.

-C'est ça, prend moi pour un imbécile.

Il me rattache à une chaîne au mur, et me donne un grand coup de poing dans le ventre. A ce moment je perds tout mes moyens, je tombe à genoux, j'ai mal!

***

Je reste attachée longtemps dans cette pièce, toute seule. Je ne sais pas quel heure il est, ni quel jour il est. Je sais que j'y suis depuis longtemps, j'ai froid et j'ai mal au ventre et j'ai faim.

J'essaye de libérer les menottes de mon pied, sans succès! J'ai pourtant tout essayé, prendre une agrafe de mon soutien-gorge pour débloquer la serrure, passer mon pied (trop gros) par les menottes. Crier de servirez à rien, il viendrait me dire de la fermer et il me donnerait un coup de poing. J'essaye de garder mon calme, ce qui devient très difficile!

***

PDV Jonathan.

Mardi.
Je n'ai pas eu de nouvelle de Mél' depuis plus de quatre jours. J'ai essayé d'en parler au commandant mais il est trop occupé à faire des interviews à la presse.

Agent Spéciale.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant