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Face cachée
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Sunya - Ib..rahim .. tu fait quoi ici ?

J'ai senti une adrénaline me montais.

Une haine.

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|Sunya|




Ca s'est passé terriblement vite , mais alors là c'était rapide.

Le coup de poing d'Isayah était phénoménale et violent , que j'ai sursauté.

Yan et sa troupe ont du les séparer mais putain que c'était dur de les séparer.

Je ne l'ai jamais vu énervé de cet manière.

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Je l'ai laissé dans son bureau seul , il était très nerveux , qu'il m'a même mal parlé, j'ai pas aimé mais j'ai rien dis.

Je me suis réfugié dans la chambre avec mon téléphone, je devais reprendre mes esprits et calmer mon adrénaline.

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J'ouvre directement sa porte , c'est bon ça fais 1 heures qu'il est a l'intérieur , il était posé de la même manière sur la table.

Isayah - Sort.

- Je v-

Isayah - SORT !

- Mais calme toi , pourquoi tu me parle comme ça ?

Isayah - M'oblige pas a me lever, parce que cette fois-ci c'est toi qui va ramassé, me rend pas violent.

- Isayah , je sais que tu e-

J'ai cru halluciné, il a posé sa main sur ma joue durement, très durement, je crois que ça a résonné dans toute la pièce.

Je ne savais plus ce que je ressentais, ou de la douleur ou du mal , je sais pas mais j'ai eu une envie soudaine de pleurer.

Je pose ma main sur ma joue tout en le regardant larme aux yeux , je ressentais de la peur , de la peur pour .. les hommes .. c'est revenu en grand galop.

C'est tous des brutes , tous. Ils te font montrer une bonne image d'eux et puis ils te mentent et te font du mal , j'avais raison depuis le début , les hommes sont sans coeur.

Je sort de son bureau en claquant la porte comme je l'ai jamais claqué.

Je vais dans la chambre, je l'a ferme a clé et je ferme le dressing ainsi que la salle de bain à clé, de son bureau on peut entrer dans le dressing et du dressing on peut aller a la salle de bain.

Mes larmes ont coulé malgré moi.

Il a osé me toucher alors qu'il m'a promis qu'il le ferais jamais , que jamais de sa vie , il a touché une fille et.. je suis donc la première, pourtant je n'ai rien fais de mal. Je me sentais mal , je devais me défouler, je voulais crié, je voulais faire des trucs inimaginables.

«La guerre depuis ce mariage de riche »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant