On avait passé le reste de l'après-midi sur mon canapé, à regarder des films datant d'au moins une décennie, sans rien dire. Elle n'avait finalement pas vomis, mais son état ne s'était pas non plus beaucoup amélioré. Elle était tellement brulante, qu'elle avait transpiré dans mon maillot et sur mon torse. Mon tee-shirt de foot lui collant à la peau, et ma peu étant trempé, je lui ai proposé qu'elle se change et aille prendre une douche. Elle allait tout de même mieux, mais pas au top de sa forme non plus. Tandis qu'elle partait dans la salle de bain, je partis dans ma chambre, pour lui trouver un semblant de pyjama. Un tee-shirt noir, et un survêtement gris foncé feraient sans doute l'affaire. Je supposais qu'elle s'en foutait pas mal. Puis je pris quelques affaires pour moi, je ne pouvais pas rester comme ça indéfiniment, même si je savais que ça ne lui déplaisait pas. Avec un petit sourire amusé, j'entra dans la salle de bain qu'elle n'avait pas vérrouiller, quelle tête en l'air parfois. Je refermais la porte sans faire de bruit, le bruit de la douche le couvrant. Je voyais l'ombre de son corps à travers le rideaux de douche, et je ne pus m'empêcher de me mordre la lèvre. Elle était... Parfaite. Je n'avais jamais employé ce mot là, mais je croyais qu'en ses circonstance, j'avais bien tout les droits. Elle ne remarqua pas ma présence, pendant que je me déshabillais. Oui, ma petite idée était assez risquée à tenter, mais je savais qu'elle ne me fouterait pas en dehors de la douche, car elle trouverait cette option trop facile pour moi. Je commençais à la connaitre, et je la trouvais vraiment vicieuse.
-Bébé ? L'appelais-je, un putain de grand sourire aux lèvres, en passant ma tête derrière le rideau de douche.
Elle tourna la tête vers moi vivement, son regard interloqué et sa machoire prête à tomber. Elle avait les cheveux mouillée, ce qui allongeaient leur taille jusqu'aux creux de ses reins. Son corps était perlés de goutte d'eau. Elle avait la peau d'un bébé, et le corps d'une déesse. Et là, en la regardant dans cette douche, je me demandais ce qui me retenais de la prendre, debout sous l'eau bouillante.
Elle finit par lever les yeux aux ciels après avoir rougis.
-T'es vraiment un sale gosse, marmonna la jeune lycéenne.
Je ricanais et rentra avec elle dans la douche, glissant mes bras autour de sa taille sous l'eau chaude, elle émit un frisson partagé. Lentement, je l'approcha contre moi, collant nos corps l'un a l'autre. Je savais que ce n'était pas la meilleure des idées pour ne pas la violer sur place, mais je ne pouvais m'en empêcher. Sa peau était lisse et douce comme de la soie, et son corps avait des formes si parfaites, que jamais je ne les aurais imaginer ainsi. Elle laissais tomber sa tête contre mon épaule, et j'eu la plus belle vue du monde à mes yeux. Les gouttes d'eau coulaient dans son cou, pour dévalait sa poitrine, et descendre tout le long du bas de son corps. Je me mordis la lèvre, cette fois sous son regard amusé. Elle ne semblait pas mal à l'aise, elle semblait juste... Inquiète. Je ne voulais pas demander pourquoi et briser le moment qu'on partager. Je l'avais dans mes bras, contre moi, totalement nue, sous une eau bouillante.
Soudainement, sans que je ne m'y attendes, elle se tourna d'un pas face à moi, recollant son corps contre le mien, sa poitrine nue contre mon torse. Elle me regardait droit dans les yeux, et je savais qu'elle en avait envie. Elle me regardait d'une façon si... Troublante. Elle avait son regard plongé dans le mien, et je pouvais pas l'y déloger, sans comprendre pourquoi. Je glissa ma main le long de son dos, pour finalement, lui caresser presque chaque parcelle de son corps, sauf le devant. Ses doigts glissaient le long de mon cou, pour caressait mes épaules, puis mon torse.
Oops. Merde, merde, merde, et remerde !
Je l'entendis émettre un petit rire tandis que je fermais les yeux. Je la sentis se lever sur la pointe de ses pieds, sa bouche à quelques millimètres de mon oreille.
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Before me. Tome 1.
RomanceEPILOGUE : "J'ai garder mes volets fermées, je me suis fermée, j'ai passée tout ça sous le tapis en croyant que ça passerait. Mais on ne passe jamais au dessus de l'absence de quelqu'un, de son rire qui a disparue et de ces actes auq...