Chapitre 10. "Je veux pas que tu me laisses, restes."

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 Zayn m'avait expliquer ce que l'on pouvait faire.

Nous étions assis à la table qu'on avait installer dans le fond de l'entrepot, assis sur des vieilles chaises aux dossiers usée et arracher à quelques endroits à cause de leur anciennetés. L'endroit sentait la clope, et le fast-food, étant donné qu'on avait pas vraiment installée une cuisine tout équipé non dans l'entrepôt. Les garçons s'étaient calmer dans le canapé, et regardait attentivement un film d'action en commentant parfois les enchainement de coups, ou la beauté des filles. Etonnement, ils n'étaient pas venus une seule fois nous déranger. Peut-être avaient-ils compris que pour moi, cette situation était plus qu'une situation de crise ? Surement, ils n'étaient pas si con dans le fond.

Je me frotta le visage avec mes deux mains, et souffla.

-Je vois ce que tu veux dire, mais ...

Je fus coupé par la sonnerie de mon portable, Zayn me regarda perplexe. Fouillant ma poche à la recherche de mon téléphone, je décrocha immédiatement en voyant le nom afficher.

-Allo? Déjà réveillée? Dis-je en me levant.

Je m'éloignais de Zayn, et des garçon, je ne voulais pas qu'on m'entende. Que quiconque m'entende, autrement Rosalie serait surement foutue.

-Oui, bailla-t-elle. T'es où ?

-Pas loin. Tu as faim ? Tu peux commander ce que tu veux, j'ai laisser de la tunne dans ma table de nuit, la prévenis-je en souriant rien qu'en l'imaginant dans la cuisine, tout juste réveillée.

-Ah, merci. Mais pas loin, c'est où ? Insista la jeune fille.

Je soupira, si elle aussi elle s'y met, là on ne s'en sortira pas.

-Je suis partie voir un ami, je suis pas avec une autre fille. Je reviens dans dix à quinze minutes.

-Oh, souffla-t-elle.

Je pouvais deviner très clairement qu'elle était en train de rougir.

-Bébé, je dois te laisser, j'arrive. D'accord ?

-Oui, à toute suite, me dit-elle avant de raccrocher aussi vite.

Je rangea mon portable dans la poche de ma veste en soufflant. Bon, elle n'était pas partis, c'était déjà plutot pas mal.

-Zayn, je vais y aller, déclarais-je en me retournant vers la table.

Il y était toujours et me regardait avec un air plutôt sévère. Je savais qu'il se posait des questions. En faites, il était une Rosalie au masculin, beaucoup trop curieux. Après un long silence d'une minute, qui me sembla durer une éternité, il réagit.

-Bien, je t’appellerai dans la soirée, m'informa le pakistanais tout en s'allumant une nouvelle cigarette.

Je partis, saluant une nouvelle fois les gars d'un signe de main avant de sortir de l’entrepôt assez précipitamment.

Je voulais rejoindre Rosa au plus vite, et pour ça il fallait déjà que je rejoigne la ville. J'en avais pour 15 minutes si j'y allais à ma manière. C'est à dire : grillage de feu rouge, excès de vitesse, esquive des panneaux stops, et autoroute.

**Point de vue de Rosalie.**

Il m'avait quand même laisser seule.

Il avait eut le culot... Mais bon, ceci dit, dès que j'ai appelé il a dit qu'il rappliquait dans 15 minutes. Et si il ne revenait pas ? Rosalie, tu te torturais pour rien là. Je soupira, et monta dans sa chambre pour constater combien d'argent il avait put laisser. Lorsque je m’asseye sur le bord de son lit, et ouvris le tiroir de la table de chevet, ma mâchoire se décrocha. Il y avait une énorme liasse de billet, et de toute sorte. Je n'en revenais pas. Il devait y avoir au moins le prix de ma moto dans ce tiroir. Et peut-être même le prix d'une maison. Non, n'exagèrons rien. Je pris 50 livres, et commanda des pizza pour nous deux. Ne sachant pas ses gout, je pris la pizza jambon fromage qui était universelle, dans le sens où tout le monde l'aimait cette pizza . Moi, je pris une trois fromages. Bon, maintenant, j'attendais le livreur, et Jack.

Before me. Tome 1.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant