Je me sentais coupable. Affreusement coupable. Je savais pourtant, que mes paroles, où les sous-entendus, la blesseraient obligatoirement. Elle est bien trop sensible, pour supporter ce genre de choses. Alors, j'avais tenté, de limiter les dégâts. Malheureusement pour nous deux, son odeur si douce, provoquante, m'était montée à la tête et, j'avais complètement perdu le contrôle. Je ne m'étais pas non-plus douté, que père pouvait tout entendre, de mes bêtises de cette nuit. Mais, ce genre de choses, étaient à prévoir. J'aurais dû m'en douter, depuis le départ. Je soupira, avant de grogner.
C'était Raph, qui lui avait enfilé ses vêtements. Je ne me souvenais plus vraiment ce qu'il lui avait mit, mais je me souviens, qu'il l'avait fait avec une douceur immense, que je n'avais jamais eu envers elle. Quand j'avais vu ça, j'avais envié mon frère. Lui, qui est une véritable brute, la traite avec une telle délicatesse, que je l'envie. Il la fait sourire. Il la fait rire. Moi, je ne fais que de la blesser. De la faire pleurer. C'est plus fort que moi. Je voudrais vraiment, pouvoir la faire rire. La faire sourire joyeusement. Mais, j'ai si souvent eu à la consoler, à la rassurer, que je n'y arrive pas.
Le grincement léger de la porte de mon labo, me tira de mes pensées. Je tourna lentement la tête vers l'intrus, avant de me redresser brusquement. Elle ferma la porte, avant de la verrouiller. Depuis combien de temps, étais-je cloitré dans mon labo ? Elle me regarda, d'un regard vide. D'un regard brisé. Je baissa les yeux au sol, comprenant que j'avais fais une bêtise, à l'importence capitale pour elle. Elle s'approcha de moi, d'un pas déterminé, mais, légèrement hésitant. Elle quitta la veste que Raph lui avait offerte, et la laissa tomber au sol.
- Kai ? demandais-je, en sentant mon rythme cardiaque s'accélérer.
- Les dernières fois, fit-elle en continuant d'approcher, ce qu'il c'est passé, c'était des erreurs.
- Désolé, soufflais-je en continuant de la fixer. J'ai perdu le contrôle.
- Pourtant, continua-t-elle, je ne m'étais jamais sentie aussi bien. Je n'avais plus cette douleur, qui me hante à chaques secondes qui passent.
- Qu'est-ce que tu veux faire ? demandais-je en un grognement, alors qu'elle était maintenant juste devant moi.
- Si je te demande, de recommencer une nouvelle fois, même si ce serait la plus grosse erreur de nos deux vies, le ferais-tu ? demanda-t-elle, en me regardant droit dans les yeux, des siens aussi troublés que troublants.
- Quoi ? laissais-je échapper, alors que sa demande, me surprenait grandement.
- D, souffla-t-elle avec des yeux larmoyants. Je t'en supplies, touches-moi.
Je la regarda avec surprise, alors qu'elle me regardait, en me suppliant du regard. Elle voulait que je la touche à nouveau ? Mon apparence, ne la rebutait donc pas ? Des larmes, roulèrent sur ses joues. Je la tira vers moi, avant de la prendre dans mes bras. Elle passa ses petits bras autour de mon cou, avant de me serrer contre elle avec force. Je la serra contre moi, tout en caressant son dos, en tentant de la calmer. Comme par réflexe, j'enfouissa mon visage dans son cou et, respira son odeur à pleins poumons.
Elle frissonna, en sentant mon souffle sur sa peau. Je souris, avant de la serrer encore plus fort. Sa gêne, parvient rapidement à mes narines, déclanchant le même effet, que toutes les dernières fois. De plus, avec sa poitrine comprimée contre mon torse, et elle assise sur mes genoux, je n'en menais pas large. Pas large du tout. Mon pouls s'accéléra. J'avais à nouveau envie d'elle. Envie de son corps de rêves. Je mis ses cheveux derrière son épaule, dégageant ainsi complètement sa gorge, et la faisant frissonner.
- Donnie.... supplia-t-elle, en se serrant un peu plus contre moi.
Je souris contre sa peau si douce, avant de déposer mes lèvres dessus. Elle frissonna, tout en m'offrant un peu plus son cou. Je n'hésita pas à suçotter sa peau, que j'avais découverte sensible la première fois. Elle se serra encore plus contre moi, tout en se mettant à gémir doucement. Je passa mes mains sous sa chemise, après l'avoir sortie de son pantalon. L'une dégrafa son soutif, alors que l'autre se mit à malaxer l'un de ses seins. Je savais, que ce que nous faisions, n'était pas forcément bien. Mais, je ne pouvais lutter, contre ce qui nous lie. C'est bien trop fort.
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Je préfère le violet [Tmnt fanfic]
ФанфикJe rentrais chez moi. Mais avant, accompagnée de mon ami d'enfance, je décidais de faire un crochet par central parc. La nuit, vu à quelle heure je rentre, il n'y a personne. Je peux donc y aller et, faire tout ce que j'ai envie. Laisser libre court...