Je ne comprenais pas, ce qui avait bien pu lui passer par la tête. Le regard qu'elle avait eut, lorsque j'avais accepté de suivre April, m'avait brisé le coeur. J'avais eu envie de faire demi-tour mais, je ne l'avais pas fait. Sans-doutes, aurais-je dû le faire. Oui. J'aurais dû rester avec elle. Avec cette fille étrange, captivante, mignonne et, incroyablement sexy. J'aurais dû rester avec cette petite tête violette, qui fait battre mon coeur et vibrer mon corps, comme même April, n'avait pas réussi à le faire. J'aurais dû rester avec Kai. Ma petite Kayla.
Je secoua la tête, en espérant pouvoir me concentrer sur la réparation du grille pain. Je soupira. Le regard qu'elle avait eut, m'obsédait complètement et, m'empêchait de penser à autre chose. Le grille pain émit un bruit d'agonie, qui me fit sursauter. Je posa avec force, mes outils sur le plan de travail. Cette petite tête mauve, m'obsédait complètement et, ce qu'il ce passait entre nous, rendait les choses encore plus compliquées. Je soupira vivement, tout en abandonnant. Il fallait que je la vois d'abord.
Je me leva et, me dirigea vers mon labo. Je ne savais pas vraiment, ce qu'il me passait par la tête. Je n'avais jamais été ainsi. Et, j'avais un sal pressentiment aussi. Je soupira. Ce n'était pas vraiment mon style, de faire confiance à mes instincts ou, à mes sentiments. Je faisais tout, par la logique. J'entra dans mon labo, uniquement pour le trouver vide. Je regarda partout, avant d'en sortir et, de la chercher partout dans le salon, la cuisine, ainsi que le dojo. Mais elle était nul part. Elle n'aurait tout de même pas eu l'idée, de sortir toute seule ?
- Vous savez où est Kai ? demandais-je à mes frères, ainsi qu'à Casey.
- Ta ptite-amie n'est plus dans ton sanctuaire ? se moqua Raph.
- Non, sérieusement, soupirais-je en secouant la tête. Elle est où ?
- Elle est sortit du labo peu après April et toi, répondit Leo en me regardant par-dessus son épaule.
- Elle est passée où ? demandais-je.
- Dans la salle de bains, répondit Casey avec un ton inquiet. Pourquoi ?
- Merci, lançais-je en ignorant complètement sa question tout en me dirigeant vers la pièce.
Mon mauvais pressentiment, était encore plus important qu'avant. Je ne savais pas pourquoi mais, mon cerveau était bloqué, sur les images de ses ciatrices. Elle n'aurait tout de même pas fait ça ? Pas vrai ? Je secoua la tête. Ne pas penser à ce genre de choses, afin de ne pas s'inquiéter plus que nécessaire. Je frappa à la porte mais, ce fut le silence, qui me répondit. Je frappa une nouvelle fois, cette fois-ci plus fortement. Un grognement se fit entendre. Je soupira de soulagement. Au moins, elle était toujours en vie.
- Kai, je vais entrer, lançais-je en prenant la poignée.
- Vas-t'en ! répondit sa voix, bien trop faible à mon goût.
- Kai, soufflais-je avant de tenter d'ouvrir la porte. Ouvres-moi, demandais-je alors que je me rendais compte que la porte était fermée à clefs.
- Laisse-moi ! lança-t-elle, des larmes perlant dans sa voix. Retourne avec l'orange !
- Kai ? laissais-je échapper, alors que je ne comprenais ni ses larmes, ni sa colère.
- Dégage ! cria-t-elle presque. Laisse-moi ! ajouta-t-elle d'une voix brisée.
- Qu'est-ce qu'il ce passe ? demanda la voix de Leo, juste derrière moi.
- Rien ! répondit Kai, derrière la porte.
- Ouvres, et on sera fixés, répondit simplement Raph.
Elle lâcha un grognement bestiale, avant d'ouvrir brusquement la porte et, de se précipiter dehors. Elle me bouscula violemment, en passant à côté de moi. La tête baissée, les poings serrés et, une démarche tanguante, je remarqua tout de suite, que quelque chose n'allait pas. Elle continua d'avancer, jusqu'à s'enfermer dans la pièce, qui lui servait de chambre. Je secoua la tête, avant d'entrer dans la salle de bains. Il n'y avait absolument aucunes traces, qu'elle ce soit fait du mal. Mais, l'odeur métallique qui raignait dans la pièce, ne laissait aucuns-doutes.
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Je préfère le violet [Tmnt fanfic]
Fiksi PenggemarJe rentrais chez moi. Mais avant, accompagnée de mon ami d'enfance, je décidais de faire un crochet par central parc. La nuit, vu à quelle heure je rentre, il n'y a personne. Je peux donc y aller et, faire tout ce que j'ai envie. Laisser libre court...