La PUTE

Justice

4 mois plus tard c’était le procès de mon père je voyais mes frères passer 1 à 1 et mentir à la barre. Arriver à la barre ont me temps le Coran et ont me demande de jurer de dire la vérité toute la vérité. J’ai jurer. À chaque question que le juge me posait je répondais avec la vérité. Mon père à battu Rookya à mort parce qu’elle avait fait tomber un vase. C’était ça la vérité et rien d’autres. Mon père va écopé de 26 ans ferme pour meurtre.

Mes frères était fou de rages. Arriver à la maison ma mère et mes frères m’insulte mais je m’en foutait. Le lendemain matin les villageois apprenait ce qui c’est passer. L’avocat de mon père viendras le jour d’après parler d’appel et que cette fois ci de faire attention à ce que je vais dire au juge. Après le départ de l’avocat mon grand frère, ma mère et le chef du village me convoque dans le salon en présence de tous les anciens du village. Ma mère me sort des paroles mielleuse essayant de m’attendrir comme si elle savait ce que c’était la tendresse. C’était peine perdue le chef du village va alors me faire une proposition.

Chef du village : Tes parents vont repousser ton mariage tu ne va plus te marier. À condition de changer tes phrases devant monsieur le juge

Mon grand frère me dit à son tour

Boubacar : Tu pourras venir vivre avec moi au Togo et aller à l’Université la bas

Ma réponse les énervent. Assit à côté de nous l’Imâm du village va me dire à son tour

Imam : écoute ma fille si c’est à cause du Coran que tu ne veux rien dire d’autre que ce qui c’est passer, ne t’en fais pas Dieu te pardonnera car tu le fais pour sauver ton père. Pense à ta mère et tes frères. ‘’

Ma réponse va faire comprendre à mon frère et à tout le monde présent que mon père allait rester pendant longtemps en prison.

Moi : Si Dieu peu ressusciter Rookya je dirais au juge ce que vous voulez.

J’étais plus que jamais décidé à faire payer mon père. Je revoyait tout les jours la scène devant moi. Les cris de ma sœur, son petit corps gisant au sol et ce silence. Et voir que sa mort ne faisait rien à ces gens me dégoûtait. Je me suis dit de toute les façons il me tuerons comme Rookya et je serais enfin libre. Je voulais que mon père ressente ma douleur.

Que lui aussi se souviennent de Rookya l’image de la mort de ma Rookya restera graver dans ma tête. Sa mort va forgées mon caractère et feras naître chez moi ce sentiment qui me sauvera la vie à plusieurs reprises. ‘’La méfiance’’. Le jour de l’appel est là, le moment tant attendu était là. Et le juge n’était pas seul ce que nous allions tous découvrir très vite. Après le deuxième jugement mon père va en prendre pour 30 ans de prison. Les autorités était venu avec un arrêter du préfet. Les policiers du village seront muté en brousse, et un nouveau commissaire va faire son apparition dans le village.

Les vieux du village vont le surnommé (Coudjé mandé) le Diable en uniforme. Aucun parents ne pouvais plus marier sa fille mineur dans le village où interrompre sa scolarité sans raison valable. Les violeurs était battus jusqu’aux os. Les maris violents devait courir autour du village de 8 heures à 16 heures sans manger et cela pendant 3 jours. Ce commissaire était devenue le gardien et sauveurs des filles. La bête noire de tout les anciens du villages. Les mois passait les villageois m’évitait et interdisait à leur filles de me fréquenter sauf Clatoson mon oncle. iL n’avait jamais aimer mon père mais moi et ma sœur étions la prunelle de ces yeux.

C’est d’ailleurs lui qui était partis dénoncer son frère en ville pour avoir assassiner sa petite nièce. Mon mariage lui a été naturellement annuler. Nous tous ont vivait dans la même maison comme des étrangers. Ma vie était devenue encore plus triste. Mon père était en prison mais c’était moi qui souffrait. Ma sœur n’était vraiment plus là et la haine se faisait toucher carrément dans la maison. On auraient pas cru que c’était ma propre mère qui me laissait ces regards médisants. La seul chose qui les empêchait de me tuer aussi c’était la prison. Une vie triste qui allait bientôt changer.

Si seulement j’avais pris ma sœur et m’étais enfuie avec elle comme l’idée m’étais venue