Du cannibalisme?... Non merci !

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Je rentre dans la pièce en demandant si je pouvais entré. Une attitude que j'avais copier chez les gardes de ce fou. À chaque fois que l'un des agents de sécurité voulais rentrer dans une pièce où il était il lui demandait tous s'il pouvait entré. J'ai fait la même chose. Il a été plus que heureux. Il me fait un grand signe de la main en direction de la table à manger. Et la ce que mes yeux découvre me répugne. Même les gardes derrières lui avaient tourné la tête. Au beau milieu de la table de la viande en quantités. Mais ce n'était pas n'importe quelle viande c'était de la chaire humaines. Dans chaque grand plat il y avait un tête humaine qui fumait encore comme ci on venait de le sortir du foure. Et chaque lots dans un plat représentait le corps d'une personne. Chaque corps avait sa façon d'avoir été cuisiner. Je veux m'évanouir mais la peur m'en empêchait.

Mes mains voulais trembler, mes pieds voulais sortir en courant mais non je ne pouvais même plus respirer. Je voulais crié au secours mais pas un seul mot. Le fou me fait comprendre qu'il avait fait la cuisine lui même. Je mime ne pas savoir ce qui était sur la table. Je m'excuse en disant :

Moi: Je suis désolée mais je ne mange jamais avant un travail.

Le fou: C'est pas grave, tu mangeras après le travail.

Moi: ok, ont fait quoi maintenant?

Le fou: Je peu te montrer mes nouveaux jouets je les ai acheter hier.

Moi: Pourquoi je n'ai rien contre. On va où?

Le fou: À l'étage.

Seigneur qu'est-ce qui m'attendait encore. Mais en montant à l'étage je remarque qu'il avait pris un couteau avec lui. Les gardes du corps se sont regarder et on tourné la tête. Enfin à l'étage je n'en crois pas mes yeux. Des femmes, au moins 6 femmes attacher les unes aux autres comme de pauvre animaux. Et là une douleur affreuse s'empare de mon corps je me tourne et remarque que j'ai un couteau dans mon ventre. Je n'avais pas remarqué quand ce fou était venu ce mettre devant moi. La il me regarde encore sous le choc.

Le fou: Tu me prend pour un con? Tu crois que je n'ai pas vue ton regard. Tu crois que je suis fou? Pourquoi tu m'a regarder comme ça. Je commençais à te respecter...

Moi: Je t'es regarder comme ça parce que tu es un fou. Si personne ne te l'a jamais dit je te le dis tu est déranger. Regarde autour de toi et dit qu'elle être humain normal fait ce que tu fais? Espèce de fou alliés.

Le fou: Tu te prends pour qui petite imbécile.

Il ne l'avait pas remarqué mais il y avait une bouteille de bière par terre. Je m'en saisie et je lui donne des coups sur la tête, encore et encore. Jusqu'à ce qu'il ne tombe. Je suis prise d'une telle colère que je remarque même pas qu'il était inconscient. Je me relève avec beaucoups de difficulté. Je vais à la fenêtre j'ouvre le rideau et je vois Sy qui fait des 100 pas, il lève la tête en haut me voit il comprend tout de suite la situation c'est là que les coups de feu vont Commencées.

La PUTEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant