Partie 9

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Le lendemain matin, c'est seul que je me réveille... Je suis trop déçu car j'avais besoin de le voir, besoin de lui et de savoir qu'il ne regretter rien de ce qu'il c'était passer.

Mais au fond j'était persuadé que c'était le cas vu que d'habitude il ne se lève jamais avant moi...

Il est revenu dans la matinée, il a fait comme si je n'était pas là.
J'ai préférer ne rien dire et lui laisser du temps car au find la situation n'était pas évidente.

(...)

C'est en fin d'après midi qu'on arrivent chez ses grands parents, seulement eux et khalti avec Nûrayn qui etaient présent.

Elle nous a expliquer qur chacun était rentré chez soi donc tant mieux, j'avais besoin de le retouver un peu au calme .

On a manger en silence, j'ai débarrassé et fait la vaisselle avec khalti avant d'aller me coucher.

Houssin était déjà allonger et il me donner dos.

- Houssin ?

Il ne m'a pas répondu et pourtant je savais qu'il ne dormais pas. J'ai encore une fois laisser passer...

Le lendemain, je me lève à nouveau seule et je m'en vais faire ma douche avant de descendre au salon où j'y trouve khalti avec sa mère, la maison était calme.

- assalamu alaykum

Elles : wa alaykum salam

Khalti : ca va ma fille ?

- al hamduli Llah et toi ?

khalti : J'ai mal à la tête ce matin.

- Allahi shafik, tu veux de l'aspirine?

Khalti : sayer j'ai pris, merci

- de rien. Nûrayn, elle est où ?

Khalti : elle est partie avec Houssin au cimetière.

Et là, ca a confirmer mes craintes. Il n'était pas aller au cimetière depuis notre arrivée, trop dure pour lui m'avais dit khalti... Mais là je pense qu'il regretter tellement qu'il a du aller prés de la tombe à shérazade.

(...)

C'est deux heures plus tard qu'ils font leur entrées.

Je n'ai pas droit à un seul regard de la part de Houssin. Il monte directement dans la chambre pour déposer Nûrayn qui dormais.

Trente minutes sont passer et il n'est toujours pas redescendu.
Je stresse au max et j'ai besoin de lui parler, de connaître son ressenti et surtout où est ce qu'on en est.

Je toque et rentre sans attendre de réponse.

- Houssin ?

Houssin : ...

- on peut parler s'il te plaît ?

Houssin : on a rien à se dire.

- pardon ?!

- on a fait une grosse erreur. on aurai jamais du coucher ensemble!

- t'es sérieux?! je suis ta femme merde!

Houssin : baisse d'un ton avec moi et je t'ai toujours dis de ne pas oublier ce qu'était ta place dans nos vies!

- je t'ai donner ce que j'avais de plus cher...

Houssin : fallait pas.

- ne me fais pas ca je t'en supplie, ne me rabaisse pas. Pas après ca..

Houssin : t'es entrain de te rabaisser toute seule là.

C'est pas possible d'être détacher et sans coeur comme ça! Il vient de me bousiller, comment je me sentais trop mal.. mon coeur commencer à me faire mal, je prend donc mon sac et vais m'enfermer dans la salle de bain de la chambre.

Je fais une crise d'asthme.

Je récupère ma ventoline dans mon sac mais ca ne passe, j'angoisse trop à cause de la situation et ca ne fait qu'empirer mon état.

Environ dix minutes après j'ai réussi à me calmer, je me suis donc poser contre la porte en ramenant mes genoux à ma poitrine jusqu'à ce que je m'endorme.

(...)

Une semaine plus tard nous étions de retour en France.

Ces vacances m'on fait du bien car pour la première je me suis retrouver dans une véritable ambiance familiale.

Avec Houssin c'était catastrophique, il ne voulais plus du tout me parler.

Je me souviens le jour où on est revenu. Le soir, après avoit manger, je suis parti me coucher à mon tour et en entrant dans la chambre il m'a recaler direct!

Houssin : tu fais quoi là?!!

- ben je vais dormir

Houssin : Vas-y bouge de là et retourne à ta place là-bas!

- arrête de me parler comme si j'était ta chienne, j'en ai marre!

Houssin : cool ta vie, ferme la porte.

- je dors là.

Houssin : eh! je t'ai dis bouge de la , tu comprends pas ?!
T'a l'impression d'être dans ta chambre ici ?! c'est notre photo à nous qui est accrocher au dessus de mon lit ?
Non! Alors casse toi maintenant.

Je suis rester sur le c..

J'ai taper un demi tour sec et je suis parti m'allonger au salon.
Il ne m'acceptera jamais, c'est sur, faut que je me fasse une raison.

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