Partie 20

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Point de vue de Badr

Après qu'elle soit tombée, je l'ai directement emmener à l'hôpital où s'en est suivi des heures d'attente, et j'ai appris qu'elle avais une gastrite... C'était dû a une inflammation de son estomac.

Encore une fois le médecin a dis qu'il lui fallait vraiment du repos et une bonne alimention car la gastrite provoqué une perte d'appétit.
Des medicaments lui ont était prescrit et elle pourra sortir de l'hôpital dans la matinée.

Je suis resté auprès d'elle tout le reste de la nuit et à son réveil, le médecin est venu la voir, elle était complètement dans les vappes mais elle essayer tout de même de répondre aux questions.

Médecin : quand est ce qie les vomissements ont commencés ?


Elle prend du temps à compter sur ses doigts et elle fini par lui montrer ses dix doigts..

Médecin : dix jours ?? demande t'il étonné

Hind : oui

Médecin : Mademoiselle, vous vous êtes mise en danger en attandant aussi longtemps pour voir un médecin

Elle baissa la tête sans répondre alors que moi je bouilloné à l'intérieur de moi, de ne rien avoir vu... Mais c'est normal, j'ai tout fait pour m'éloigner d'elle parce que c'est pas net ce qui se passe en moi quand je la vois et j'aime pas ca.

(...)

Point de vue de HIND

En début de soirée je me suis réveillée d'une longue sieste, je suis donc aller me doucher pour me  reveiller car j'était encore un peu dans les vappes.

Je vais ensuite dans la cuisine prendre un grand verre d'eau et c'est à ce moment là que Badr me rejoint.

Badr : ça va ?

- oui.. et toi ?

Badr : wai.

Badr : va falloir que tu mange

- je n'ai pas très faim, merci.

Badr : tu vas quand même manger. Des fruits au moins, t'aime ça non ?

- oui..

Badr : ben voilà, en même temps tu prendra ton traitement.

Je vais m'installer au salon à la demande de monsieur et il reviens quelques minutes après avec un plateau de fruits, une bouteille d'eau et un sachet de pharmacie.

- merci Badr.. pour tout

Badr : arrête de me remercier, ya rien. Aller mange stp

J'ai commencé à manger doucement et j'ai fini par me régaler étant donner que j'ai terminer la moitié du plateau..

Badr : Je vais la nourrir aux fruits celle là.

- je t'enttend hein..

Badr : je sais

Après avoir pris mes médicaments, je me suis mise plus à l'aise sur le canapé et il en a fait de même en se tournant vers moi.

- Pourquoi tu ne m'a rien dit ?

Je ne m'attendais pas à cette question... Et je me voyait mal lui donner la vrai réponse de peur d'être remballer parce qu'en réalité je ne voulais pas qu'il s'inquiète pour moi.

- Je pensai pas que c'était grave

Badr : Je suis un con moi ?

- non..

Badr : alors pourquoi tu me ment ?

- je men-

Badr : tu continu en plus ?

J'était grave honteuse.. qu'est ce que vous voulez que je fasse pour rattraper ce dégât si ce n'est lui dire la vérité.

Badr : explique moi

- je voulais pas t'inquiéter..

Il me regarde d'une manière beaucoup trop profonde et ca me met beaucoup trop mal à l'aise.

Badr : donc t'a preferer te mettre en danger plutôt que m'inquiéter comme tu dis ?!

- t'énerve pas stp

Badr : que je m'énerve pas ? hein! si tu canne dans mes mains, t'y penses à ca ?!

- je suis désolé..

Badr : si t'a envie de cané c'est ton problème, mais casse toi de chez moi pour ca!

Je l'ai regarder avec des yeux ronds parce qu'au final il était comme les autres.. lui aussi me rejeter et ce qu'il m'a dit c'était blessant même si au fond il a raison.

J'ai baisser la tête et fermer les yeux pour retenir mes larmes. J'ai pris une grande inspiration avant de me lever et m'excuser, encore.

- est ce que je peux prendre quelques affaires que tu m'a acheter ?

Badr : vas-y c'est bon, commence pas.

- je peux ou pas ?

Badr : t'es sérieuse là ?! vas-y j'le penser pas, c'est sorti sur le coup des nerfs.

- c'est rien, t'a raison n'empêche..

Les clefs étant sur la porte, j'ai ouvert et je suis parti.

Je porté une robe de maison en coton avec un gilet et je peux vous dire que le froid m'a bien frapper lorsque je suis sortie de  l'immeuble!

J'ai marché jusqu'à un arrêt de bus mais aucun ne passer avant 6h du matin dans ce trou perdu

Je me suis mise à pleurer sans plus pouvoir m'arrêter.. Sincèrement je me disais que mourir était peut être la solution à tous mes maux.
Je ne serait un poid pour personne et plus personne ne me fera de mal.

Je sens quelqu'un s'assoir à côté de moi et je n'ose pas ouvrir les yeux, alors je sert mes mains sur ma robe en esperant que cette personne s'en aille, sauf qu'en reniflant j'ai senti le parfum de Badr..

J'ouvre les yeux et le vois me regarder avec tellement de regret.
J'éclate de nouveau en sanglots et je me jette dans ses bras qu'ils ne tarde à resserrer autour de moi.

- t'es venu me chercher ?

Badr : t'a vraiment cru que tu pouvais t'en aller comme ça ?

Je sourri et repose ma tête sur son torse.

Badr : aller viens on rentre, il fait froid.

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Laisse moi essayer Où les histoires vivent. Découvrez maintenant