Chapitre 18- Elle

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À CO

POV'S '' interne de Adelyn 

Des picotements sur ma main qui m'a servi à le giflé, j'aimerais être flash pour partir loin d'ici, surtout de lui, pourquoi j'ai fait ça, il peut me tuer d'une main et moi je le gifle, je me sens idiote en ce moment, il me regarde sans rien dire, mon coeur peine à prendre un rythme normal tellement je suis stressé.

Si vous me dites que je suis folle, je ne dirais pas que c'est faux, parce qu'il ne faut pas être bien dans sa tête pour le gifler.

Bizarrement ou heureusement, il rigole en passant sa main dans ses cheveux en bataille.

- Je vais devoir te punir, me dit Mr Harris en me regardant avec un sourire moqueur, on dirait un gamin qui va faire une bêtise, mais c'est loin d'être un gamin.

Me punir !

Je me sais pas bien, ça veut dire quoi me punir . Je recule encore, comme si c'était possible, la porte m'empêche de faire quoique se soit.

Maudite porte .

 - Laissez- moi partir, je ne dirais rien à personne que j'ai vu un extrate.....

Il ne me laisse pas finir ma phrase qu'il colle son torse au mien, prise par surprise je ne finis pas ma phrase, il me fixe en rigolant , j'ai dit quoi de drôle ?, son corps vibre à cause de son rire enfantin, en le regardant plus attentivement en une seconde j'aurais l'impression d'être à cote d'une personne normale.

Mais, il n'est pas normal, c'est un...

- Je ne suis pas un extraterrestre, je te dirais toute la vérité quand tu seras prête, maintenant, va prendre une douche, la salle de bain c'est cette porte il y a des vêtements posés sur une commode, tu viendras me rejoindre en bas pour manger. 

 -Je ne veux pas manger avec vous, ni rester ici avec vous, je veux juste oublier ce que j'ai vu, dis-je en criant un peu plus fort à chaque mot. 

Je veux juste qu'on me laisse tranquille, je suis fatigue de toutes ses histoires, ma vie ne rime à rien depuis que mon frère ma colle aux basques les mafieux, je sais que c'est grâce Mr Harris qu'ils ne vont plus m'embête, mais j'ai plus envie de lutter contre d'autres personnes ou quelque chose. La vie, c'est un parcours de combattant, soit tu t'en sors, soit tu coules, j'ai l'impression d'être aux milieux, je vous permets que ça vous pompe l'énergie...

 Il ne dit rien, je profite de ce moment de silence pour regarder mes habits, j'ai eu un haut-le-coeur, ils sont tachés de sang sec, une grimace de dégoût déforme mon visage, j'ai pas la phobie du sang mais ils sont morts juste en face de moi, de façon brutale.

 Toujours la tête baisse inspectant mes horribles habits

- M'oublier, dit Mr Harris, je relève la tête en croisant ses yeux rouges.

Rouge !

Mon coeur s'affole, mais je ne flanche pas, enfin, extérieurement, parce que intérieurement c'est un ouragan d'émotions, la peur, la colère.

- Oui

Il ferme les yeux comme profondément toucher par ma réponse.

- Tu ne vas pas partir.

 - Quoi !, Il ouvre ses yeux me laissant voir ses yeux noirs, c'est quoi ce bordel !

-Va te doucher, m'ordonna-t-il

Je ne bouge pas, mais mon coeur réagit très vite à son ordre, il tambourine dans ma poitrine comme le son d'un tam-tam. 

- Très bien tu l'aurais voulu.En un éclair, je me retrouve sur son épaule et sans même avoir le temps de crier, ma fesse gauche me brûle légèrement .

 Je rêve où il m'a donné une fesser, il se dirige vers la salle de bain, moi toujours en mode sac à patates sur son épaule...

..........

'' Quand deux personnes s'aiment vraiment, rien ne peut détruire ce que leurs cœurs ressent. ''

...........

Désolé pour les fautes.

𝗟𝝝𝗩𝗘 𝗦𝗧𝝝𝗥𝗬 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant