𝗟𝝝𝗩𝗘 𝗦𝗧𝝝𝗥𝗬

Chapitre 16- Elle

À CO

Pov's '' interne '' d'Adelyn

Ses yeux rouges, la rage pouvait se lire dans ses pupilles dilatées par la colère, sa vitesse, il se déplace tellement vite. Quand il a tué ses deux hommes en quelques secondes, on aurait dit une bête sauvage, un loup affamé, des flashs du moment remontent petit à petit me donnant envie de vomir, je souffle pour contrôler mon corps qui ne veut plus m'obéir.

Qui est-il ?

J'ai tellement peur, pourquoi suis-je toujours en vie ?

Si la joie emplit le corps de bonheur, la tristesse et la rage vide le corps de toute émotion, c'est ce que je ressens en ce moment, pourquoi la vie s'arracher sur moi ?

Que veut-il me faire ?, me torturer

Mon cerveau tourne au ralenti, je n'arrive toujours pas à réfléchir, tous ses problèmes me vident totalement .

S'il pouvait prendre mon frère à ma place, ce petit merdeux.

La colère monte petit à petit en moi, j'aime mon frère mais, il a dépassé les bornes, juste lui et moi dans un ring pour me défouler sur lui.

le cœur qui bat de façon désordonnée, l'incapacité de dire quoi que ce soit ou de faire quelque chose, la sensation de froid m'envahit à chaque seconde qui passe... Je tremble en m'imaginant toutes les horribles scénarios de torture au monde, la chaire de poule me prenant tout le corps, j'avais peur des mafieux mais, c'est au-delà de toute mon imagination, je ne s'est même pas ce qu'il est.

Je suis allongé sur quelques choses de doux et agréable, si je n'étais pas avec un psychopathe de je ne sais quelle planète, je profiterais de ce lit. Je ne peux pas ouvrir les yeux et affronter la réalité surtout que j'ai l'impression qu'il est dans cette pièce, mon cœur rate s'emballe tellement je suis terrifié.

-Regarde-moi, mon sucre, je sais que tu es réveillé, me dit Mr Harris

Mon sucre, il n'est pas bien lui.

Je ne bouge toujours pas, ma respiration est saccadée, j'essaye de calmement ma respiration, en vain, un souffle chaud s'abat sur mon visage, ma respiration s'accélère de plus belle.

-Je ne te ferais pas de mal, - me chuchota Mr Harris

J'ouvre brusquement les yeux, je tombe directement sur ses magnifiques yeux verts....euh...oubliez ça, ils sont affreusement..beau, j'ai l'impression que je suis en train de regarder mes propres yeux, un petit sourire qui se veut réconfortant orne ses lèvres.

Je me tape mentalement le crâne, merde, je suis en train de le relooker.

-Monstre, dis-je en reculant toujours allonger sur le lit.

Il baisse la tête en soufflant doucement.

-C'est vous qui aviez tué les mafieux ?

Quelle question, oui, c'est bien lui.

Il ne répond rien, comme s'il est figé par mes paroles, je profite de son moment d'égarement, je sors du lit en courant en toute vitesse vers la porte de sortie, au moment de sortir ses mains se pose agrippé délicatement ma taille me collant à son torse.

-Oui, j'ai tué ses mafieux et ceux du parc, parce que personne ne fait du mal à ce qui m'appartient, dit-il le plus calmement possible

Il parle calmement comme si c'était normal, on parle de meurtre.

Je bouge toujours encercler par ses bras pour essayer de me dégager de cette chaleur... bizarrement protectrice qui irradie mon dos.

-Je ne suis pas une de tes voitures de luxe, crachais-je en colère

-Tu as raison, tu es plus que ça...plus- me chuchota Mr Harris en plongeant sa tête dans mon cou en déposant un baiser sur celui-ci....

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''La plus belle courbe d'une femme. c'est son sourire ''
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Désolé pour les fautes.