Sissi

1. Prince, l'Étalon sauvage

Ce matin, je me leva tôt malgré un dimanche qui était mon jour de congé. Je m'habilla en hâte et descendit l'escalier à pas de loup. Je me dirigea vers la cuisine et trouva Oncle Henry endormi sur une chaise longue, une bouteille de vin à la main vide. Incorrigible! Je pris un petit sac en tissu et je mis dedans: pommes, carottes. Je me dirigea vers le salon et trouva Will assis sur une chaise, bras croisé sur la table, tête dedans. Des cartes étaient dispersés de pars et d'autre sur la table. Je me retourna et trouva vers la porte, James étendu sur un banc serviette sur les yeux, coussins sous les jambes. Hé bien, ils n'avaient pas traîné pour commencer le dimanche la veille ces trois là. Je laissais un mot sur la table. J'ouvris la porte en douceur, la referma et couru en hâte vers le champs de l'autre côté du bar. Je trouva des chevaux qui broutaient.

Je marcha un moment regardant le ciel, écoutant les oiseaux chanter. Puis je m'arrêta et vit au loin une tâche noir, loin, très loin, qui bougeait rapidement. Prince! Il galopait comme un fou avec son ami qu'il ne quitte jamais, Flamme, un Étalon blanc. James adorait monter Flamme. S'il était là, je suis sûr qu'il aurait couru à sa rencontre.

-Prince! J'appelais.

Lui et Flamme me virent et ce mirent à galoper à ma rencontre.

Quand ils furent près de moi, ils essayaient tous deux de me prendre le sac que j'avais apporter.

-Oui vous aller en avoir, un instant.

Je leur donnaient les pommes et carottes. Flamme partit avec les autres Étalons. Prince resta avec moi. Je le caressais, lui parlait et passait ma main sous sa brûlante crinière. Sa robe noir, était luisante. Il me regardait avec ses yeux d'ange. Il écoutait les moindres bruits. Il me protégeait. Pour moi c'était un protecteur, un ange gardien, un ami. Les seuls personnes qui pouvaient venir était: Oncle Henry, James, Will et moi. Prince n'aimait pas beaucoup les personnes inconnus qui venaient sur son territoire. Il était le chef des Étalons. Son travail était de protéger son troupeau.  Les inconnus qui avaient le malheur d'approcher risquaient une course infini dans le champs jusqu'à ce qu'elles en sortent. Prince aimaient les chasser avec Flamme. Prince était robuste, avait fière allure et était rapide.

Il ce coucha dans l'herbe. Je m'allongea à côté de lui, pausa ma tête contre l'encolure. Il tourna la tête vers moi et pausa ses naseaux contre ma joue. Je ferma les yeux. J'entendais les chevaux hennirent, je sentais le soleil me chauffer, contre ma joue la robe de Prince et sa respiration qui me réchauffait le visage.

-Regardez moi ces deux là. De vrais coq en pâte!

J'ouvris les yeux et vit James, tous souriant venir s'asseoir à côté de moi.

-Coucou Prince. Disait-il en le caressant. Alors Sissi, depuis quand viens-tu sans moi?

-Hé, à chaque fois que je te réveille le matin et que je te propose de venir avec moi tu me dis: ''Va si sans moi, je suis épuisé". Et tu m'envoie balader surtout quand c'est congé.

-Ah bon?

Il ce payait ma tête.

-Oui monsieur, parfaitement! disais-je en rigolant. Tu te moques de moi.

-Mais Sissi je ne moque pas de toi, je me fiche de toi!

-Ho!

-Ah ah ah. Tu devrais voir ta tête.

-Heureusement, je ne la voit pas.

-Tu sais qu'aujourd'hui c'est toi qui prépare le repas de midi?

-Oui je sais, tu vas devoirs supporter ma cuisine.

-C'est un sacrifice que je peux supporter.

-Pardon?