𝑯𝑶𝑼𝑺𝑬𝑾𝑰𝑭𝑬 [TERMINÉE]

De nouveau seule

Je fronçais les sourcils de surprise, que pouvait elle m'apprendre au sujet de la femme ?
Je pris place en face d'elle, le regard franc et peu amicale attendant qu'elle dise sa vérité.

_ en fait, tu sais, je travail dans un orphelinat n'est-ce pas ?

_ Hm.

_ ta femme est venu me voir là-bas et as proférée des menaces à mon encontre, elle m'a agressée verbalement

Mes sourcils se fronçaient de plus en plus au fur et à mesure qu'elle parlait. Hinata serait incapable de s'adresser à Sakura, pas qu'elle en a pas le courage mais elle se respecte tellement qu'elle n'irait pas à se rabaisser à un tel niveau.

_ si tu ne me crois pas, j'ai même un appel de sa part. Je suppose que tu devine ce qu'elle avait voulu me dire.

Sûrement qu'elle voulait lui parler du travail qu'elle avait voulu faire chez elle.

_ Sakura tout ceci ne me dis pas ce que tu es venue chez moi et ce que je suis censé comprendre au sujet de mon épouse.

Elle fit une pause dans son récit et fouilla dans son sac, d'où elle en sortit une grande enveloppe.

_ je sais très bien que si je te disais ça de vive voix, tu serais incapable de ne pas me croire, et lorsqu'elle est venu me voir à l'orphelinat, je lui ai dit ma manière de penser elle me tendit l'enveloppe et continua je sais bien que tu aime ta femme, et que moi j'étais juste un passe temps elle se mit à renifler, repoussant des larmes, je me sentais fortement embarrassé, c'était pas mon but de la faire pleurer mais regarde ces photos, tu verra qu'elle n'est pas aussi blanche que tu crois.  Je—je vais partir maintenant, bonne soirée.

Elle sortit de la maison après avoir remercié Tsunade pour l'accueil.
Une fois qu'elle fut partit, je regardais attentivement l'enveloppe qu'elle m'avait tendu, Tsunade m'incitait à l'ouvrir, ma curiosité grandissante ne m'encourageais pas non plus au contraire.
À la fois paniqué et intrigué, je déchirais l'enveloppe et laissais le contenu déverser sur la table sous le regard de mes parrains, une vue horrifiante s'offrait à moi, Hinata nue dans les bras d'un autre homme, cette femme que j'appelais mienne était dans les bras d'un autre languissant sous lui, l'expression qu'elle avait au visage montrait bien son extasie, c'était donc ça ? Me faire payer ma trahison en couchant avec un homme qui peut être de cinq ans son cadet ? Elle voulait me faire ressentir ça ? La douleur de se faire trahir, de se sentir minable ? Je me serais pas assez excusé ? De toutes les manières comment est ce que j'ai pu croire qu'elle ne me ferait rien en retour ? La manière dont elle avait agit, je savais bien que derrière sa colère ne se cachait pas un simple je te pardonne.

_ comment elle a osé ? Cracha Tsunade rouge de colère

Quand à moi je ne parvenais à donner un nom à la fureur qui m'animait, je pensais que c'était une femme qui se respectais et qui ne se rabaisserais pas à reproduire les meme besognes que moi mais je me suis bel et bien trompé ! Une fois de plus !

L'heure tournait et la montre affichait bientôt vingt-trois heure, je suppose qu'elle allait débarquer avec son sale sourire, de femme aimante et faire comme si de rien n'était.

Jiraya tentait de calmer ma mère adoptive qui sortait de ses gons, elle aimait beaucoup Hinata et avait beaucoup d'estime pour elle, comme moi d'ailleurs, à croire que les femmes sont de plus en plus vicieuses et rancunières, la leçon que j'aurais finalement apprise est que l'on ne finit jamais de connaître une personne réellement.

Le corps morne et le regard presque vide, Hinata débarqua dans le salon,elle transpirait à grosse goutte et affichait un sourire timide sur le visage, la rage au cœur je ne pouvais prendre la peine de décrypter ses émotions
Enragée Tsunade l'apostropha aussitôt :

_ petite catin ! Combien de fois nous t'avons supplier pour que tu daigne lui pardonner ? Pourquoi ? Hein pourquoi ?

Hinata se tenait la tête me regardant avec ses yeux blanc Ivoire, elle s'apprêtait à dire quelque chose lorsque Jiraya trancha d'un ton sans appel

_ tu fera mieux de partir Hinata. Nous reconnaissons que notre fils t'as fait du mal mais ça ne vaut pas la peine que tu reste ici. Va t-en maintenant