𝑯𝑶𝑼𝑺𝑬𝑾𝑰𝑭𝑬 [TERMINÉE]

Échange

_ Nous devons parler Naruto !

Suspicieux je me levais de derrière mon bureau et m'installa sur un fauteuil en face d'elle.

_ qu'est ce que tu me veux Sakura ?

_ je n'avais pas cessé de t'appeler et tu étais injoignable !

_ j'étais occupé en effet.

Je lui demandais ensuite d'en venir au faits, fatigué de l'entendre geindre parce que je n'avais pas donné suite à ses appels incessants.
Elle s'assit dans le canapé de mon bureau sans gêne et enleva le manteau qu'elle avait sur elle, j'arquais un sourcil méfiant ne voyant pas où elle voulait en venir cependant mes yeux faillit sortir de leur orbite lorsque je me rendis compte du ventre rond qui se pointait devant elle, les mains sur les hanches à présent elle me regarda déterminé quand à moi je ne savais pas si je devais en rire ou pleurer, enceinte ? Non mais pour de vrai ?

_ voilà ce que je voulais te dire ! Mais tu m'évite comme la peste !

_ Ow ow ow ! Attend j'assimile trop d'informations là, c'est quoi ça ?

_ je suis enceinte imbecile !  Et tu ose me parler comme si j'étais entrain de te mentir !

Je repris ma position debout et la regardais droit dans les yeux comme pour la déstabiliser mais son regard restait conquérant, aucune faille n'était possible, je me rappelais automatiquement à quel point elle pouvait être vicieuse lorsqu'elle désirait quelque chose et cela accentua ma méfiance,

_ combien de temps ? De mois je veux dire, parce que ce truc là on dirait bien celui d'une femme enceinte de six mois, or ça fait juste à peu près deux mois que l'on s'est connu...

Elle pâlit immédiatement et se mit à bafouiller des phrases incompréhensible, je sentais de ma position son corps se raidir et se tendre.

_ alors ?

Je me rapprochais un peu plus d'elle, un visage cynique et un sourire malsain scotché au visage, son ventre avait l'air bizarre, j'étais prêt à prendre mes responsabilités en cas de grossesse mais...

_ et puis la seule fois que nous avions couché ensemble, je me suis protégé et apparemment de ce que tu m'as dit tu prenais la pilule, alors les chances d'avoir un enfant, j'y connais rien Bien sur mais je me pose des questions tu comprend ?

Elle balaya devant elle d'un revers de la main avant de s'élancer dans un débat sans queue ni tête

_ j'ai pris du poids c'est tout ! Voilà pourquoi mon ventre semble plus gros et les pilules j'avais arrêté Bien avant qu'on se connaisse j'avais dit ça pour pas que tu sois réticent.

_ réticent par rapport à quoi ? Tu savais que j'étais marié ?

Si elle le savait alors la culpabilité est divisé en deux puisse que je ne serais plus l'acteur principal de cette tromperie, je m'en sentais presque rassuré.

_ non ! Non ! Je veux dire—tu me plaisais et—

_ Assez Sakura. Je suis fatigué je lui tendis une carte d'un lieu où l'on pourrait se voir pour échanger, je devais avoir le fin mot de cette histoire prend cette carte, je te préviendrais lorsque je serais disponible pour qu'on puisse se voir pour échanger, jusqu'alors ma m'appelle plus s'il te plaît. Si tu veux disposer...

Ce fut blême qu'elle quittait mon bureau, j'étais lâche de remettre tous ces malheurs sur son dos, mais j'arrivais pas à la considérer comme une autre que celle qui par nos actes commun a permis que je ne vois pas mon fils grandir
Mon fils. Depuis que Neji me l'avait annoncé, cela devait faire plus de 8 semaine, le sexe du bébé étais  donc perceptible ? ( 12 semaine, au bout de 12 semaine le sexe de bébé se forme... rf: à vos Manuel de SvT mes grands ! )
Je me regardais nostalgique sur l'écran de mon téléphone, j'espérais qu'il ai les mêmes traits que moi, la même mâchoire, le même nez, les mêmes yeux... elle ne pourra pas m'empêcher de le voir de cette façon et en plus si elle parvenait à me détester, elle aurait toujours un souvenir de moi en face d'elle, je m'épanouissais dans mes rêveries lorsqu'on m'interrompu de nouveau en frappant à la porte, fortement agacé, je répondit sur un ton grave :

_Entrez !

Shion se tenait dans l'embrasure de la porte mais son corps  semblait invisible, j'avais uniquement les yeux rivé sur la personne qui se tenait juste à côté d'elle, elle avait raccourcis ses longs cheveux bleuté, son regard gêné se baladait dans toute la pièce, sa grande jupe frôlait ses cheville intensifiant son côté pudique, elle se pencha en avant en signe de révérence et me dit :

_ est-ce que nous pouvons parler ?