Chapitre 23

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je me réveille brusquement après avoir sentis de l'eau glacé m'éclabousser le visage.

j'ouvre les yeux et vois une Amelia morte de rire.

Moi: COURS!

elle se mit a courir hors de la chambre, je me lève rapidement et me lance à sa poursuite descendant les escaliers le plus rapidement possible.

Amélia et moi nous sommes couchés très tard avoir discuter de tout les sujets possibles, regarder un film d'horreur(Amelia a pousser des cris de l'espace), manger et même fait un bain de minuit. Un super moment mais apparemment cette chère Amélia à décidée de me réveiller en douceur aujourd'hui(notés ironie).

En ce moment même je course Amélia dans son jardin , nous courrons autour de la piscine comme des gamines, ce que nous sommes j'ai envie de dire.

Amélia trébuche et tombe sur l'herbe.

Je m'avance vers elle rapidement.

Moi: ça va?

Elle se relève.

Amélia : ça va rien de cassé.

Moi: Dans ce cas.

Je l'attrape, la porte et la jette dans la piscine.

Elle en ressort quelques secondes après en rigolant.

Elle se met au bord de la piscine et je lui tend une main pour l'aider à remonter mais à ce moment là elle me tire vers elle et je tombe aussi dans la piscine.

Je ressors et rigole à mon tour.

Je tourne la tête et vois Marco sur son balcon nous observer en rigolant.

Je lui fait un signe de la main qu'il me rendis.

Une douche et un petit déjeuner animé plus tard il est temps pour moi de partir.

Je dit au revoir à tout le monde avant de me mettre en route vers la maison de Mona.

Celle-ci m'attendais devant .

Moi: Bonjours Mona.

Mona: bonjours ma petite Angelina, prête à revoir ta famille ?

Moi: plus prête que jamais.

Je rentre déposer les affaires que j'avais pris avant d'aller chez Amélia et rejoins Mona qui c'était transformer en une louve blanche au reflets dorés magnifique.

Moi: Mona t'a louve et magnifique.

Celle-ci hocha la tête dans un signe de reconnaissance.

Je souris et me transforme également puis nous nous mettons en route.

Je reprends plaisir à courir sous forme lupine, à sentir le vent me frapper le visage, les feuilles mortes craquer sous mes pattes, à sentir toute sorte d'odeurs de la forêt qui m'avait tant manqués.

Après une heure de route nous arrivons à l'orée de la forêt, ma forêt, celle de la meute.

Immédiatement je sentis les odeurs famillères se reprendre dans mes narines et me rendis complètement folle de joie.

D'un coup je sentis une odeur, son odeur, cette personne pour laquelle je ferai n'importe quoi.

Je change de direction pour me diriger vers sa maison, Mona derrière moi.

Je m'arrête et me transforme là où est entreposé les couvertures, en met une rapidement sur mes épaules et m'avance vers la maison.

Je m'arrête quelques secondes observant la façade de sa maison

Âme-soeur (EN RÉÉCRITURE)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant