Chapitre 61

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Un poids c'était enlevé, je me sentez libérée.
Je n'avais plus cette crainte, cette peur omniprésente.
Aria allait pouvoir vivre, vivre enfin sa vie.
J'avais confiance en Ezra j'étais persuadé qu'il veillerait sur elle comme je m'étais efforcée de le faire jusqu'à présent.
Je roulée à vive allure pour vite arrivée.
J'entrais dans l'enceinte du camp sans problème.
Je garer ma voiture et entrée dans la villa.
Les surveillants étaient debout à leurs postes.
Les juifs commençaient leurs travailles.
J'allais vers les cuisines où habituellement Aria ce trouver à cette heure si.
Je tendais l'oreille en dehors pour écouter.

— ou est Aria ? Elle devrais être là ! Dit une surveillante.

— vous avait étais voir dans sa chambre. Dit une fille.

— elle est vide ! Répondit là surveillante.

— je ne sais pas où elle peux être.

D'autres filles répondirent la même chose quand la surveillante l'es questionna.
Je décidais d'aller directement au appartements de Zeman pour lui dire ce qui c'était sois disant passer.
Je répétais mon boniment dans ma tête pour être sur de ne pas me tromper.
Je frappée à la porte.
Aucunes réponse, il devait dormir vue la soirée qu'ils ont passé hier.

— foutais moi la paix ! Cria t'il avec une voix rocailleuse.

— c'est Van-Rosen. C'est important mon général.

— qui y'a t'il de si important pour que vous me réveiller Hantz !

Me dit Zeman en m'ouvrant la porte.

— bonjour mon général.

— venait en au fait je suis fatiguer.

— je voulais juste vous prévenir qu'une juive a essayé de s'échappé dans la soirée d'hier.

Il me regardait d'un œil rond.

— vous savait la petite bonne d'Amaury.

— bon Dieu Hantz ! Accoucher !

— elle m'a asséner un coup, mais j'ai réussi à l'intercepté.

— c'est tout ? Que voulait vous que j'y fasse hein !

— excusée moi, c'était pour vous mettre au courant. Il faudras prévenir les surveillants d'être attentifs.

— c'est pas plutôt vous qui devrait l'être ?

— j'ai étais surpris.

— je voie oui, elle vous as plutôt bien amochée.

— je vais vous laisser dormir.

— des nouvelles du Lieutenant Wien ?

— non aucunes.

— Ingrid rentre aujourd'hui.

— oui je sais.

— elle doit voir le docteur demain dans la matinée.

— en effet.

— bien, vous pouvait disposer.

Je hochais la tête puis partais.

J'attendais le retour d'Ingrid chez moi.
Zeman n'avait pas était emmerdant, et n'avait pas chercher à comprendre, j'en fus soulagée.
Ingrid ne réagirait sans doute pas de la même façon.
Elle fis son entrée pleins de sacs à la main.

— bonjour mon amour !

— bonjour, qu'es ce que c'est ?

— des emplettes pour le bébé.

Je suis tombée amoureuse de mon ennemi ...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant