" Quel petite ordure ! " pensai-je.
Et quel con j'étais de mettre fais prendre aussi bêtement.
Et cette Aria ... maudit soit t'elle. Elle était le centre de tous mes problèmes. C'était à cause d'elle si j'en était là aujourd'hui. Je la détestait tant. Je l'ai maudissait tout les deux. Après des mois de traque, voilà que j'étais dans la cache du Fantôme. Depuis quand Hantz était-il au courant ? Depuis quand savait t'il ou il se cacher et qui il était. Et toutes ces questions qu'il m'avait poser des mois en arrière :"comment fessaient t'ils pour ne pas se faire prendre ? comment obtenaient t'ils de faut papiers ? "
Tout devenait clair maintenant. Comment ai-je pus être si négligeant. En même temps je n'aurais jamais pensé que Hantz serait capable de faire tout ce qu'il avait fait jusqu'à présent.
J'étais à bout, je bouillonnais intérieurement.
Si seulement j'avais l'occasion de lui mettre une balle dans la tête je n'hésiterais pas une seconde. Il avait dépasser toute les limites possible."Mais comment as t'il pue ! "
Me dis-je a moi même. J'avais soif, j'avais faim.
Depuis combien de temps j'étais la ? Hantz allait venir me voir j'en était sur. Il mijotait quelques chose. Il avait fait comme si il ne me connaissait pas devant ses nouveaux amis.
Il devait bien avoir une raison. Mais là quelle ?Un bruit de porte se fit entendre. J'avais les yeux bandées, je me demandais ce qui allait se passer.
— Amaury ...
C'était Hantz.
— tien, le voilà. Tu est venu m'apporter des biscuits ? Lâchai-je.
— comment te sens tu ?
— a ton avis ?
— c'est tellement triste qu'on en sois arriver là.
— a qui la faute ?
— je crois qu'on est tous fautifs qu'on le veuillent ou non.
— qu'attend tu de moi ? Pourquoi ne pas avoir révéler mon identité ?
— je veux que tu m'aide.
— ah ...
— Je t'en pris.
— comment pourrais-je t'aider ? Tu m'a vue ? Je suis votre prisonnier.
— sont-elles à Berlin ?
— oui.
— alors on va y'aller.
— tu sais que tu est recherché ? Tu crois que si tu arrives là-bas comme une fleur ils vont les libérer ?
— si tu en donnes l'ordre ils le feront.
— et je risquerais ma peau pour toi ? Tu délire mon pauvre. Toi seul agis selon tes idées moi j'agis selon les ordres.
— comme toujours hein ...
— je t'en supplie, tait toi. Je ne veux plus t'entendre.
— tu sais très bien que je vais pas les laissé la bas.
— tes amis ne veulent pas t'aider ?!
— ils ont d'autres problèmes. Puis ils veulent t'échanger.
— et bien qu'ils m'échange, et de toutes manières je préfère être échanger que d'avoir à t'aider. Au moins je suis sur de rentrée chez moi vivant.
— si tu m'aide aussi.
— cela voudrait dire que tu les trahirait ?
— ai-je le choix ?
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Je suis tombée amoureuse de mon ennemi ...
Historical FictionJ'ai essayé de résister. Mais rien à faire il m'avait envoûtée. Malgré nos différences, malgré la haine que je devais avoir à son égard. Il n'en était rien. Je l'aimais il m'aimait. Il était le paradis dans mon enfer. un amour interdit dans un décor...