Chapitre 80

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Je regardais les arbres défilés, je ne réalisais pas
vraiment ce que j'étais entrain de faire.
J'imaginais la réaction d'Aria. Jamais elle ne me le pardonnerait.
Je me repassait tout depuis le début. La toute première fois ou je l'avais vue. Son jolie visage, ses yeux brun, son insolence. Son courage, sa bonté. Comment ne pas tombée amoureux ? Comment ne pas tout laisser tomber pour elle ... Cette soirée où je l'avais prise pour danser. Ce premier baissé ...
Plus jamais je ne revivrais ces instants avec elle.

J'étais mentalement épuisée, fatiguée de toute ça.
Je jetée une œil à Amaury qui regardait comme mmi la route de son cotée. Son visage était comme illuminé. Il devait être sans doute satisfait.
Peux être était t'il sincère quand il m'avais dit qu'il était ravi que je revienne, car j'étais son meilleur ami.
C'était peux être moi qui était le salaud de l'histoire finalement. J'avais trahis ma patrie, quittée une femme qui m'aimais et avec qui j'etait depuis des années. Part ma faute les miens avaient été jetée dans une prison. Je ne pouvais continuer à être aussi égoïste. Je n'aurais jamais du me laissé allé avec Aria. Tout le monde souffrait dans cette histoire et c'était uniquement à cause de moi. Le traite de l'Allemagne qui avait tout quittée pour une femme juive. D'un cotée Amaury n'avait pas tellement tord. Le seul point positif c'était  que j'avais au moins sauvée une vie. Au dépend de tous les autres à qui je tenais.

— Nous arrivons quand ! Demanda Amaury autoritaire.

— Encore quelques kilomètres.

— A l'arrivée vous seraient bien récompensés.

— J'espère bien ! Répondit le soldat.

Nous y voila, le fameux portail. Mon cœur se mit a se serré.

— Ne t'inquiète pas. Chuchota Amaury remarquent ma nervosité.

— Je ne m'inquiète pas. Dit je. Pas crédible une miette.

Arriver au portail, les soldats se présentèrent et expliquaient le fait de leurs venus.
Le portail s'ouvrît, rien n'avait changée ici. Les juifs travaillait comme à leurs habitudes. Il y'en avait toujours autant. Je remarquais une seul chose différente. Il n'y avait plus d'enfants qui traînée dehors. Je préférais ne pas penser à la raison de cela.

La voiture s'arrêta devant la villa. J'ouvris la porte pour sortir. Je vis débarquée en première ligne Ingrid. Son visage était blafard et son corps amaigris. Elle portée un peignoir de soie qu'elle tenais le long de son cou avec les mains crispée.
Elle me regardait droit dans les yeux sans dire un seul mot pendant un long instant. Son père s'ensuit d'une dizaine hommes débarquait à vif allure vers nous.

— Bravo ! Bravo ! Amaury ! Vous l'avait enfin retrouvé. Le traite !

— Ce n'est pas ce que vous croyait. Répondit t'il.

Ingrid s'avança vers moi rapidement et me gifla violemment. Puis elle continua à me frappée en éclatant en sanglots. Je me laissait faire un instant puis je lui pris les mains pour la faire cesser.

— Amaury ! Racontée ! Dit le Général Zeman.

— Nous devrions peux être nous mettre à l'intérieur ? Dit il. Ces gentils soldat nous on amené jusque ici.

Les deux jeunes racontait ce qui c'était passé.

— Allons parler de tout ça dans mon bureau. Dit Zeman. Vous serait récompensé soldat. Allez dont déjeuner à l'intérieur du temps que l'on règle cette affaire.

— Parlée ?! Père, il n'y a pas à discuter ! Hantz doit payer ! Hurla Ingrid.

— Ingrid ce n'est pas ce que tu croie.

Je suis tombée amoureuse de mon ennemi ...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant