Chapitre 68

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Je me passais la main dans les cheveux en me demandant comment allais-je bien mis prendre pour arrêter ses deux femmes.
Marlène qui était pour moi comme une seconde mère.
C'était elle qui m'accueillait quand mon père avait la main trop facile à mon encontre.
J'avais manger et dormis bien de fois chez elle.
Une femme qui avait le cœur sur la main et qui ne méritait absolument pas d'être jetée en prison comme une hors la loi.
Hantz allait me maudire autant que je le maudissais.
Il avait dû prévoir son coup bien à l'avance.
Il devait être bien cacher ou alors il était déjà loin.
Comment peux t'on quitter, sa vie, sa carrière, sa famille. Moi ...
il devait sacrément l'aimer.
Je lui en voulais tellement.
Je pris mon courage à deux mains et retourner chez Marlène.

— tout c'est bien passé ? Me demandait t'elle.

— Marlène je ...

— quoi ? Qui y'a t'il Amaury ?

— ou est Hélène ?

— je suis là.

Je me retournais. Hélène enceinte jusqu'au dent caressant son ventre arrondis.

— je vais devoir vous arrêtées.

— tu va quoi ? Dit t'elle.

— mon supérieur m'a charger de vous arrêter toutes les deux.

— voyons Amaury de quoi tu parle ?

— Hantz doit sortir de sa cachette vous comprenaient ?!

— tu va vraiment nous jeter en prison ? Tu as sans doute remarqué que je suis enceinte ! Que j'ai mes enfants à m'occuper ! Amaury nous n'avons rien à voir avec le fais que mon frère soit partis.

— tu crois que sa m'enchante Hélène ? Tu crois que j'ai pas essayé de dissuader mon supérieur ? Hantz est le seul responsable, ça je le sais. Mais y a un prix à payer et malheureusement c'est vous qui doivent payer.

Marlène ne disait pas un mot le regard dans le vide.

— je suis désolée . Dit je.

— désolée ? C'est tout ce que tu trouve à dire. Hurla Hélène.

— c'est pas définitif, quand Hantz se rendras vous seraient libéré.

— mais comment va t'il savoir ?

— ça seras publier dans tout les journaux.

— tu crois vraiment qu'il va prendre le temps de lire le journal ?

— ne cherche pas à discuter Hélène. Ce sont les ordres.

— les ordres ... lâcha Marlène.

— je vous en pris Marlène ce n'est pas moi ...

— oui c'est Hantz. Mon fils, ton meilleur ami. Je peux comprendre. Bien tu nous mets les menottes tous de suite ? Dit t'elle en joignant ses poignet tout plissée.

— on peux attendre le retour de ton mari Hélène. Les enfants ne vont pas rester seul.

— je n'arrive pas à croire ce que tu nous fais Amaury ! Dit elle avec un rictus.

— je ne vous fais rien, si ce n'étais pas moi sa aurais étais un autre qui s'en aurait charger ! Je veillerais à ce que vous soyez bien traitée.

— on peux emmener quelques affaires ? Demanda Marlène d'une voix quasiment éteinte.

— quelques vêtements.

J'essayais de garder un ton détaché, mais j'en avais gros sur le cœur.

— allez Hélène va préparer tes affaires. Dit Marlène.

Je suis tombée amoureuse de mon ennemi ...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant