Chapitre 64

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Le réveil ce mit a sonnée. J'étais déjà réveillé depuis longtemps.
Je regardais à mes côté Ingrid se réveiller doucement.

— bonjour. Dit t'elle en baillent.

— bonjour.

— quel heure est t'il ? Le docteur arrive à dix heure.

— il est huit heure.

— hum sa nous laisse tu temps.

Je savait à quoi elle pensée.
je me lever d'un bon.

— tu va où comme ça ?

— me prendre une douche.

— ça peux pas attendre !

Je l'embrasser sur le front.

— je suis si repoussante ?

— ne dit pas de bêtises.

Je filais vite à la salle de bain sans lui laissée le temps de répondre.
Quand l'eau commencer à couler je prier intérieurement pour qu'elle ne sois pas enceinte. « Pourvu qu'elle ne soit pas enceinte, pourvu qu'elle ne soit pas enceinte » me répétai-je.
Après bien une heure passer dans la salle de bain je sortez enfin.

— je pensée que tu t'étais noyer.

— j'avais besoins d'évacuer le stress.

— pourquoi, tu est stresser ?

— tu ne l'es pas toi ?

— impatiente de savoir plutôt.

— c'est la même chose.

— maintenant que tu as évacuer ton stresse, si tu l'es encore un peux, je peux t'aider moi ...

— c'est déjà neuf heure.

— deuxième fois, d'accord !

— et c'est peux être dangereux pour le bébé.

— tu plaisante j'espère ?

Ingrid me regarder comme si j'étais un débile.

— quoi ?

— laisse tombée, je vais à la douche aussi.

Elle ce leva.

J'allais sur le balcon pour fumer.
Les jours s'agrandissait. Les journées se réchauffés un peux plus chaque jours.
Le printemps continuer sa course pour laissée prendre la place de cette l'hiver glacial.
Les juifs n'allaient pas s'en plaindre à mon avis.
Après trente minutes Ingrid sortais vêtu d'une serviette comme tenue.

— tu me passe ma robe s'il te plais.

Je voyais bien qu'elle me fessait du charme.
Je lui passée sa robe sans vraiment lui prêter attention.

— merci ! Dit elle en assistant sur le mot voyant que sa démarche n'étais qu'une perte de temps.

— il ne devrais plus tarder. Tu as faim ?

Demandai-je.

— non sa ira. Si je suis enceinte nous irons chercher la dentelle cette après-midi. Celle qu'on a vus. La vendeuse m'a dit qu'elle ceux vendais comme du pti pain.

— oui Ingrid.

Le docteur arriva à dix heures précise.

— Lieutenant. Me salua t'il.

— docteur. Répondit-je en fessant de même.

— pourriez vous nous laisser je vous prie. Me dit t'il.

Je suis tombée amoureuse de mon ennemi ...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant