entre pouvoir et famille

chapitre 17: LA scène

Sans avoir le temps de se remettre, deux hommes (très musclés) entrèrent précipitamment et emmenèrent Louane sans qu'elle n'ai son mot à dire. Nicolas avait voulu protester cette prise en force mais ils l'avaientt bousculé comme si c'était un coussin. La traversé des couloirs était interminable, elle avait le tournis tellement les hommes allaient vite et que tout tournait autour d'elle. Comment faisaient-ils pour savoir où ils étaient? Cet endroit était u vrai labyrinthe. 

Elle savait qu'elle était arrivé en sentant que les hommes relâchaient leurs étreintes. Le temps du voyage, ses larmes avaient sécher pour faire place à la crainte. La tête pleins de nouveaux traqua, elle attendit patiemment que la porte en face d'elles'ouvre. Cela dura tellement longtemps qu'elle s'endormi. Entre le faite d'avoir lu dans les pensés de Nicolas et d'avoir défait ses liens magiques, elle avait utilisé la plupart de sa magie. Elle avait donc besoin de se reposer! 

Malheureusement pour elle, son sommeil fut de courte duré, la porte s'ouvra violemment. Au lieu de voir une nouvelle tête, elle se heurta à sa sœur. Maintenant Louane était consciente de la haine que sa Lisa avait pour elle. Tel fut son étonnement quand sa sœur la prit dans ces bras! Pour quelles raisons pouvait-elle bien agir comme ceci? Sans attendre une deuxième chance, Louane lui fit passer un message: "il faut qu'on se voit, j'ai quelque chose à te dire", "moi aussi", lui répondit Lisa. 

Elle apprit qu'elle était en fait dans le bureau de Thomas. Était-ce si grave de se défaire de ces liens?

Quand il fut temps (qui sait comment on pouvait le deviner), un des hommes entra. Quelques secondes plus tard, elle entendit des cris. Elle tendit l'oreille, et grâce à son ouï magique, elle put comprendre ce qui se passait:

Thomas: Comment as-tu pu attendre aussi longtemps! Si c'est une affaire urgente, tu dois me prévenir IMMÉDIATEMENT!!! C'est inacceptable, je n'y crois pas!

l'Homme: C'est à dire que je ne savais pas ce qu'il se passait, disait-il d'une voix douce, je vous jure que, lorsque nous avons vu les vidéos, nous nous sommes immédiatement rendu dans sa chambre pour la forcer à nous suivre. Elle n'a même pas eu le temps de sécher ses larmes, nous l'avons pris entre nos deux bras et...

Thomas: Quoi! Et en plus vous l'avez maltraitée? Le ton que tu emploi devrai être honteux, non fière! C'est une honte! Tu baisse de trois grades et tu es puni! Va à la salle 113 pendant, hum réfléchissons, une heure! Tu ne mérite pas moins!

l'Homme: Vous avez raisons chef, je le mérite.

Que pouvait bien être la salle 113? Pourquoi n'avait-il pas omis d'indignation? Non sans crainte, elle s'avança pour entrer. Ce n'était plus le Thomas accueillant en face d'elle mais bien un Thomas préoccupé et inquiet. Les deux doigts su le haut de l'arrête de son nez, essayant sûrement de se détendre, il s'excusa sans raison de la manière dont l'avait traité Louis.

- Ce n'est pas de votre faute, vous ne saviez pas essaya-t-elle te tempérer.

- Si c'est la mienne, justement. C'est moi qui donne les ordres et qui m'assure du bien être de tout le monde. En agissant comme cela, Louis m'a montré à quelle point mes consignes étaient inexistantes.

Elle ne savait pas quoi dire. D'un côté, il avait raison. Ne voulant pas que ce blanc continue, Thomas changea de sujet:

- Comment as-tu réussi à enlever ses bracelets? C'est normalement impossible! 

- Impossible n'existe pas, tel est ma devise.

- Louane, je ne rigole pas! Dit-le moi.

S'imaginant la scène dans sa tête Louane se voyait en train de lui expliquer qu'elle avait embrasser son fils, dont elle fantasmait depuis des semaines et que ce baiser avait produit un enchantement telle qu'elle avait brisé les liens! Non il valait mieux ne rien dire. 

Soudain, l'air s'épaissit. Tellement que s'en était pratiquement inexpirable, puis il revint comme par magie. De la magie, c'était de la magie! Louane regarda Thomas, oui c'était lui: il possédait la faculté de l'air, quelle chance! Il fallait absolument qu'elle l'"absorbe", même si cela lui causerais des douleurs insupportable.

- J'ai, j'ai eu une montée de magie, ce qui les a brisé.

- Mais qu'est-ce qui a crée autant de magie en toi? C'est ça qui m'intéresse!

- C'est, c'est c'est la nourriture dit-elle d'un ton qui se voulait abattu et honteux.

Après un long soupir, Thomas reprit:

- Me prends-tu pour un guignol? Ou peut-être penses-tu que je suis trop fatigué pour m'apercevoir que tu es une piètre menteuse? Ta sœur avait raison, tu ne fait que mentir. Tu profites d'être puissante pour mener tout le monde en bateau.

- C'est faux, hurla-t-elle

C'en était trop, elle se leva et regarda Thomas, concentrée. Il se plia en deux de douleurs, tellement elle avait forcé. Puis, réfléchissant à une autre manière de le choquer, elle trouva. Elle pénétra dans son esprits avec facilité et lui fit revivre sa naissance. A regarder sa tête, ça marchait! 

Sans le vouloir, ses pensée se tournèrent vers Nicolas. Que penserait-il de tout ça? C'était son père après tout? Comme toute fille, après un baiser, elle ne pensait qu'à ça! Nicolas rimait avec baiser. En diminuant l'intensité et en pensant à son nouvel amoureux, ce n'était plus elle dans Thomas mais Thomas dans Louane. Il pu alors contempler avec stupéfaction la fameuse scène qui faisait chavirer le cœur de l'enchanteresse.