Elle s'appelle Céleste (partie II) ✔

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- Son prénom tu connais son prénom.

Je me défis doucement de l'étreinte de mon amie et lui prit la main en lui offrant mon plus beau sourire.

- Oui, mais viens, mon premier cours est avec elle aujourd'hui. Je vais te la présenter.

- Je te suis seulement si tu me donnes son prénom.

- Il commence par un A et se termine par un A, en six lettres. Je ne t'en dirais pas plus.

- T'es chiante.

- C'est pour ça que tu m'aimes. Allez, viens.

On entra dans le lycée et je guidais mon amie jusqu'à la salle ou nous attendait Athéna. Mais au milieu du chemin Ondine s'arrêta.

- Athéna.

- Pardon?

- C'est son prénom, n'est-ce pas ? Ta prof, elle s'appelle Athéna Evrenim.

- Tu verras. Viens !

Athéyia et moi arrivâmes finalement dans la salle. Athéna se tourna vers nous en souriant,comme toujours.

- Sabine, tu ne me présentes ton amie ? Demanda-t-elle, d'un ton maternel.

- Oui, excuse-moi, Athéna, je te présentes Ondine que tu connais sous le nom d'Athéyia.

- Merci. Tu vois, ce n'est pas si compliquer que cela de me tutoyer.

- Je trouve ça irrespectueux, c'est tout.

- Bref, je suis ravie de te revoir Athéyia, sincèrement.

- Moi aussi maman, tu m'as manquée.

- J'espère bien !

- Tu l'as retrouvée ?

- Oui et non.

- Comment ça ?

- Elle... n'a pas sa mémoire. Elle est là sans être elle.

- Je vois... Qui est-ce ?

- Voyons ! Toi même, sa sœur jumelle tu ne t'en es pas rendue compte ? Tu devrais avoir honte !

- Non... Pas elle ! Ne me dis pas que c'est elle. Comment ne m'en suis-je pas rendue compte, après tant de temps... Et ... Tu as dis son nom ?

- Non, elle n'est pas prête.

- D'accord. J'y vais ça va pas tarder a sonner. A plus mam's

- Oui, oui et ne m'appelle «maman » ici.

- Ouais.

Ondine sortit de la salle et rejoignit des élèves de sa classe. Tandis que je me lamentais. Pourquoi ? Eh bien tout les gens que je connaissais (ou du moins croyais connaître) étaient des dieux, alors que je n'étais qu'une humaine. Certes, j'avais la sympathie d'Athéna et de sa fille aînée, mais humaine tout de même.

- Un problème ? S'attendrit la Déesse, néanmoins légèrement moqueuse.

- Oui, toutes le personnes que j'apprécie son des divinités ! Même Enetari!

- En quoi est-ce un problème ? Tu devrais te sentir protégée, plus que quiconque sur cette planète.

- Oui... Mais vous êtes toutes si impressionnantes ! Si puissantes !

- Oh, Sabine ! Et puis tant pis tu l'auras voulu !

- Voulu quoi ? 

- Ma fille cadette s'appelle Céleste, laissa-t-elle tomber.

Sabine WatsonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant