Les compagnons (partie I) ✔

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Je lui tendis donc le sucre, elle l'attrapa. J'aimais beaucoup cette nouvelle matinée. On devait avoir l'air d'être une famille normale. J'aimais ma vie en tant que déesse ne vous méprenez pas, mais j'aurais aimer être encore normale, un tout petit peu.

Notre matinée s'écoula rapidement, l'après-midi j'entraînais Apollon dans les écuries n'hésitais pas à enfourcher Murmure. 

- Tu veux m'accompagner?

- Pourquoi pas?

- Chouette! Tu peux monter Eclat elle est libre aujourd'hui.

- Je te suis. 

On alla donc vers la stalle d'Eclat c'était une grande jument grise pommelée on la sella rapidement Apollon sauta sur dos, me suivit dehors et nous entamions donc une ballade dans la petite forêt qui était sur la propriété des écuries. Nous étions dans un silence appaisant, je me sentais bien ave lui. Soudain il se tourna vers moi et me sourit.

- Parle moi de toi.

- Tu veux savoir quoi?

- Tout.

- D'accord alors jouons au jeux des dix questions.

- Oui, je commence. Tu as déjà eut un petit ami avant moi?

- Non, tu es le premier.

- Et le dernier. A toi.

- Qu'est ce tu aimes chez moi?

- Tout!

- Mais tu me connais à peine.

- Ah oui. Bah j'aime tes yeux, tes cheveux ta façon de parler, de marcher... 

- Ok ok, j'ai compris. A toi.

- Tu aimes quoi?

- Euh... J'aime monter Murmure, dormir, passer du temps avec ma famille, mes amies. Euh...

- Et moi la dedans? 

- Mais j'ai pas finis! Euh regarder des films, lire, dormir, discuter, les réseaux, aider les gens, dormir, embêter les gens, j'aime bien parler avec Dylan et toi aussi je t'aime.

Au moment ou le nom de Dylan s'était échapper de ses lèvres son visage s'était décomposer. Et une jalousie sans nom semblait s'être poser sur lui. Il me toisa méchamment.

- Eh bien si tu aimes parler avec lui t'as cas retourner là-bas, et il lança Eclat au galop.

- Non, Apollon, attends!

Jen'eus pas besoins de le manifester que Murmure alla d'elle-même poursuivre Eclat. Tandis que je criais son nom, je le voyais de moins en moins et au plus profond de moi j'avais un très mauvais pressentiment.

On galopa durant plusieurs heures avant qu'Eclat ne manifeste l'envie de s'arrêter, Apollon descendis donc et, m'entendant arriver fit mine de s'éloigner, c'était sans compter mes pouvoir de déesse de la lumière. Je fus à ses côtés rapidement. 

- Tu veux quoi? Dit-il, boudeur.

- Un gros câlin.

- Non! 

Ce cri ne venait ni de moi, ni de lui. On se retourna donc, il venait de Dylan. 

- Je t'interdit de t'approcher de lui, Sabine, tu es à moi.

- Je ne suis à personne Dylan, il serait temps que tu t'en rende compte.

- Si!

- Si quoi? Demandais-je à Apollon.

Sabine WatsonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant