La capitale (partie III)✔

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Vous êtes surpris? moi aussi, mais les vacances  approchent donc j'aurais pas forcément le temps de tout publier à l'heure, donc je le fait en avance. Voilà toute la suite que j'ai écrite sera donc publiée aujourd'hui.

Cette femme dégageait une aura de puissance tranquille incroyable, elle avait les yeux turquoises, une silhouette ni fine ni mince, dans le juste milieu. Ses lèvres roses se relevèrent dans une moue étrange, comme de la désapprobation. J'en déduisit qu'il s'agissait d'Emmeline, la mère d'Alexia.

Après un rapide coup d'oeil je vis que chaque compagnons d'Alexia arboraient cette moue désapprobatrice. Je détaillais chacun d'entre eux. D'abord ma cousine, Alexia. C'était une petite femme, ses yeux dorés étaient magnifique, pareils à de l'or en fusion, elle avait les cheveux miel, ils étaient remontés dans un élégant chignon.

Puis Edwige, la sœur jumelle d'Alexia, c'était une grande blonde aux yeux bleus, sa silhouette fine et musclée trahissait son habitude à faire du sport. Xavier, le frère de Stephan ne lui ressemblait absolument pas, il avait les cheveux noirs, certes, mais la ressemblance s'arrêtait là. Ses yeux étaient gris, il était très peu musclé. Son air taquin, en revanche mettait en garde. Isabelle, enfin était une rouquine aux yeux verts, son air enfantin était un vrai courant d'air frais dans cet immense palais ou tous étaient si sérieux. Sa silhouette était fine et athlétique. Elle me faisait penser à la déesse de la lune et des jeunes fille. Artémis.

D'ailleurs, tous me faisaient penser à des dieux. Alexia à Céleste, Stephan à Arès, Emmeline à Athéna, Xavier à Hermès et Edwige à Athéyia. Peut-être que... Non, tout de même, ils n'auraient pas... Je devrais leurs demander, non? Mais comment aborder le sujet?

Je discutais avec Stephan-Arès, à propos de notre soit-disant vie commune, afin d'en peaufiner les détails quand je sentis un trouble puissant envahir la salle. Je me tournais donc vers Arwen, interrogative. Elle me fit signe que ce n'était rien, néanmoins je posais Alexandre dans les bras de son grand frère et lui fit signe de me suivre. Elle obtempéra. Finalement, c'est moi qui la suivit dans les couloirs du château, elle me mena jusque dans son jardin privé.

- Qu'y a-t-il, Arwen? Je sais que l'on ne se connaît pas depuis longtemps, mais je suis ta cousine, je suis de ton sang, tu peux tout me dire.

- Oui, je m'en doutais mais...

- Mais?

- Est-ce que... est-ce que toi et les autre, vous seriez des dieux?

- Pourquoi ça?

- Eh bien, tous à votre façon vous me faîtes penser à des dieux. Toi, par exemple, tu me fait penser à Céleste.

- Ah? Pourquoi?

- Tu es bienveillante, chaleureuse, lumineuse, il émane de toi la même chaleur qu'il émanait d'elle tout à l'heure.

- Tu trouves?

- Oui.

- Et ma mère?

- Athéna, elle a cette aura de puissance, on a tout de suite envie de la respecter, elle l'impose rien que par sa présence, et pourtant quand elle vous regarde, toi ou ta sœur, elle a cette douceur dans le regard, c'est incroyable.

- Merci, je vais le prendre comme un compliment.

- Mère!

- Tu peux lui dire, elle est fiable.

- J'avais pas besoin de ta bénédiction.

- Mais tu n'aurais rien dit sans, avoue.

- J'avoue. Eh bien Arwen, tu as raison, nous sommes des dieux.

- Vraiment?

- Je suis Céleste, ma mère est bien Athéna, Isabelle?

- Artémis?

- Gagné. Edwige?

- Athéyia.

- Oui. Xavier?

- Hermès?

- Bien. Stephan?

- Lui aussi? Arès?

- Oui! Voilà, tu sais tout.

- Mais, si tu es avec Apollon, pourquoi avoir épouser Arès?

- Je ne l'ai pas épouser.

- Mais...

- J'ai dis que je l'avais épouser, mais dans les fait ce n'est jamais arriver, je suis fidèle à ... Où est-il?

- Calme-toi, il est avec sa sœur.

- Ouf! J'ai vraiment cru que...

Céleste, ma fille n'eut jamais le temps de terminer sa phrase. Elle avait vu, avant moi, la flèche qui fonçait vers Arwen... Elle n'aurait jamais eut le temps de l'arrêter elle le savait, mais physiquement... Une larme roula sur ma joue, Arwen était trop choquée pour pouvoir agir. Elle ne put que crier. Une longue plainte franchit la barrière de ses lèvres.

Au même moment, plus loin dans le château une jeune duchesse mettait au monde une petite fille, elle n'aurait jamais l'occasion de la connaître, au prix de la vie qu'elle sauvait en accouchant elle dût donner la sienne. Le père étant déjà mort, la petite ne pouvait qu'espérer que le roi la prenne comme pupille. La sage-femmes'affola. La mère n'eut que le temps de murmurer le nom de Sabine. Une larme roula sur la joue de l'enfant...

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Et voilà, les amis, c'est la fin de l'histoire de Sabine, pour une fois, ce sont les méchants qui ont gagné. Je dois vous avouer que ce n'est pas la fin que je voulais, mais quand j'écris, les mots coulent tout seuls, et, pour être honnête, je trouve que c'est celle qui colle le mieux, au moins, maintenant, le mystère de l'identité de la petite fille est résolu.  Salut, cette histoire est désormais terminée. Peut être que je vais en écrire une autre, qui sait? Oh, j'ai faillit oublier, oui  Wendy ,c'est la vrai fin, si je peux faire ça c'est mon histoire, et oui je sais que tu me déteste. Moi aussi j'ai pleurer en l'écrivant. Oui Athéna est en train de me frapper. J'ai décider de faire une FAQ si vous avez des questions  poser les ici.

Peut être à une prochaine fois,

Noëla

Sabine WatsonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant