On t'aime (partie IV) ✔

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Je les rejoignais, le sourire au lèvres. Arrivée à la salle à manger mon sourire se figea, un souvenir remonta à ma mémoire.


~


C'était une journée ordinaire pour les deux jeunes filles de cent ans que nous étions Athéyia et moi. Nous jouions innocemment dans le jardin de l'immense château de notre mère. Soudain, notre grand-père jaillit de nul part, nous effrayant, nous courons nous cacher dans les jupes de Mère et il sourit. Il la salua et nous, par la même occasion.

Il la prit à part et lui murmura quelque chose à l'oreille, le visage de notre mère se figea et son sourire disparut. Des larmes glissèrent le long de ses joues tandis qu'elle tombait à genoux sur le sol, Ath' et moi nous nous approchions d'elle et la prenions dans nos bras et fusillons Zeus du regard et emmenions notre mère à l'intérieur. Nous avions tout tenter, ce jour là ce n'est qu'au bout d'une semaine, lorsqu'elle alla mieux qu'elle nous apprit que notre père était mort.


~


Aujourd'hui je en me souvenais plus de lui, en rien aucuns souvenirs. Cela ne m'affectais en rien, j'étais heureuse après tout. Je me rendis alors compte que j'étais dans la salle à manger et que ma mère m'observait d'un air douloureux. Je lui offris un triste sourire et aller m'asseoir près d'elle, elle glissa ses doigts dans mes cheveux et elle me colla un baiser sur le front. Ondine nous observait jalousement, alors A... maman se leva me lança un regard meurtrier, embrassa ma sœur sur le front et revint s'asseoir près de moi en prenant le soin de me frapper derrière la tête en passant.

-Aïe, moi aussi je t'aime, maman...

-J'ai louper quelque chose? Demande Atheyia

-Non rien.

Le petit déjeuner se passa tranquillement, maman proposa d'aller en ville après quoi on irait à la plage s'il ne pleut pas.

-Je ne suis pas contre mam's, intervins-je.

-Mais?

-Il ne faudrait pas qu'on arrive en même temps, ce serait embêtant, autant pour nous que pour toi. Donc... On fait comme hier? Ath' et moi on monte dans la voiture en étant invisibles et tu nous dépose devant un magasin... Ensuite on se retrouve... je sais pas moi...Devant le parc vers dix heures "par hasard" ?

-C'est une très bonne idée, mon ange.

-Evidemment, elle vient de moi.

-Tu exagères un peu...

-Oui, on y va?

-Allons-y.

Alors une fois que mon sort eu prit effet ma sœur et moi montions dans la voiture et A... notre mère nous déposa devant la mairie et s'en alla vers d'autres horizons ... Ondine et moi passâmes la mâtiné à flâner dans les magasins puis vers neuf heures et demie on croisa Enetari et ses amies.

-Si ce ne sont pas mes petites ni... camarades préférées.

-Bonjour Enetari, comment vas-tu?

-Très bien merci et vous?

-Très bien aussi. As-tu réfléchis?

-Oui, je pense...

-Tiens donc ça c'est nouveau.

-Ondine! Excuse la, donc?

-Athéna?

-Gagné! On doit y aller, j'ai été ravie de te revoir.

-Moi pas? Lança ma jumelle

-Dommage, au revoir.

-Au revoir.

La déesse et son groupe s'éloignèrent tandis qu'Ondine et moi-même nous nous dirigeâmes vers le parc. Sur le chemin Ondine s'arrêta devant une boulangerie pour nous acheter des chausson aux pommes et du café glacé. Arrivées dans le parc nous eûmes la surprise de constater que notre mère n'était pas seule, Dylan l'accompagnait. 

-Madame Evremin ! Quelle surprise.

-Tiens, mais c'est la petite Sabine. Je ne crois pas connaître ton amie?

-Non, je m'appelle Ondine. Ravie de faire votre connaissance.

-Moi de même.

Je les laissais "faire connaissance" et me tournais versDylan.

-Salut.

-Salut.

-Ecoute je suis vraiment désolée pour hier soir...

-Ne t'inquiètes pas, elle m'a tout expliquer.

-Comment ça ?

-Oui, madame m'a dit pour le devoir. Tu avais peur de ne pas finir dans les temps parce que tu travailles toute seule sur le projet. Donc tu es rapidement rentrée chez toi pour continuer à travailler dessus.

-Oui... Désolée.

-C'est pas grave. Mais du coup pour te faire pardonner tu m'accompagne au cinéma. Ce soir. Tu n'as pas le choix.

-Mais pour voir quoi?

-On décideras sur place.

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Partie assez courte je le sais mais c'est la vie elle est injuste c'est comme ça.

Je ne m'excuse pas parce que c'est la fin du chapitre donc elle ne pouvait être plus longue... voilà.

Si vous avez des question je suis tout ouïe.

Bises, à mercredi

Noëla

Sabine WatsonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant