capítulo veinticuatro

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« Je n'ai jamais cessé d'y croire. »
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2 juillet
hôpital, Istra
7h24

Justine Auchet

Je me réveille à l'hôpital et je suis plus en forme que jamais puisqu'aujourd'hui je suis prête à rentrer au camp de base avec les garçons. Je vais enfin pouvoir reprendre ma vie d'avant. Comme convenu avec le médecin le jour de mon reveil, je peux sortir de l'hôpital et continuer mon travail chez les bleus et continue d'être suivit par le psychologue.

9h00

Antoine, Didier et Florian sont venus me chercher à l'hôpital puisque mes parents devaient rentrer en France pour le travail. Mes affaires sont prêtes parce que je veux partir au plus vite d'ici, je déteste les hôpitaux.

10h12

Après avoir signé tous les papiers et avoir fait quinze minutes de trajet je suis enfin de retour au camp de base et je vais revoir les gars, qu'est-ce qu'ils m'ont manqué ces zigottos. Je descends de la voiture et vais pour récupérer mon sac mais Antoine m'en empêche.

- T'es encore faible, tu ne portes rien.

- Mais si je vais très bien allez donne-moi le sac Antoine je peux le porter.

- Tu ne portes rien on a dit allez bouge de la, termine Flo.

Je m'écarte de devant le coffre et laisse passer Antoine. J'attrape le bras de Florian et on marche tous les trois vers l'entrée. On rentre dans le camps de base et on retrouve les garçons dans le salon. Ils se retournent à l'entente du craquement du parquet et lorsque ils me voient, automatiquement un large sourire se place sur le visage de chacun d'eux. Ils viennent tous un par un me faire un câlin et me glisser un mot à l'oreille.

- Ne me fais plus jamais une frayeur pareille, me dit Corentin.

- Je t'aime ma petite fille, ris légèrement Steve.

- Heureux de ton retour ! Me prend dans ses bras Hugo.

- On va pouvoir recommencer nos sales coups maintenant que tu es de retour. Me tchèque Blaise.

- Tu m'as manqué Juju, me dit Nabil.

- Tu m'as fait terriblement peur, je t'aime Justine, me dit Raphaël en me prenant dans ses bras.

- Je savais que t'étais une battante. Me dit Thomas en me faisant un clin d'œil.

- Mi niña est de retour ! Cris Lucas en faisant un pas de danse.

- Prête à danser j'espère ? Me demande Presnel.

- Tu nous as manqué à tous Juju, me dit Alphonse.

- Content de ton retour parmi nous ! Me dit Ng.

- Heureux que tu ailles bien ! Me prends dans ses bras Djibril.

- Tu m'as fait vachement peur. Je crois que tu te rends pas compte à quel point tu comptes pour nous, me dit Steven.

- Qu'aurait fait le businessman sans sa businesswoman ? Demande Ousmane en archant un sourcil.

- J'ai couru comme si j'allais vers toi, rigole Kylian.

- T'es prête à casser la démarche ? Me demande Samuel.

- Je n'ai jamais cessé d'y croire, dit-il en levant les yeux vers le ciel.

- Dieu m'a entendu à ce que je vois, tu es enfin de retour et sur pied. Tu m'as manqué mongole, dit Paul en ébouriffant mes cheveux.

- De retour grâce à ma luckystache, s'exclame adil en touchant sa moustache.

- Ce but t'es et te sera toujours dédié ma soeur, termine Ben.

Après ces retrouvailles, je m'excuse auprès des garçons et me dirige dans ma chambre afin de ranger mes affaires. J'allais commencer à monter les escaliers lorsque une main m'attrape par l'épaule. Je me retourne et découvre Antoine.

- Je t'ai dit de rien porter, t'es sourde ou quoi ?

- Quelqu'un m'a parlé ? Non vu que je suis sourde, je n'entends pas quand on me parle.

Antoine ricane face à mon comportement et empoigne mes valises. Je le suis dans les escaliers et on se rend à ma chambre. Il dépose mes valises devant mon armoire et je dépose mon sac à main sur mon bureau. Antoine se retourne vers moi et se rend compte que les larmes me montent aux yeux.

- Eh mais qu'est-ce qu'il se passe mi amor ? Me demande t-il en me prenant dans ses bras.

- C'est juste un trop plein d'émotions et de fatigue. Je me rends surtout compte que en faisant cela je vous ai fait tellement de mal.

- Laisse ça derrière toi. Pour nous tout ce qui compte c'est que tu ailles bien, dit-il en prenant mon visage entre ses mains m'obligeant à le regarder.

Il dépose délicatement ses lèvres sur les miennes, dieu que ses lèvres m'ont manqué. Je ne veux pas me séparer de lui, mais j'en suis obligée. À bout de souffle nous nous écartons l'un de l'autre.

- Tes lèvres m'avaient manquées. Les quatre bien sur, dit-il en me faisant un clin d'œil.

- T'es un beauf Antoine, répondis-je en lui frappant l'épaule.

- C'est pour ça que tu me kiffes

- Hum, j'en suis pas si sur moi.

- Ah ouais ok, je retiens, dit-il en croisant ses bras sous sa poitrine signe qu'il boude.

- Toi aussi tu m'as manqué mi cachalote. Je suis désolée de t'avoir laissé et de t'avoir fait du mal. Notre vient à peine de commencer qu'on a déjà des galères

- Ne t'en fais pas pour moi, le plus important c'est toi.

Je dépose une nouvelle fois mes lèvres sur les siennes. Il m'a tant manqué. Je ne veux plus jamais le quitter.

Je suis allongée sur mon lit avec mes écouteurs lorsque j'entends que l'on frappe à ma porte. Je dis à la personne d'entrer et je découvre Corentin. Je lui souris et il s'approche de moi.

- Je te derange pas ?

- Non du tout tu veux quelque chose ?

- Je voulais te demander quelque chose mais avec ce qui c'est passé j'ai peur que ce ne soit pas le bon moment.

- Ne t'inquiète pas je vais beaucoup mieux. Dis-moi tout.

- Tu continues à recevoir des messages bizarre ?

- Oui, toi aussi ?

- Oui et je te cache pas que ça commence à me faire peur. Et hum... Je voulais te demander c'est à cause de toutes ces menaces que tu as fait ça ?

- J'en suis vraiment pas fière. J'ai été tellement faible mais oui.

- Je ne veux pas te culpabiliser mais tu aurais dû nous en parler. On aurait pu t'aider.

- Maintenant je le sais mais il menaçait de s'en prendre à vous et à ma famille. Ses menaces étaient si sérieuse que j'ai pris peur.

- Je comprends parfaitement ne t'en fais pas mais maintenant il va falloir qu'on en parle à Didier pour qu'un système de sécurité soit mis en place.

- Tu as tout a fait raison.

ma destinée ; antoine griezmannOù les histoires vivent. Découvrez maintenant