"EN BOUCLE". Qui n'a jamais connu cette situation où une mélodie entêtante ne cesse de se répéter, en boucle ou par intermittence, dans notre tête, nous poursuivant parfois une journée entière ? Ce phénomène est surnommé "vers d'oreille" et est qualifié par les scientifiques d'"imagerie musicale involontaire" (INMI). Mais on ignore tout du mécanisme cérébral à l'origine de ce type de "pensées intrusives".
De précédentes études ont montré qu'une chanson est d'autant plus susceptible de nous revenir inopinément à l'esprit et de s'y incruster que nous l'avons entendue souvent et récemment.
Ces airs obsédants ont en moyenne un tempo plus rapide que les autres. En outre, le contour de leur ligne mélodique (la façon dont la hauteur des sons monte et descend) est assez commun, dessinant par exemple souvent des arches sur la partition. Mais par moments, cette mélodie conventionnelle est entrecoupée d'enchaînements surprenants.
Comment expliquer que ces caractéristiques rendent d'innocentes chansons aussi obnubilantes ? Les études ont révélé que ces airs nous viennent souvent à l'esprit lorsque nous avons une activité rythmée, comme un footing. Cela nous imposerait un tempo naturel, qui tendrait à faire surgir des musiques rapides dans notre tête. Une mélodie commune serait en outre plus facile à retenir et à rejouer en boucle pour notre cerveau, tandis qu'un peu d'inattendu piquerait sa curiosité. Une recette que Kelly Jakubowski résume par l'expression : « simple, mais pas trop ».
Source : Sciencesetavenir.fr
C'était la minute d'information, la suite de l'histoire débute maintenant.
Bonne lecture.
« — Izuku. Sais-tu pourquoi je t'ai choisi toi, parmi tous ces enfants ?
— Pour mon intelligence ? Je n'ai rien d'autre à part ça.
— C'est justement parce que tu n'as rien d'autre. Comme tu ne possèdes pas ce que la plupart des humains possèdent. Parce que tu n'as pas eu la chance d'avoir la seule chose que tu souhaitais obtenir dans cette vie.
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Seigi no me || MHA
FanfictionIl y a dix ans, des séries d'enlèvement d'enfants - de trois à six ans - sévissaient un peu partout au Japon. Quelques années après leurs disparitions, les enfants réapparaissaient avec des souvenirs manquants, le regard éteint et n'ayant plus goût...