Crocs Sucrés

48

Les jours qui suivirent furent comme un rêve : je n'avais plus eut de crise.
Plus d'évanouissement, plus d'inquiétude ... il n'y avait que l'insousciance.
J'étais aller pêcher, je jouais avec les fairy présent, je mangeais, je dormais.
J'étais vivante.
Même si je savais que ce n'était que temporaire, j'essayais de faire de mon mieux pour sourire, pour profiter du moment présent.
Léo et Lias me manquaient. Maman aussi. Mes amis aussi, mais je n'y pouvais rien.Je n'avais pas encore appeler mon père.
Adrien me l'avait proposé plusieurs fois mais je m'esquivais toujours de manière ingénieuse.
Comme l'avais dit Aoi, Aibell avait agrandit la villa.
En bas, se trouvais a présent une grande bibliothéque. A côté d'elle, Aibell avait demander aux nains de construire des bains d'eau chaude. Ils étaient agréables et magnifique ! La salle était immense !

Cela faisait deux semaines que la cérémonie du contrat s'était déroulé.Le cerceuil était toujours là dans le jardin, ouvert, attendant ma prochaine crise.
Je mangeais tout en l'observant du salon. Adrien, face à moi, buvait un café tout en lisant un livre.
-Dis ... tu ne veux pas retourner au nid ?
Il leva la tête, surpris :
-Tu te lasse déjà de moi ?
-Non mais ... le nid doit te manquer non ? Pourquoi tu ne me laisses pas ici ?
-Lily, si je suis ici, c'est pour veiller sur toi ! Et puis, tu n'es toujours pas guérie !
La reine te l'a expliqué, ils n'ont fait que ralentir ton temps, ils ne l'ont pas arrêter !
-Mais ...
-N'espère pas me voir repartir ! Je reste avec toi, point barre ! Sinon, tu es sûre que tu ne veux toujours pas appeler ton père ?
Je baissa la tête en soupirant.
-Très bien, je vais l'appeler. Passe moi ton téléphone.Il me le tendis, non sans un regard soupçonneux.
-Allo ?-Allo ? me répondit une voix familière.
Je me figea et tendis le téléphone a Adrien.
Il le prit et discuta avec la personne au téléphone briévement avant de me le repasser.
-Allo ?
-Bonjour ma fille, comment vas-tu ?
-Bonjour Papa, toujours en vie comme tu l'entend ! m'exclamais-je.
-Ne dis pas ça ! J'ai vraiment eut peur pour toi ! Heureusement que La reine de Tir na nog a accepté de t'aider ...
-Oui, Titania et Obéron sont vraiment venu a temps. Dis donc, papa, comment as-tu expliqué ma disparition ? Parce que si Lias, apprend que tu es en contactes avec moi il risque de péter les plombs ...
-Je ne m'attendais pas à ce que Lias ait mon téléphone avec lui, je vais être plus prudent. Adrien m'a déjà tout expliquer. J'essaierai de venir te voir prochainement, d'accord ?
-Oui ... prend soin de toi, d'accord Papa ? Et ne laisse pas Léo courir dans la fôret, sa dérangerait son gardien ... et prend soin de Lias et maman ... et ... de Nicolas.
-Ne t'inquiéte que de toi, ma puce. A bientôt !
Puis il raccrocha.
Lys se mit a côté de moi et me prit dans ces bras.
Je me rendis compte qu'une larme avait déborder de mes yeux, sans que je ne m'en rende compte.
Je l'essuya rapidement et me leva.
-On fait quoi aujourd'hui ? dis-je en inspirant l'air de la fenêtre.
J'entendis rire derrière moi et sentis qu'on me déposait quelque chose sur la tête.
-Obéron ! m'exclamais-je en me retournant.
-Comment vas-tu charmante ralentie ?
-En super forme !
-Alors vient avec moi ! fit-il en me prenant entre ces mains tel une princesse, et courrir hors de la villa.
-Où m'emménes-tu ? lui criais-je, alors qu'il filait a tout allure.
-Ne t'inquiéte pas et fais-moi confiance !

Je souris et posa ma tête sur son torse.