Chapitre 59

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Salut, salut ! Petit rajoue dans ce chapitre grâce à mon adorable chien qui m'a fait la surprise d'accoucher de deux merveilleux chiots hier dans la nuit, petite photo à l'appuie 😉 C'est bien connue, le chien est le meilleure ami de l'Homme 😁 

Bonne lecture et bonne journée 😉

Bonne lecture et bonne journée 😉

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PDV Amélia

-Sérieusement Amélia ! Mais qu'est ce qu'il tes passé par la tête ! Tu crois qu'ont est de retour à l'âge de la préhistoire, et qu'ont règle nos problème en tapant sur la tête de ceux qui ne sont pas d'accord avec nous, à grand coup de fémur de triceratops !

Je retiens difficilement un rire alors que ma mère fait les cents pas devant moi au salon depuis plus de dix minutes. Elle n'a vraiment pas bien pris le fait que j'ai frappé Alix, à vrai dire moi non plus je ne me reconnaît pas dans ce geste. Mais quand elle en est venu à mal parlé de mon fils je n'est pas pu retenir mon poing qui me fait atrocement mal maintenant.

Alycia assise à mes côtés sur le canapé, tient une poche de glace sur mes phalanges rouges, écoutant tout comme moi la crise de ma mère. Heureusement Maïa à bien voulut prendre Elio et Teddy avec elle dans le jardin, ils non pas besoin de voir ce spectacle désolant.

-Tu dis détester la violence mais tu frappes sur ta meilleure amie !

-Ce n'est plus ma meilleure amie maman ! Dit je sèchement.

Je ne peux pas la laissé parler ainsi de la plus détestable et horrible personne que je n'est jamais connue, j'arrive même à me demander comment ont à pu être si proche à une époque.

-Ce n'est pas une raison ! Qu'est ce que je vais dire à ses parents moi ? Tu sais qu'ont est amie.

-Que leur fille est une salle conne homophobe, qui en plus sort avec un violeur !

Mes mots sortent tous seul, et quand je m'en rend compte il est déjà trop tard, mes deux mains recouvrent ma bouche alors que ma mère se stop pour me fixer hébété, tout comme mon père qui relève la tête de sa tablette, me regardant par-dessus ses lunettes.

-Un violeur ? Qu'est ce que tu racontes Amélia ? Me questionne ma mère alors qu'Alycia a elle aussi stopper tout mouvement.

Bien sûr elle est au courant, mais je pense qu'elle ne s'attendait pas à ce que je balance ça comme ça, moi non plus d'ailleurs.

Les larmes me montent aux yeux quand l'incompréhension dans leurs regard se change un regard horrifié pour ma mère, et une certaine haine pour mon père. Je ne peux soutenir leurs regard plus longtemps, et me précipite dans ma chambre ou je me laisse tomber sur mon lit, enfouissant ma tête dans l'oreiller d'Alycia.

Son odeur encore présente dessus à le don de me calmer un peu, bien sûr que monsieur Talet m'a beaucoup aidé, grâce à lui j'ai mit des mots sur ce qu'il m'est arrivé, mais je n'aurais jamais cru sortir ces même mots à mes parents, même s'il me l'avait conseillé.

L'équation du bonheurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant