Chapitre 45

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Juste quelques petits mots pour vous souhaitez un belle année, quelle soit emplie de joie, de bonheur, de rire, d'amour, et bien plus encore !

Bonne rentrée pour ceux qui la ferons peut être dans quelques heures 😉 bonne lecture et excellente journée 😊

Bonne rentrée pour ceux qui la ferons peut être dans quelques heures 😉 bonne lecture et excellente journée 😊

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PDV Amélia

Alycia balance son sac de sport rempli de toutes sortent de vêtements, gel douche, chargeur, et j'en passe, sur son épaule après que Teddy les relâcher. Elle tourne la tête vers moi et le sourire qu'elle aborde me donne la force de sortir de cette chambre.

J'attrape la main qu'elle me tend et lient nos doigts entre eux avant de franchir le seuil de la porte. Les couloirs sont plein de jeunes qui déambulent, des casques sur les oreilles, des ordinateurs ou tablettes dans les mains pour certains. Ils semblent tous absorbé par ce qu'ils font, ne me prêtant aucunes attention.

Pourtant une peur comme viscéral me tord le ventre, je me sert un peu plus contre Alycia qui semble se rendre compte de mon soudain malaise. Elle ressert ses doigts autour de ma main et passe nos mains lié dans mon dos me rassurant quelques peu.

Je me dit que tout va mieux, que je peux passer au dessus de tout ça, de cette peur que tout recommence, de revoir ses deux monstres...

Sauf qu'une nouvelle fois tout ne se passe pas comme prévu, mes espoirs en moi, en ma solidité mental, tombent comme un château de carte dans un courant d'aire. Dès que Maëlle ouvre la porte menant vers l'extérieur, qu'Alycia me pousse à sortir, je me fige, impossible de faire un pas de plus. Des flashs de la soirée se rappellent à moi avec force et violence.

-Am ? Ça va ? Qu'est ce qui a ? Questionne Alycia toujours à mes côté

-Je... j'ai peur... Avouais-je tremblante de peur

-Tout va bien, je suis là. Je te lâcherais pas. Un pas après l'autre, ont à tout le temps. Me rassure t'elle attendant que je décide moi-même d'avancer

Je ferme les yeux, essayant de retrouver le calme dans mon corps, un peu comme quand je calmé les quelques crises d'angoisses que j'ai eu par le passé. Je me concentre sur ma respiration que j'essaye de ralentir, sur la présence d'Alycia près de moi, ses doigts dans les miens, son souffle chaud que je ressent dans mon cou.

Petit à petit je me sens de nouveau maître de mes fait et gestes, en tout cas assai pour faire le premier pas.

Les paupières encore clause, j'avance un pied hésitant, la chaleur de l'extérieur m'étouffe, mais maintenant que j'ai fait le plus dure je souhaite seulement rentrer chez moi, reprendre une douche et frotter la moindre parcelle de mon corps pour ne plus ressentir cette présence fantôme de Théo sur ma peau.

Entouré d'Alycia qui me tient fermement contre elle, et de Maëlle, je me sens légèrement plus en sécurité dans les rues de la ville.

Bon sens mais c'est dingue, j'avais pas remarqué le monde qu'il peut y avoir en cette fin de juillet. Les rues sont bondé, tout comme les restaurants et les bars, les touristes sont de partout, prenant des photos, se dirigeant vers la plage, ou juste flânant au hasard des rues.

L'équation du bonheurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant