Barbara est du FBI depuis qu'elle a 14 ans, c'est une vie compliquée et solitaire mais elle y est habituée. Elle a 17 ans maintenant, c'est une fille très intelligente qui sait jouer de ses charmes quand il le faut. Elle se retrouve sous couverture...
Je me réveille avec le sourire aux lèvres. J'ai passé la plus belle matinée de toute ma vie. J'ai aimé chaque secondes, chaque caresses ou petites attentions. Et c'était tellement doux, il y avait tellement de tension. Et de l'amour, c'est certain. De mon côté en tout cas. Je sais qu'elle ne pouvait pas me laisser faire, mais je savais qu'elle en avait très envie aussi. C'était de loin la plus intense et incroyable partie d'jambes en l'air de toute ma vie. J'étais loin de la réalité quand j'y pensais, parce que oui, j'y avais déjà pensé même si j'essayais de mettre en pause les films que je me faisais...
Je la regarde dormir. Une mèche de cheveux cachant son œil, je la mets derrière son oreille, la réveillant au passage.
Fin du pdv de Madison
Je me réveille observée par la blonde à mes côtés. Ma copine ? C'est un joli mot. Est-ce qu'on peut dire ça ? Entre nous oui je suppose, mais pas à l'extérieur, c'est vraiment dommage.
C'était une matinée inoubliable, j'ai beaucoup aimé la voir comme ça, elle était... la plus belle chose que j'ai vu, j'aimais les réactions qu'elle avait, j'ai aimé lui donner du plaisir. C'est dommage que je sois dans un état pitoyable, elle n'a rien pu faire mais découvrir son corps sous toutes ses formes était de loin un réel plaisir.
Moi : Tu vas bien ?
Elle me regarde avant de baisser la tête, apparemment gênée.
Madison : Vraiment bien je-...
Moi : Tu ?
Madison : Est-ce que c'est normal que j'ai encore plus envie de toi ? demande-t-elle hésitante.
Je sourie à cette phrase.
Madison : Ne sourie pas comme ça, ce n'est pas drôle...
Moi : J'en conclus que cette matinée ne t'a pas été désagréable.
Madison : C'est plus que ça, tu ne te rends pas compte de ce que j'ai ressenti...
Moi : Et j'ai la vague impression que tu as envie que je le découvre.
Madison : C'est pas qu'une impression, j'ai envie de te faire c'que tu m'as fais, de t'faire de l'effet, cet effet que tu m'as fais ce matin.
Moi : Tu me fais de l'effet Madison, lui assurais-je en souriant.
Madison : C'est faux je-
Moi : Tu m'fais de l'effet, beaucoup d'effet, tu ne t'en rends juste pas compte, mais moi...
Madison : Mais toi ?
Moi : C'est difficile à expliquer... le simple fait que tu me caresses les cheveux me donne des frissons.
Elle me regarde et se redresse avant de s'installer sur mes hanches.
Madison : Vraiment ? questionne-t-elle d'une voix plus suave.
Moi : Tu n'imagines pas à quel point, soupirais-je en essayant de regarder que ses yeux.
Madison : Alors dis moi à quel point...
Moi : Ça ne s'explique pas, dis-je en échangeant nos positions, mais je peux te montrer...
Je l'embrasse avec passion, une passion dévorante mais une tendresse infinie.
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