La Fille des Enfers

Chapitre 7.

« Tu parleras de ma vie quand la tienne sera un exemple, en attendant ferme ta gueule. »

Je ne m'étais même pas rendu compte que je m'étais endormis, mais lorsque je me réveillée, la trace de l'oreiller sur la jour, je pu apercevoir le coucher de soleil à travers ma fenêtre.

Tout d'abord, je me frotta les yeux, en croyant rêvée. Puis je me rapprochais doucement de la fenêtre, en voyant que l'hallucination ne partait pas. Je voyais bien, deux Soleils. Un jaune, qui était semblable à celui que je côtoyais depuis des années, mais aussi un rouge, qui lui était absolument nouveau. J'en aurais entendu parler si l'on tournais autour de deux étoiles en même temps, non ?

Je fus émerveillée, en remarquant donc les deux lumières produites par ces astres. Et anormalement, je préférais la lumière provenant du soleil inconnue.

Et alors, que je me perdais dans la contemplation du ciel, et de ses étoiles bien étranges qui commençait à apparaître, l'on toqua à la porte.

Je fus pris d'un énorme sursaut, en entendant ce bruit déchirait le silence qui s'était installait depuis plusieurs heures. La personne à la hauteur de ce raffut, ne prit même pas le soin d'attendre ma réponse, qu'il rentra dans la pièce qui m'avait était attribuée.

Je gardais un air placide, malgré la tête que je devais avoir. Et examinait le nouveau venu. Ou plutôt, la nouvelle venu. Habillée de noir, elle portait des ballerines noirs, avec un noeux papillon gris dessus, de même, un autres noeux de la même couleurs était accrochée à son poignée. Ses cheveux étaient relevé en chignon serré, et elle abordait un rouge à lèvre discret, et simple. Elle ne prit même pas la peine de se présentez, qu'elle débarqua dans mon dressing, farfouilla un moment, puis en sortie une tenu avec un air victorieux.

Elle parut enfin me remarquée, puisqu'elle me jeta littéralement la tenu à la tronche, avant de me pousser dans la salle d'eau. Elle fit couler la douche, et me déshabilla, alors même que je protestée vivement en la voyant me touchée de la sorte. Mais je n'avais pas mangée depuis des heures, et je tombais de fatigue malgré ma sieste de tout à l'heure. Ca eut raison de moi, et je fus contraint de m'abandonner à ses soins. Elle me lava, et m'essuya sans aucune douceur, avant de me sortir de la salle de bain, seulement vêtu de sous vêtements. Là, elle m'enfila la robe, précédemment choisis, toujours sans un mot, puis me fit assoir sur le bout de mon lit, pour commencée à s'occuper de mes cheveux.

Elle me fit une tresse en épis qui partait du haut de mon crâne, jusqu'à mon sein droit. Puis elle m'enfila deux boucles d'oreille créoles, en ce qui semblait être de l'or. Puis elle m'appliqua du mascara, et un léger rouge à lèvres. La tenu en elle même se composait, d'une robe noir, simple, sans manche. Elle s'évasait au niveau de la taille, et s'arrêtait au niveau de mi-cuisse.

Je ne savais comment elle avait eu mes mesures, mais la robe semblait être parfaitement accordée à ma taille, de même que les sous-vêtements qu'elle m'avait donnée.

Toujours est-il que lorsqu'elle eut fini, elle me poussa sans ménagement à l'extérieur de la chambre, toujours sans un mot. Elle me conduisit ensuite vers une autre salle, presqu'aussi grande que la salle de bal de tout à l'heure. Là m'attendait celui qui se prenait pour le Roi, ainsi que ses même sujets. Mais maintenant, à la droite de l'endroit où était assis le Roi, se tenait un jeune homme d'à peu près mon âge, mais ce n'est pas ça qui me choqua le plus, c'était de voir la personne à droite de ce jeune homme. Ryan.

Je crus que j'allais l'étranglée. Alors c'était à cause de lui que j'étais là ! Parce que lui aussi faisait partie de cette secte ! Je ne fis même pas attention, aux gardes présents, que je m'avança dans sa direction. Quand je fus arriver juste derrière lui, il ne m'avait toujours pas remarqué, malgré les coups pas discret du reste de la table. Je le pris par l'épaule, et le retourna sans ménagement, et là, je lui donna une gifle monumentale, à faire pâlir les murs. La salle entière se tut, si bien que l'on pouvait presque entendre le bruit du claquement raisonner.