Piazza del Duomo - Florance – Italie
4 ans avant le braquage de la Fabrique de la monnaie et du timbreSur la place, devant la cathédrale Santa Maria del Fiore, Andrés attendait patiemment son petit frère, en admirant l'édifice religieux, ce bijou d'architecture qui se dressait devant ses yeux. Sergio et lui ne s'étaient pas vus depuis plus d'un an maintenant, et il lui tardait de le retrouver. Il avait tellement de choses à lui raconter. Il faut dire qu'il s'était passé beaucoup d'événements, aussi bien dans sa vie personnelle, que professionnelle. Du moins... si on pouvait considérer le crime de haut vol comme une carrière professionnelle ?
Au même instant, Sergio pénétrait sur la place, les bras chargés de divers rouleaux de papier et d'un large carton à dessin. Si on ne le connaissait pas, on aurait pu le prendre pour un énième artiste venu croquer les courbes voluptueuse de la cathédrale Santa Maria del Fiore. Mais pas à un seul instant quelqu'un aurait pu se douter qu'entre ses mains, Sergio Marquína détenait les esquisses d'un plan diaboliquement génial, sur lequel il travaillait depuis toujours, et dont on parlerait dans le monde entier d'ici quelques années.
En se rapprochant de l'édifice religieux, celui qui bientôt se ferait appeler le Professeur, cru reconnaître une silhouette de dos qui lui semblait familière et s'en approcha.
- Andrés ? L'interpella Sergio.
- Petit frère ! L'accueillit ce dernier en faisant volte-face, avec son petit rire narquois.
Heureux de le retrouver, Andrés le pris chaleureusement dans ses bras.
- Benvenuto in Italia ! Un pays de classe, un pays d'art et d'artiste, où les gens portent de beaux vêtements. Pas comme toi, lui dit-il, en analysant sa tenue d'un œil critique. On dirait un démarcheur, se moqua-t-il
Perplexe, Sergio se mit à son tour à regarder ses vêtements d'un autre œil. Il est vrai que son grand frère avait une certaine classe que lui n'avait pas, mais pourtant, il avait fait des efforts. Il portait une chemise avec une cravate, une tenue en soit classique.
- Allez viens ! Poursuivit Andrés d'un grand sourire amusée en l'invitant à le suivre.
Il le conduisit jusqu'à sa voiture, un SUV noir avec des sièges en cuir. Comme toujours, Andrés avait ce besoin de paraître, Sergio ne fut donc pas vraiment étonné de découvrir ce véhicule très luxueux, à l'image de son grand frère.
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Andrés & Fiorella de Fonollosa [EN PAUSE] | La Casa de Papel
FanfictionQue se serait-il passé si Berlin s'était échappé de la fabrique de la monnaie et du timbre, avec le reste de la bande ? Imaginons qu'il ait une famille qui l'attende à la sortie ? Son épouse n°6 par exemple. Et si cette femme était non seulement une...