Partie 9

1K 45 12
                                    

Suite Ernest Hemingway - Gran Hotel Manzana - La Havane - Cuba.
6 jours après le mariage.

Au cœur de la capitale cubaine, dans le plus luxueux hôtel de la ville, allongé sur le ventre, le corps à moitié couvert par un drap en soie blanc, Fiorella peinait à se réveiller, mais elle devinait à travers ses paupières fermées que le jour s'é...

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

Au cœur de la capitale cubaine, dans le plus luxueux hôtel de la ville, allongé sur le ventre, le corps à moitié couvert par un drap en soie blanc, Fiorella peinait à se réveiller, mais elle devinait à travers ses paupières fermées que le jour s'était levé. En effet, elle décelait une forte luminosité qui semblait avoir envahi toute la pièce. Pour rendre son éveil plus doux et tendre, sans ouvrir les yeux, elle décida d'aller chercher la force de se lever dans les bras d'Andrés qui une fois de plus, lui avait fait vivre une nuit, éblouissante. Pour mieux se rapprocher de lui, elle glissa d'abord un bras de l'autre côté du lit, mais sa main se heurta au matelas vide et froid. Surprise et un peu déçue, elle se décida alors à ouvrir enfin les yeux. Et là, son regard se porta sur la double porte fenêtre qui jouxtait leur imposant lit, dont le balcon donnait sur une ruelle piétonne de la ville.

Fiorella découvrit alors un tableau merveilleusement beau, qu'elle était la seule à pouvoir admirer. En effet, dans l'embrasure de la baie vitrée, dont les battants étaient grands ouverts, se dessinait en son centre la silhouette d'un corps totalement dénudé, de dos, qui se tenait devant un paysage de carte postale. Des fesses rebondies, un corps svelte et des épaules carrées, misent en valeur par un ciel azur et un bâtiment typiquement cubain à l'architecture baroque, situé juste en face de leur hôtel.

- Tu ne devrais pas rester devant cette fenêtre. Les gens pourraient voir certaines parties de ton corps qui n'appartiennent qu'à moi, suggéra Fiorella légèrement possessive, d'une voix encore endormie.

Armée de son sourire diaboliquement sexy, Andrés fit volte-face et la rejoignit sous le drap.

- On est trop haut, ils ne peuvent rien voir de moi.

L'attirant tout contre lui, comme pour s'imprégner de sa chaleur, il profita de la manœuvre pour mieux parcourir ses courbes voluptueuses de ses mains, avec l'idée de poursuivre la danse qu'ils avaient déjà pratiquée quelques heures avant.

- Hé, non, non, non, je vous arrête tout de suite, toi, tes mains baladeuses et ton regard lubrique, sévit la belle Sicilienne en s'écartant légèrement de lui.

- Quoi ? Je n'ai pas le droit de disposer de ma femme ? Répliqua-t-il insatisfait de sa réponse en l'attirant de force contre lui, pour mieux la faire prisonnière sous son corps.

-  Quoi ? Je n'ai pas le droit de disposer de ma femme ? Répliqua-t-il insatisfait de sa réponse en l'attirant de force contre lui, pour mieux la faire prisonnière sous son corps

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Andrés & Fiorella de Fonollosa [EN PAUSE] | La Casa de PapelOù les histoires vivent. Découvrez maintenant