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Neoxi #2

Sophie était allée à un festival, accompagnée de Valentin et de quelques autres amis. Son verre était dans sa main droite et elle n'y faisait pas attention. Elle ne vit pas l'homme passer à côté d'elle et glisser un petit cacher qui disparut au fond du verre.

Quelques minutes passèrent et leurs amis se dirigèrent vers un autre endroit. Ils se retrouvèrent alors tous les deux. Au bout d'un moment, ayant tout deux finis leur verre, il proposa d'aller leur reprendre à boire. Elle l'attendait alors, restant au même endroit.

Elle fut soudain prise d'un mal de crâne épouvantable, s'ouvrît de vertiges. Ses jambes ne voulaient plus la porter. Alors qu'elle allait tomber, elle sentit deux mains la soutenir sous les bras. Elle fut soulagée, pensant que c'était Valentin.

Mais son sentiment se soulagement fut bien vite remplacé par de l'affolement quand elle se rendit compte que ce n'était pas Valentin et que l'inconnu la tirait vers un été et qui n'était pas la leur, simplement car ils n'en avaient pas.

Elle eut juste le temps de crier le prénom de son ami à plein poumon avant de sentir un matin sur sa bouche et que sa mâchoire ne s'engourdisse complètement. L'inconnu la poussa altos dans sa tente et sa dernière vision fut celle de l'homme se retournant brusquement en arrière puis le noir complet.

Sophie se réveilla brusquement en pleine nuit. Elle ouvrit les yeux et commença à paniquer en découvrant qu'elle était dans une chambre inconnue et que quelqu'un la tenait dans ses bras. Elle se retourna affolée et souffla de soulagement en découvrant Valentin profondément endormi.

Elle rougit d'abord de cette proximité, puis vint poser sa tête contre son torse en se rapprochant encore plus de lui et chuchota :

- Merci Val. Je t'aime.

Elle ne le vit pas esquisser un sourire.

La jeune fille se réveilla le lendemain avec la lumière du jour, elle fut déçue en ne trouvant pas Valentin. Elle s'assit au bord du lit et se leva...un peu trop rapidement. Sa tête lui tourna et elle faillit tomber. Elle sentit quelqu'un la rattraper et fut prise de panique. Mais elle se reprit bien vite, il n'y avait personne qui lui voulait du mal dans cette maison, personne.

Valentin crut sentir son malaise car il ajouta d'un ton léger :

- Tu as encore besoin de ton chevalier servant à ce que je vois.

Elle rit et se retourna. Ils se regardèrent longuement et, au bout d'un moment, Valentin déclara :

- Tu sais moi aussi je t'aime.

Sophie rougit et il se pencha pour l'embrasser. Elle répondit au baiser et elle le serra dans se bras pour s'assurer que ce n'était pas un rêve.

Fin de l'os