Chapitre 38.

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Précédemment dans le chapitre 37 :

Allen et Joyce fête leurs 1 an en amoureux dans un parc d'attraction, cette journée était magique et elle se fini en beauté dans la grande roue.Mais le lendemain, Joyce découvre en se levant qu'Allen n'est plus là, et découvre qu'il est en fait chez Gemma, et malheureusement il n'a pas de bonnes nouvelles à lui annoncer...

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-Bon, je vais vous laissez, appelez moi quand ce sera bon. Nous dis Gemma avant de quitter la pièce.

Mon regard va de la porte qui se ferme à Allen, il s'installe à mes côtés en prenant mes mains dans les siennes.

-Joyce...

-Allen. Dis-je froidement.

-Ne te fâche pas , s'il te plait...

-Trop tard, je déteste les cachoteries.

-Mais... Non, enfin, si , mais, je , je l'ai fais car je t'aime ! Bégaye-t-il.

-Donc tu m'as menti par amour? Sa n'a aucun sens enfin !

-Pour moi si, tu te rappelle quand Gemma nous a annoncer la première fois que mon âme commençais à s'affaiblir?

-Oui...?

-Eh bien , tu n'étais plus la même , tu avais perdu gout à la vie, tout sourire avait disparu de ton visage et je détestais ça car j'étais impuissant. Explique-t-il.

-Ou veux-tu en venir?

-J'ai cherché par tout les moyens , une solution pour que tu retrouve le sourire... Et c'est là que j'ai eu cette idée, avec Gemma.

-Quelle idée?

-... Celle de dire que tout va bien. Dit-il doucement.

-Et... Ce n'est pas le cas...?

-... Non... Mon âme n'a jamais cessé de s'affaiblir depuis ce jour...

-A... Allen... Ca veut dire que....

-Oui, mon âme continue de disparaître, de jour en jour, Gemma m'a dit que si je finis l'année scolaire, ce serait un miracle...

-Mais... Attends, on est fin février... Sa veut dire qu'il reste à peine... 4 mois grand maximum...? Demandai-Je , troublée.

-Oui. Affirme-t-il.

-Et tu comptais me le dire quand?! Jamais?!!

-Si , si bien sûr que je voulais t'en parlé mais, je voulais avant tout profité de chaque instant avec toi, car mon bonheur c'est toi et, je veux juste disparaître heureux, en te voyant me sourire une dernière fois... Avoue-t-il.

-Mais Allen, c'est horrible ! Tu comptais m'écarté de cette confidence et faire comme si de rien était ! C'est tellement égoïste Allen ! Tu as pensé à moi?! M'énervai-je.

-Justement, c'est parce que je ne fais que penser à toi que j'ai fais ça, et vendredi, Gemma m'a prit à part, justement pour me motiver à t'en parlé, je ce serait injuste que je ne t'en parle pas...

-Moi je dirais « Dégueulasse » à la place d'injuste. Crachai-Je.

-Je sais que tu m'en veux mais s'il te plait... Garde ton sourire... C'est tout ce que je souhaite...

Il m'embrasse le front et, quand nos regards se croisent, je vois des larmes couler le long de ses joues, et cette image me brise le cœur. A mon tour, je verse des larmes.
Toutes mes craintes, toutes ma tristesse, tout ce que je redoutais se produit bel et bien, Allen à égoïstement continuer à hanter son corps en disant que tout va bien , alors qu'il disparaîtra bel et bien... Dans maximum 4 mois... 4 putain de petit mois, c'est trop cours ! Il avait tout calculé, il savait très bien que j'étais contre sa disparition et il à tout caché, pour m'avoué ça quelque temps avant sa disparition... C'est trop... Trop pour moi.
Je me lève subitement et je quitte la pièce, puis la maison, puis je cours, je cours, j'ère dans les rues sans trop savoir où allez. Je veux partir, loin, et oublié ce que je viens d'entendre.
Pourquoi cette malchance s'acharne-t-elle ainsi sur moi? Je n'ai pas le droit de connaître au bonheur éternel? Vivre avec l'être que j'aime à en mourir littéralement ?
En mourir ... 
Je m'assis sur un banc que je trouve près de moi, puis mes larmes continues de couler, encore et encore.
Hier était une journée magique, comment tout ça à pu virer au cauchemar? En quelques instant, je me sens détruite.
La journées s'écoule et je reste ainsi sur mon banc, mon téléphone est resté chez Gemma, ma mère doit s'inquiété que je ne rentre toujours pas, et je m'en fiche, je m'en fou de tout.
Je sens une main agrippé mon épaule, par réflexe , je m'écarte en cherchant du regard un arme au cas où.

Le vase MauditOù les histoires vivent. Découvrez maintenant