Chapitre 10

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MAX

            Ma tête me fais horriblement mal. Je me réveille d'un sommeil comateux. J'ai la bouche pâteuse et mon chant de vision est entièrement noir. Je sens comme des tremblements, comme si j'étais dans une voiture. Pourquoi je suis ici ? Comment je suis arrivée là ? Tout me reviens du coup. Lucas, le docteur Brenner, l'attaque et maint je suis là, dans ce camion ou voiture, je ne sais pas. La peur m'envahit. Et si ils avaient trouvé Lucas et les autres ? Et si ils avaient retrouvé El et si ils lui avais fais du mal ?... Je ne préfère pas penser à la dernière possibilité. Je sens une corde le rentrer dans la chaire au niveau des poignets et j'ai un bâillonb et un bandeau sur les yeux. J'ai aussi les pieds attachés. J'essaye de me libérer en remuant mais une main se pose sur moi. Une grosse main je dirais. Une voix rauque et masculine me chuchote à l'oreille.

- Alors ma petite on essaye de s'échapper ? Pas de chance apparemment... Si tu advenait à casser tes liens...

Une sorte de grésillement électrique se déclenche près de mon oreille. Un taser... Je me fige. Je peux entendre le type rigoler avec un rire malsain. Sa main est toujours posé sur mon épaule. Je peux la sentir lentement glisser vers la poitrine. Je gigote. Hors de question que ce porc me touche. Le stress monte et vas grossir les rangs de la peur. J'essaye de crier mais le bâillon étouffe le moindre de mes cri. J'entends encore son horrible rire et il me dit.

- Tu n'a aucun pouvoir face à moi. Tu n'est pas en situation de force petite. Tu ne peux rien contre moi.

Je réussi à recracher mon bâillon. Je ne peux pas voir son visage. Je lui crache alors à la tête.

- Sachez au moins que je ne me laisserais pas faire. Jusqu'à ma mort.

Je sens le bandeau glisser de mes yeux, dévoilant un van et le gas qui se tiens devant moi. Il est grand, plutôt proéminent et les cheveux grisonnants. Il doit avoir dans la cinquantaine. Le profil parfait du pervers pédophile. Il s'essuie le visage, visiblement contrarié. Je souris, victorieuse. La colère se lit clairement sur son visage et dans son regard. Ma joie retombe d'un coup. Il saisie violemment mon visage et l'attire vers le siens.

- Écoute petite ici c'est moi qui donne les ordres et pas toi ok ? Et puis... Tu ne t'ennuie pas toi...?

Je frémi de dégoût en sentant son haleine tiède sur mon visage. Mais mon regard reste plonger dans le siens, pour montrer que je n'ai pas peur. Il m'adresse un sourire pervers. Il rapproche encore mon visage du siens. Je m'apprête à fermer les yeux de dégoût quand le van fais une violente embarquée ce qui fais trébucher vers l'arrière l'homme et qui le force à lâcher mon menton. Sauvée ! Je sens le van s'arrêter et le bruit d'une paire de bote sauter sur le bitume et se diriger rapidement vers les porte arrière de van. Un autre homme, plus jeune que le premier, ouvre brusquement les portes et s'adresse à son collège.

- Mais qu'est ce qui t'a pris ?! Pourquoi t'a essayé de l'embrasser ?!! On vas avoir des embrouilles à cause de toi !!!! Le patron vas pas être content !!!
- Calme Lorenzo de toute façon y'a rien  qui c'est passé non ?
- Et en plus pourquoi tu lui enlevé le bandeau ??!! Elle va savoir à quoi on ressemble maintenant !!!
- Taisez vous bande d'incapables.

Les deux hommes se retournèrent en même temps.  Une peur intense étais peinte sur leurs visage. La lumière m'empêche de bien distinguer la silhouette. La personne monte dans le van et dur au deux hommes,

-Après La Tempête- Stranger Things Saison 4 (en correction) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant