Part XXIV

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_ Oui tu as raison, dit-elle, il faut qu'on essaie de se comprendre, c'est la base du foyer.

_ Exact. L'ambiance était redevenue normale entre nous. Chacun avait sa dose, j'avais du temps pour réfléchir et même si je ne sais pas comment sortir de cette impasse, je trouverai bien une solution au calme.

Nos valises étaient déjà prêtes, dans quelques instants, Kpalimé et son atmosphère resteront derrière nous mais je serai vraiment ravi de revenir dans cet endroit, c'était magistral.

Kpalimé me manquait déjà même si on n'était pas encore parti. Le vent frais qui soufflait les soirs, l'atmosphère glacial qui planait et la verdure du paysage, le calme de la nature tout me manquait. On descendit nos bagages jusqu'en bas où le groom s'approcha à nouveau pour s'en occuper.

_ Madame on imagine que vous avez aimé votre séjour dans notre hôtel ? Demanda la jolie demoiselle qui était à l'accueil. Elle n'arrêtait pas de me dévisager. Sûrement qu'elle se disait : «Un jeune qui se tape une dame qui peut être sa mère ».

_ Oui mademoiselle. Vous ne pouvez pas imaginer. Répondit-elle gaiement. Elle faisait sûrement allusion à nos parties de jeu.

_ Nous serons vraiment ravi de vous accueillir à nouveau. Ce ne sera pas avec moi. Soufflai-je calmement.

_ Bien sûr. Elle s'approcha de moi et pris mes bras. On marchait comme deux mariés. Je sentais toujours le regard de la fille dans mon dos mais j'avançais avec des pas lourds jusqu'à la voiture

_ Tu prends le volant. J'ai une surprise pour toi au cours du trajet. M'ordonna-t-elle.

_ C'est demandé si gentiment que je ne peux pas refuser.

_ Allez vas-y. Elle sourit et j'obéis en courant.

Sur la longue route isolée de Kpalimé à Lomé, je filais à une grande vitesse. La voie était libre mais je faisais très attention. Madame Yvonne était assis sur le siège à côté de moi et me contemplait.

_ Tu es mignon quand tu es concentré. Je lui répondis avec un sourire.

_ Mais voyons voir si tu peux toujours rester concentrer avec ça? Affirma-t-elle en s'abaissant.

_ Quoi? Je n'eus pas le temps de terminer ma phrase elle s'était déjà abaissée. Elle déboutonna mon pantalon et libera mon sexe au qui était, il y'a quelques minutes, au repos.

_ Non pas ça, pas ici. Je risque de cogner un poteau.

_ Tais-toi et conduit. Prend ceci comme un texte. C'était les dernières paroles qu'elle prononça avant d'enfoncer mon sexe dans sa bouche. Lapant, léchant et suçant ma bite comme un bonbon, elle dégustait mon gland. J'avais perdu l'équilibre. J'avais du mal à conduire mais elle me conduisait. Je ralentissais peu à peu parce qu'à cette allure, on ne risque pas de rentrer en vie. Mes membres étaient tendus, mes lèvres tremblaient et mes dents étaient serrées les unes contre les autres.

Elle le lécha de la base jusqu'à la verge, l'humidité de sa langue et la chaleur de sa bouche recouvrait mon sexe. J'avais la chair de poule et j'étais paralysé.

_ Oh mon Dieu, vas-y. Plus vite, si je pouvais laisser le volant j'allais prendre sa tête mais mes mains étaient occupées et je ne voulais pas prendre le risque. J'étais fou de plaisir.

Et quand je me sentis prêt de l'orgasme, je m'arrêtai carrément au milieu de la route et saisi le volant très fort avec des petits cris étouffés. Elle me conduisit jusqu'à l'extase avant de se relever. Elle rangea ses cheveux et essuya ses lèvres recouvertes de mon sperme.

_ Tu es un excellent conducteur, tu mérites un prix. Il se moqua.

_ J'ai failli cogner un arbre, tu es vraiment dingue. Donc c'était cela ta surprise?

_ Oui, tu l'as deviné. Tu en veux une autre ?

_ Non, c'est bon, je n'en peux plus. Rigolai-je.

_ Sinon j'en ai plein dans mon sac. Il suffit juste que tu demandes.

On s'esclaffa et le trajet continue.

Somnolant depuis quelques minutes Yvonne se laissa complètement bernée par le vent du climatiseur de la voiture. 

MA PATRONNEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant