Chapitre 25 - Deuxième élément

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Je continue, j'en ai marre ! On va finir cette histoire !!!!

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Nous recommençons par le point de vue d'un certains Falamir.

Je me trouvais dans les gradins les plus prestigieux de cette phase finale, il n'y avait que là que des gros poissons ; des poissons aussi fort que riche, aussi célèbre que dirigeant les plus grandes places du monde. Je vais vous en faire la liste parce que vous voulez savoir haha: Les six directeurs d'Académies, les empereurs, rois et présidents des différentes contrées du monde. Il y avait en tout cinq grand janissaires attachés avec les ambassadeurs. Les plus grands Alpha et diplomates humains, les consuls et certains ministres. Des cardinaux et moines de la religion des déesses. Les fils de roi et de reine étaient d'ailleurs présents avec leurs parents dans des apparats qui, sans nul doute, dépassait le salaire de plusieurs milliers de personnes réunis en ce stade.

Dont le mien... OOOUUUIIIINNN... Ouais mais au vu de ce que je vais en faire de mon salaire... Panda forever et everywhere *-*

Il y avait bien là 500 aristocrates, tous important qu'ils soient de près ou de loin lié à l'art, la politique, la guerre ou l'économie. Le grand travail de la Divine Juliowa, femme ayant à peu près dans les cinquante ans, était de réunir tout le monde dans une paix global. Ce qu'elle avait quand même réussit à faire jusqu'à aujourd'hui, donc chapeau... Attention, je dis bien imposer et non proposer, car les humains sont tels, qu'une force supérieur doit les y contraindre. Et pour ce faire, il fallait une personne rattaché aux déesses et non liés aux intérêts des pays. Ainsi, était-elle très attentif à ce que personne ne manque de rien.

Albafica Simégrion, notre cher directeur d'Académie avait d'ailleurs l'oeil partout: Les sièges rouges, la magie, les murs en pierre blanches, les colonnes soutenant les plafonds qui soutenaient le plafond mais également les gardes et leurs positions. Cette attitude ne fut remarqué de personne, mais son anxiété était à son comble, bien trop grand pour pouvoir regarder les combats avec intérêt. Non, son sixième sens l'alertait de quelque chose, mais de quoi ? Tel était bien sa question. Il se caressa la barbe puis se décida à relativiser: "Pour frapper un tel endroit, la seule chose qu'il fallait, c'était qu'il y ait un traître à l'intérieur de cette tribune. Or qui il pourrait y avoir, de suffisamment stupide pour attaquer les êtres les plus puissants du monde et de surcroît en même temps." Ses yeux s'arrêtèrent aléatoirement sur Ariston II, le roi d'Asmodalie. "Lui, il pourrait..." Et après un petit soupir se remit à réfléchir de l'éventuel danger qui pourrait apparaître en ces lieux.

-"Vous semblez bien préoccupé mon cher Albaf." Dit le directeur de Paladium.

Albafica tourna sa tête avec un sourire pour bien sûr, faire semblant, puis m'adressa la parole: "Oh vous savez, quand on en a beaucoup de mes élèves d'Excidium, à la dernière phase du tournoi, on a peur pour eux."

Et l'autre directeur se retourna énervé.

Mais quel filou héhé. Pour l'évènement, je m'étais habillé d'une façon si classe que ma popularité fut au rendez-vous. (Chemise blanche, cravate verte claire couleur de Wonder Fairy, et pantalon d'une rare élégance qui lui descendait parfaitement jusqu'à ces chaussures de ville.)

Arf, non mais quelle calvaire de porter ces habits ridicules. Heureusement j'ai pus négocier mon bonnet panda." Et cette remarque esquissa un sourire fier sur ma figure. "Bon dieu que j'ai envie de me mettre torse-nu et crier: "Allez Excidium, nique les tous bien !" Mais tout le monde après serait choqué... Je me sens comme un homme nu dans une île déserte. Edward lui aurait fait du réseau, eh bien moi je m'emmerde, j'aurai dû ramener un jeu de tarot...

Académie d'Excidium - ARC 2: RévélationOù les histoires vivent. Découvrez maintenant