douloureuse retrouvailles ( Terminé )

chapitre 6

- Hamza ! Comment a tu pu quitter le défilé ?

Il regarda son père en retenant du mieux qu'il pouvait sa colère.
Il était rentré dans son bureau en fracas. Le regardant de haut.

Hamza n'avais pas pris la peine de se lever. Il resta royalement assis en le fixant.

- tu va me répondre ?

- j'avais une urgence !

- plus importante que resté au près de ta fiancée ! Plus important que le défilé ?

- c'est toi qui l'a fait venir au palais pas moi!

- répond à mes questions !

- je n'ai pas a justifié mes actions. Et c'est fiançailles ne sont qu'une mascarade ! Je t'avais dit que je ne voulais pas d'elle !

- veux tu crées des conflits avec le pays voisins ? Nous avons un arrangement ...

- que tu as pris seul! Sans me consulter !

- insolent! Comment ose-tu me tenir tête ainsi !? J'ai pris cette décision pour le bien être du pays !

- pour avoir une aide dont nous en n'avons pas besoin ! J'ai redressé le pays ! Nous devenons de plus en plus puissant ! Et ce n'est pas grâce a cet arrangement !

- Hamza !

- tu la fait juste par égoïsme ! Pour m'éloigner de Maïssa ! Félicitations tu a réussi ! J'ai accompli mon devoir en tant que souverain ! J'aime et je respecte mon peuple ! Mais je ne me marierai pas !

- je t'interdis de prononcer le nom de cette opportuniste ! Dois-je te rappelle qu'elle a refait sa Vie et ta effacé t'elle un vulgaire déchets ! Tu ferais mieux de passer a autre chose !

- père !!

- comme tu le dis je suis ton père ! Et ma décision est prise ! Tu épousera la princesse Jamila.

- et moi je suis le roi ! Je n'épouserai personnes ! Maintenant si tu peux bien me laisser j'ai des obligations a remplir !

Son père était sorti en récitant un chapelet de juron.

Il avait quitté le défilé parcequ'il avait aperçu Maïssa !

Sa Maïssa ! Comment es-ce possible ! Il avait envoyé son garde a sa recherche mais ne l'avais pas retrouvé ! Avait-il eu des alluscination ?

Il se servir un verre !

La voir avait fait remonté de douloureux souvenir.

- mon altesse ! Je suis vraiment désolé mais je n'ai pas pu retrouver la jeune dame elle semble s'être volatilisé !

- comment es-ce possible ? Elle n'était qu'à quelques mètres de vous !

- mes excuses mon altesse. Mais serai t'il possible que vous... peu être c'est juste une forte ressemblance.

Hamza se retourna férocement. Le garde se liquéfiat immédiatement.

- qu'insinué vous ?

Il avanca dangereusement vers lui et Celui ci reculait tête baissé

- Hamza !!!

Il tourna la tête et vit son cousin près de la porte !

Calid remercia le ciel d'être arrivé au bon moment. Car c'est sur qu'il venait de sauvé ce jeune homme a la langue un peu pendu.

- vous pouvez disposé... fit il a l'adresse du garde

Il sortit en courant exécutant une révérence maladroite

- je peux savoir se qui te prend?

- laisse moi seul je t'en prie ! ...

- pas de sa avec moi! Pourquoi tu terrorise ce garde ? Tout le palais te craint. Les servants fond tout pour t'éviter. Tu es froid et distant envers tous ! Tu es refermé ! Tu agit comme un sauvage Hamza! tu m'inquiète.

Il se rapprocha de lui!

- Hamza dit moi se qui se passe ? Père ? Jamila ? Un enemie ? Dit moi et je réglerai se problème !

- je l'ai vue caled !

- qui sa ?

- Maïssa ! Elle était au défilé.

- tu en es sur ?

Il lui lança un regard colérique... Caled savais qu'il fallait qu'il surveille ces mots car depuis la guerre son cousin n'étais qu'un tourbillon de rage près a tout raflé sur son chemin.

- je veux dire qu'es ce quelle peut venir chercher ici? Peut être que....

- je sais que c'est elle! .. le coupa t'il avec force.

Il lui relata la scène. Les doutes de caled venait de se confirmé. Depuis son arrivé il y'a cinq ans son frère ainé n'avais plus jamais été pareil . Il était maintenant le roi depuis déjà trois ans et avait redressé d'une main de maître le pays. Tout le peuple l'avait réclamé au trône

Contrairement a son père lui était un roi certe impitoyable mais logique et très raisonnable. Tout se faisait selon les lois raisonnable suivant l'évolution du temps...

- retrouve là ! Contrôle les entrés qu'il y'a eu les quarente-huit dernière heure. Fait tout mais retrouve là !

- bien mon frère.

Caled sortie du bureau d'Hamza l'inquiétude au ventre. Il savait au fond de lui que sa vie allait bientôt subir de grand bouleversement. 

- Hamza ! Mon trésor...

Il leva la tête et vit sa mère qui se tenait dans l'embrasure de son bureau accompagné d'une servante qui poussait un chariot repas.

- mère , vas-y entre.

- merci mon fils. tu a tellement vite quitté la parade ! Je me suis inquiétée pour toi !

- je vais bien mère.

- tu en es sûr ? Et puis tu n'a rien mangé de la journée! ..  je t'ai fait a mangé !  Allez viens !

Sans attendre sa réponse elle commençait à dressé la table a manger de son bureau..

- mère ! Mère ! Je n'ai pas très faim!

- heu....mais... D'accord il ne reste plus qu'à rangé tout sa!  Qui que j'ai cuisiné tout sa personnellement..  je comprends.. je pars

Hamza regarda sa mère avec sourire . Elle jouait toujours de cette carte pour l'avoir , il finissait par abdiqué non que sa l'atteingnait mais il aimait lui faire plaisir.

- tu la fait personnellement ? Laisse alors je vais manger . Merci mère.

Elle lui sourit et le servis. Ensuite ordonna a la servante de les laissé seule

- le temps passe si vite mon fils. Il y'a quelques temps tu n'étais qu'un bébé mais aujourd'hui tu es le tout puissant roi de Al-aïn

- mère je suis toujours ton fils

- oui mais maintenant tu es le roi! Tu a des décisions a prendre un peuple a satisfaire. Tu a toujours suivi ton instinct et jusque là tu ne t'ai jamais trompé ! Tu me fais tant pensé a ton grand père !

- ne pleure pas s'il te plaît..

- désolée mon fils ! Désolée ! Il a été tellement bon en vers moi dès mon arrivée ici! Tu sais le temps les époques sont tellement différentes. Et malheureusement il y'a certaines personnes qui son attaché au ancienne tradition. Tu es le roi depuis maintenant quatre ans.  Depuis ton arrivé ici tu es d'une tristesse que je saurai qualifié ! Seulement aujourd'hui lorsque tu a quitté la parade j'ai vu cette étincelle dans tes yeux , j'ai l'impression qu'un cours instants je retrouvais mon garçon ! Mon fils.

- mère..

- je dit juste que pour que le peuple soit heureux il faut d'abord que le roi le soit... Tu es mon fils , mon premier enfant et a mes yeux il y'a que ton bonheur qui compte...je vais te laisser maintenant , et surtout ne l'oublie pas , pour que le peuple soit heureux il faut que le roi le soit... Et c'est toi le roi.