Hamza se dirigea vers le hall de son appartement les poings fermés. Comment cet homme osait venir jusqu'à chez lui! Serais-ce pour le défié ? Si jamais il était présent pour se moquer de lui c'est sûre et certaine que l'enverrai en enfer!.
Il trouva l'homme arrêté dans le hall dos a lui admirant un de ces tableaux. Celui-ci était vêtu d'un élégant costume sombre qui cachait tant bien que mal sa grande carrure. Hamza lui était vêtu d'un simple pantalon et t-shirt aussi noir que la couleur de ces pupilles qui exposait ces muscles venant a peine de sortie de la salle de sport.
- mon frère attend qu'il s'explique avant de l'envoyer en enfer. Fit son frère en arabe comme s'il avait deviné ces pensées.
Le comte se retourna
- bonsoir messieurs.
- bonsoir monsieur de Challans. Répondit Caled.
- bonsoir monsieur.
- mon frère ! Je vous laisse j'ai quelques obligation. Hassan !? Ne reste pas loin s'il te plaît ! Termina t'il en arabe.
- bien son Altesse.
- bon soir monsieur.
Un petit moment passa sans qu'aucun d'entre eux ne parle. Ils s'affrontaient silencieusement du regard. Le moment était froid, silencieux, intimidant et glaçant pour qui conque les verrai ainsi. On aurait dit deux sombre guerrier se battant pour la même cause mais à objectif différents.
- votre majesté excuser mon interruption mais je pense que vous serez plus à l'aise a votre bureau. Avec votre permission.
Sans mots ils suivis Hassan jusqu'à son bureau.
Hamza s'installa tel un maître et invita son hôte imprévu a fais de même.
Flavio remarqua que son bureau était légèrement un peu plus sombre et froid que le sien.
Malgré la blancheur de la lumière. L'on ne pouvait sous-estimé l'ora sombre que dégageait les deux hommes.
- sa ira Hassan tu peux te retirer.
- votre majesté...
Hamza lui lança un regard menaçant et celui-ci ravala la fin de ces mots en se retirant tête baissé. Mais Hamza le connaissais trop bien et savais qu'il n'irai pas plus loin que le seuil de cette porte afin de pouvoir intervenir a tous moments.
Une fois la porte fermée, il remporta son attention sur l'homme en face de lui.
- alors que me vaut cette visite ?
- Maïssa en est la raison.
Hamza serra les mâchoires.
- je constate que la mort ne vous effraie pas.
- bien que je ne soit nullement intimidé par vous. Je tiens à préciser que je ne suis pas ici pour vous défiez, mais pour dialogué.
- permettez moi d'en douté !
- même si tel était cas! Nous sommes tous deux, des hommes puissant et influents et quelque soit l'issue de cet affrontement le vainqueur s'en sortira avec des séquelle.
Hamza se rapprocha dangereusement du bureau.
- seriez-vous près a vérifier votre théorie !? Demanda-t-il l'air sombre.
Flavio respira bruyamment. Bien qu'affronté cet homme aussi craint que lui pourrais s'averé divertissant il préféra s'abstenir.
Bien qu'il soit semblable , il régnait entre eux une forte différence. La preuve était que lui était décrit comme : le ténébreux gentleman italien pour cause de son attitude calme, distingués , sombre et quelques peu sévère . et lui était décrire comme : l'impitoyable bête féroce. Et ceux pour cause de son caractère insociable, brute, et intransigeant.
Le mieux était d'utiliser la voix passive. Cela les permettrait a chacun de ne pas offensé son interlocuteur.
- vous feriez mieux de vous en allez! Repris Hamza d'une voix lassé.
- je craint que se ne soit possible ! Du moins pas tant nous ne trouvons un terrain d'entente.
Hamza frappa violemment sur le table en se levant.
- ma patience a des limites !
- parceque vous pensez que la mienne non?!
Hassan rentra en fracas dans le bureau.
- votre... votre majesté....
Sa voix se stoppa lorsqu'il vit son roi la rage qui commençait a naître sur son visage. Il se précipita vers lui.
- votre majesté ! Calmez vous s'il vous plaît !!
Monsieur je vous prie de vous en allez- je réitère mes mots ! Je ne partirai que lorsque nous aurons finir de discuté !
Hamza luttait maintenant contre ses instincts primitive pour ne pas le tué, parce d'après son frère Caled il fallait éviter les “incident diplomatique”
- vous avez vraiment le goût du suicide vous les italiens!. Fit il d'une voix glaçante.
- je vous le répète ! Je suis présent pour discuté avec vous. Répondit Flavio d'une voix calme et froide
Hassan lui avait l'impression de vivre un cauchemar ! Ces deux hommes aussi imposant l'un que l'autre ! Il se sentait de la taille d'un enfant a côté de ces deux géants de glace. Que ferais t'il s'ils commencèrent a s'affronter physiquement. Dit qu'il avait envoyé les quelques garde présent au domaine. Par Allah que fera t'il !!??
- et que voulez vous ?? Que ne vous donne m'a bénédiction !?
- je sais que vous ne divocerait pas d'elle!
- vous savez bien ! Maintenant allez vous-en!!
Il lui fallait réfléchir et vite. Bien qu'il s'était préparé a cette échange. Il était loin d'imaginer que cet homme était tout aussi amoureux de Maïssa que lui!
Même après sa discussion . Il avait pensé que c'était par fierté et orgueil qu'il souhaiterait la reprendre. Mais visiblement il c'était trompé.
Sans mots il reprit place a son siège. Et l'ironie de la situation le fit sourire. Jamais au grand jamais il avait été confronté a une telle situation. Surtout pour une femme.
Hamza regarda l'homme assit silencieusement en face qui contrairement à lui réussissait tant bien que mal a gardé son calme.
Malgré la froideur qui régnait dans son regarde il pouvait y lire une certaine tristesse et colère mêlé..
Cet homme était tant que sa attaché a sa famille ?? Pourquoi ?
Il lança un regard a Hassan qui malgré la l'appréhension qui régnait dans ces yeux était fièrement près de lui le suppliant de ce calmé.
- mon roi vous devez essayé le dialogue ! Je vous en prie. Fit il en arabe.
Respirant brouiyament il se ré-assis . Hassan leur service de précipitamment de l'eau.
A l'unisson il but sa d'un trait
- vous compliqué tout ! Commença Flavio calmement... J'avais tout prévu sauf votre retour. Si seulement j'avais connu votre identité plutôt les choses auraient été différentes.
- vous pensez que j'ai caché mon identité par plaisir ?
- je sais et je comprends pourquoi vous l'avez fait ! C'est justement ce qui me fustre ! Parceque j'aurais agir je la même façon... J'ai agir de la même façon...
Il avait terminé sa phrase les yeux dans le vide... Comme s'il était plongé dans un songe puis reviens a lui en tournant vers lui brusquement.
- j'ai échangé avec votre ancien détective et votre frère, du moindre il est venu a moi pour me faire comprendre que je devais renoncé. Je comprends maintenant votre silence et je ne peux vous jugé. Seulement je vous demande juste deux semaines...
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douloureuse retrouvailles ( Terminé )
RomanceLe pensant mort en soldat Maïssa décida de retourner dans le pays d'où elle était originaire qu'à moitié mais qui était aussi le pays d'origine de son mari , l'unique amour de sa vie pour le présenter à ses enfants qui tout juste âgés de cinq ans n'...