𝐶𝐼𝑁𝑄𝑈𝐴𝑁𝑇𝐸 𝑇𝑅𝑂𝐼𝑆

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(⚠︎︎ bonjour, livraison de "lemonade" à domicile ;) )

ℳ𝒾𝒶

J'éteins l'eau, pour sortir enfiler une culotte et mon t-shirt SZR, celui que j'ai reçu pour mon 22 ème anniversaire. J'entends un bruit étrange en me brossant les cheveux. Comme si quelque chose soufflait de l'autre côté de la porte. Comme si un taureau fulminait à deux pas de moi. Alors je repose ma brosse et avance prudemment jusqu'à la porte. Mais une voix grave me fait sursauter.

– J'en peux plus Mia.

J'ouvre directement la porte sans une once d'hésitation.

Le coude sur le montant de la porte, il m'observe de ses profonds yeux aux nuances brunes. Il a retiré sa veste et déboutonnée les premiers boutons de sa chemise, ce qui me laisse une vue direct sur son triangle de peau. Il a aussi remonté ses manches sur ses avant-bras ce qui lui donne un air sexy et négligé que j'adore. Je m'approche sur la pointe des pieds, sans briser ce silence lourd de sens. Il ne rit pas, ne rigole pas. Il est plus sérieux que jamais. Il se contente de me dévisager, me barrant le passage, de manière alliciante.

– T'es mienne mais t'es inaccessible. T'es belle et t'attires tous les regards des autres mecs. Et je ne peux même pas leur montrer que t'es à moi. Tu me rends fou Mia.

Sur ces mots, sa bouche heurte la mienne dans une brutale baiser. Ses mains me saisissent par la taille et me blottissent abruptement contre lui, ne me laissant aucun moyen de prendre la fuite. Mon dos percute le chambranle de la porte, tandis que ses doigts pressent mes hanches, puis tirent sur mon t-shirt pour le retirer. Je ne me débat pas, affamée par sa bouche qui me martyrise de coups de langue. On ouvre nos yeux en même temps et je fonds instantanément sous son regard de braise.

– J'ai tellement envie de toi depuis des semaines Mia. Ça me dévore... il chuchote d'une voix rendue rauque par le désir

Il prend ma main et l'a dépose sur sa poitrine. Malgré le tissus de sa chemise, je sens le cœur chaotique qui bat en dessous et je me décompose. Mes barrières cèdent, se désagrège, mon envie se décuple, et je lui rends son baiser, glissant mes mains dans ses cheveux longs, tirant dessus jusqu'à lui voler un grondement.

Il me soulève en passant ses mains sous mon fessier. Je noue mes jambes autour de sa taille tandis qu'il me transporte jusqu'à notre lit. Sur le trajet, nos yeux se sondent, se cherchent en même temps que nos lèvres se goûtent.

Il s'étend sur moi, sa main serpentant le long de ma cuisse. Ses lèvres courent le long de mon cou, se perdent sur l'échancrure de mes seins, puis ses paumes s'en saisissent, frôlant délicatement leurs pointes. Il m'arrache un gémissement, tandis que je me tords sous lui pour déboucler sa ceinture.

Sa bouche s'arrache de la mienne, et ses mains se figent sur le galbe de mes seins.

– T'en as envie au moins ?

– Plus que jamais Ken.

Les fossettes qui se creusent, il sourit d'un air ravi.

– J'ai pas arrêté de penser à ça toute la soirée. gronde-t-il en s'emparant de mon sein

Sa langue chaude s'écrase sur mon téton, qu'il caresse, lèche, suce. Un furieux frisson roule sur moi comme une vague sur la grève. Je me délite à petit feu sous ses coups de langues aphrodisiaques.

– J'ai rêvé chaque nuit de ce moment où tu me laisses te faire du sale.

Je ne réponds pas à ses paroles suaves, tire sa fermeture de pantalon et libère son sexe dressé qui remplit déjà ma main. Il grogne lorsque je le masse, ma main qui le masturbe sur tout son long. Mais il s'en arrache lorsque ses baisers dévalent le long de mon ventre jusqu'à ma culotte.

𝑑𝑒𝑟𝑛𝑖𝑒𝑟 𝑠𝑜𝑢𝑝𝑖𝑟 | nekfeuOù les histoires vivent. Découvrez maintenant