Chapitre 7

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Alors que le « bip » indécent qui prouver qu'Arturo était toujours en vie, les médecins observèrent la blessure et préparèrent leur matériel.
- Ça va allez docteur ? S'inquiétait Arturo. Je vais m'en sortir ?
- La balle a toucher la clavicule, elle n'a pas toucher d'organe vitaux et je ne remarque pas non plus de fragments osseux. On ne meurt pas de ça
Denver, cacher derrière son marche, interrompit le médecins :
- Dépêchez vous !
Tout comme moi, il avait peur que la blessure de Monica s'aggrave. Il ne pensait au'a une chose : récupérer un bistouri.
- Quelle anesthésie allez vous lui faire ? demanda Berlin.
- Pour éviter des complications, il vaut mieux une anesthésie générale, répondit le médecin.
- Non, faite lui plutôt une anesthésiste locale. Comme ça mon ami Arturo et moi on pourras bavarder pendant l'opération. Pas vrai Arturo ?
Plus le temps passait, plus je commençais a en avoir marre des paroles de Berlin.
L'un des hommes sortit une mini-horloge. Denver lui demanda pourquoi il utiliser cet objet.
- C'est pour contrôler le temps de l'opération. L'anesthésie locale devrait durer 25 minutes. En cas de problèmes durant l'intervention, on sauras a quel moment lui administrer une autre dose.
Denver se nomma lui même pour faire passer le matériel. Va t'il se servir de ça pour en voler un ?
Berlin continue a faire la discussion avec Arturo. En ayant marre de cette situation, je décida de m'assoir sur les marches de l'escalier juste derrière les médecins. C'est aussi pile a ce moment que je remarqua être la seule otage a être du cote de la salle avec les braqueurs. J'observa tous les otages, cacher derrière leurs masques, il était impossible de les différencier et encore moins de les reconnaitre.
Denver me réveilla de mes pensées en se retournant vers moi, je me leva et on commença a marcher pour allez jusqu'à la chambre forte retrouver Monica et Moscou.
- Tu as ce qu'il faut ? Je lui demanda.
Il sortit légèrement les objets de sa poche pour me les montrer. Quand nous furent assez loin de la vue des autres, on se mit a courir pour arriver le plus rapidement possible.
Quand nous rentrèrent Moscou était en train d'essayer de réveiller Monica.
- Papa, qu'es ce qu'il se passe ?
- Il etait temps que vous arriviez ! Elle a beaucoup de fièvre.
Monica ouvra difficilement les yeux. Denver pendant ce temps sortit le matériel qu'il avais volé. Il attrapa une seringue :
- C'est une anesthésie locale, c'est ce qu'ils ont utilisés il y a même pas une minute. Denver se tourna vers moi. Allez a toi de jouer maintenant !
Je m'avança doucement vers eux, fit le tour, et me plaça a genoux devant la cuisse abimée de Monica.
Denver approcha la seringue de la blessure en tremblant.
- C'est bon je vais le faire, je pris comme décision.
- Surveillons son poux, ajouta Moscou.
Je ferma les yeux un instant, j'allais opérer quelqu'un. Je pris une grande respiration et mes paupières se réouvrir.
- Tu me fais confiance Monica ?
Elle acquiesça d'un signe de tête. Je piqua alors instantanément, elle poussa un léger cri mais ne fit comme ci je n'avais rien entendu.
- Je sais ce que je vais faire qu'en on sortira, je vais prendre des cours par correspondances.
- Ta jamais étudier de ta vie, lui lança Moscou.
- Je dit pas que je vais faire médecine mais j'aimerais reprendra la ou je m'était arrêter.
Je souffla un léger « chut » pour que le silence revienne dans la pièce.
- Allez, c'est partit. Il est possible que ça te face mal mais je te promet de faire de mon mieux. Allez tu es forte.
Monica se détendit progressivement ta tandis que l'anesthésie fessais effet.
- Tu as dit a Arturo que j'allais bien ? Que j'était vivante ?
- Oui... enfin non je lui ai juste donner ton mot.
Je commença a ouvrir la plais, Monica ne senti rien. J'observant partout mais la balle resta introuvable.
- Il a dit quelques chose ? Demanda t'elle.
- Que c'était dingue, lui mentit t'il. Il était fou, il a commencer par dire qu' il était toujours amoureux de toi et il a ajouter que lorsque vous sortirez d'ici il t'emmènerais en Australie.
- En Australie ?
- Oui, il se demander aussi comment tu avais pu lui donner ta confiance
- L'Autralie ? C'est sa femme qui rêve d'aller la bas. En plus il sait que j'ai peur de l'avion. Elle est venu c'est ça ? Sa femme est entrée avec des médicaments ? Laura est venu ici ?
Bien jouer le mensonge Denver, tu viens d'empirer les choses.
- Il la eu au téléphone, avoua t'il.
Soudain la porte s'ouvrît. Denver se leva précipitamment et braqua son arme, prêt a tirer. Nairobi apparu dans l'ouverture, son arme pointée elle aussi.
Je resta tout de même concentré sur la blessure.
- Elle a une balle, une blessure par balle, expliqua Moscou.
Nairobi s'avança et baissa lentement son arme.
- Aïe, aïe, aïe, il faut que je vous aides !
Moscou décida de sortir, prêt a faire une crise de panique.
Nairobi s'installa a mes côtés, y allant plus franchement et efficacement que je 'aurais osé, elle ouvrit encore plus la plaie. Grâce a cela, je pu apercevoir la balle et alors le plus doucement possible je l'attrapa et la sortit délicatement.

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Bon, déjà merci. Merci parce qu'en seulement 1 semaine je suis déjà à 100 vues sur cette fanfiction 😱.
Je prend toujours autant plaisir à l'écrire et je suis vraiment très heureuse qu'elle vous plaisent à vous aussi.

C'est pour ça qu'aujourd'hui, pour fêter ça comme il se doit il n'y auras pas un chapitre, mais deux !

(Le second arrivera plus tard dans la soirée)

Merci 100 fois 🥰

Casa de papel - IlanaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant