Casa de papel - Ilana

Chapitre 5

Le coup partit,

Il partit sur le sol, a quelques centimètres de Monica.
- Merci, disais t'elle en essayant de retrouver une respiration correcte.
- Tais toi, tais toi.
Elle se releva,  s'approcha de lui et continua :
- Dit leurs que tu m'as tuer et que tu t'est débarrassé du corps. Je me cacherais.
- Te cacher ? Mais ou tu vas te cacher ?
- Dans la chambre forte. J'y ai accès, personne ne peux y rentrer. Tu leurs diras que tu m'as tuer.
- Comment s'il n'y a même pas une gouttes de sang ? Même pas de traces de sang pour le prouver.
- Tire moi dans la main.
- Non non !
- Tire moi dans l'épaule.
- Tu es complètement malade, l'épaule est trop prêt du poumon ! C'est trop dangereux.
- La cuisse, ça saigne beaucoup. Ma soeur a reçu coup de couteau dans la cuisse et sa saigne beaucoup. Dépêche toi.
Elle se tourne alors, pendant qu'il colle l'arme à sa cuisse.
- Si tu veux tu peux me mordre la main, dit il en plaquant sa bouche pour étouffer ses cris a venir.
Un second coup partit. Et cette fois ci, il a le dont de me réveiller, je pousse la porte et fais quelques pas tout en couvrant ma bouche avec mes mains, j'ai moi aussi envie de crier en voyant tout le sang qu'elle est en train de perdre. Monica gémis et Denver l'aide à s'allonger. Je ferme la porte derrière moi pour essayer d'être entendu le moins possible, et c'est seulement a ce moment la qu'ils se rendent compte que j'étais la.
- Ça va allez, ça va allez, dit t'il pendant que Monica tenter tant bien que mal de retenir ses hurlements. Ilana, tu ne devrais pas être la. Si Berlin l'apprend...
Il s'arrêta soudainement de parler, nous réalisons au même moment tout les trois que Berlin va venir vérifier, à cause des deux coups tirer au lieu d'un qui aurait du être net et précis. Je cours m'enfermer sans l'un des toilettes, espérant ne pas être vu quand il va arriver. Et c'est seulement quelques secondes après j'entend la porte s'ouvrir, j'ai réellement frôler la catastrophe.
- Deux coups de feu, s'exclame Berlin, c'est que tu sais pas viser ou c'est les blondes qui te rendent nerveux ?
- Elle ma attraper la cheville en me suppliant de pas la tuer. C'était pas facile. Tu m'as fais faire le sale boulot. T'es qu'un enfoiré, tu m'dégoute. Tu veux pas te salir les mains, tu préfère que je salisse les miennes.
- Si jamais tu pose encore la main sur moi, tu es un homme mort. Il y a une chaudière à charbon au sous sol, jète la dedans. Et ensuite tu nettoieras tout le merdier, qu'on ne voit plus une goutte de sang.
J'ai l'impression qu'a travers la porte, Berlin est capable d'entre mon cœur qui s'affole et ma respiration saccadée. Par je ne sais quel miracle, Berlin le croit, j'entend encore une fois la porte s'ouvrir puis se refermer.
- C'est bon, chuchote Denver.
Je sort aussitôt des toilettes, et observes un peu plus en détails la scène : Denver essaye de se calmer et Monica toujours allonger au sol a des larmes qui ruisselle sur ses joues.
- Il faut faire vite, je lance.
Sans répondre Denver se dirige vers la femme qu'il a faillit tuer et l'aide a se relever.
- Je ne peux pas marcher, bégaye t'elle.
- Je vais te porter alors.

Peu de temps après, non sans avoir vérifier si la voix était libre. Nous nous dirigions tout les trois vers l'une des chambres fortes. Je ne sais pas vraiment a quoi je sert dans toute cette histoire, mais je ressent le besoin de les aider.
Devant moi, Denver porte toujours Monica.
- C'est la ? Lui demande t'il.
Elle acquiesces puis il la dépose le plus délicatement possible au sol.
Monica essaye d'ouvrir la chambre forte grâce a son empreinte, mais le sang qui se trouve sur ses mains l'empêche de réussir.
- Ça marche pas ? Commence a s'inquiéter Denver.
Apres avoir essuyé le sang, elle parvint a taper son code. Un voyant rouge s'allume aussitôt.
- Ça y est, dit il avant d'ouvrir la chambre.

Apres avoir installer Monica le plus confortablement possible. Denver et moi étions remonter dans les toilettes pour nettoyer le sang qui s'y trouver. Alors que le sol était enfin propre, et qu'il était en train de nettoyer ses vêtements, des cris resonnerent dans le couloir :
- Moscou attend ! Je reconnu la voix de Berlin. Pour la dernière fois, retourne a ton poste.
Je m'approcha de la porte pour mieux entendre la discussion.
- Qu'es ce que tu va faire ? Demanda Moscou. Tu vas me tirer dessus ? Et après ça seras qui ? Tout le monde ? Tu veux te retrouver seul dans cette endroit ?
Plus personne ne parlaient. La porte s'ouvrît alors. Moscou avança doucement dans la pièce en direction de son fils.
- Fiston. Tu as tuer cette femme ?
Denver se retourna. Berlin se trouver derrière Moscou, il ne pouvait donc pas dire la vérité, il allait être obliger de lui mentir en le regardant droit dans les yeux.
Denver affirma seulement d'un geste de la tête. Moscou commença a se sentir mal et a hyper-ventilé.
- Papa ? S'inquiéta Denver.
Moscou s'agrippa au mur .
- Je manque d'air, souffla d'il en s'assaillant a même le sol a bout de souffle.
- Papa, papa, qu'est-ce qu'il t'arrive. C'est un infarctus ? Tient bon papa.
- C'est juste une crise d'angoisse, allonge le, interrompit Berlin.
Je m'avança pour les aidés.
- C'est rien papa, ça va allez. Détend toi.