Je commença a paniquer, quelqu'un s'est fait tirer dessus, et j'ignore qui ça peu bien être. Je me leva sans demander la permission, mais de toute façon personne ne me vit. Du fond de la salle du hall j'entra dans une salle aussi grande situé a côté.
Dans un brouhaha, ils arrivèrent dans cette même piece en portant quelqu'un dont je n'arrivait pas encore a voir le visage mais qui gémissait de douleur. Quand il le posèrent sur une table d'opération je pu reconnaître cet abrutit de Arturo, je pensa au fond de moi que c'était vraiment bien fait pour lui. Espérons que ça lui serve de leçon !
Tokyo arriva au même moment avec des médicaments et objets d'opération.
- Arturo, restez avec nous, disait Tokyo.
Celui ci était bien avec nous, aucun doute, ses cris a travers la pièce le prouvait bien.
- Il faut que je parle a ma femme, suppliais t'il en pleurant. Je doit lui parler, je vous en pris.Pendant que les autres s'occupaient d'Arturo, Moscou, Denver et moi étions en train d'allais voir comment allez Monica. Arrivée devant, la porte était bizarrement entre ouverte.
J'entra dans la chambre forte en première :
- Elle n'est plus la !
- Bordel où es ce qu'elle est ? Demanda Moscou en rentrant a son tour.
- Oh putain elle s'est échapper la salope ! S'énerva Denver.
Apres être ressorti, nous partions a sa recherche. Arriver au toilette, on la trouva, assise sur l'un par terre en train de vomir.
- Monica ! Hé hé ! Qu'es-ce que tu fais la ? T'es digne !
- Je me sentait pas bien, se justifia t'elle. J'ai cru que c'était les médicaments qui passaient pas.
- Les médicaments, c'est surement ça ouais, les médicaments... Rajouta Moscou en mettant sa main sur son front. Elle est bouillante comme une cafetière.
- Il faut la sortir d'ici en vitesse.
- S'il vous plais laisser moi. Je veux juste être seule un moment. S'il vous plait.
Denver se leva et sortit des toilettes et a ce moment la Monica recommença a vomir.En dehors des toilettes, Moscou et Denver commençaient a discuter :
- Comment elle va ? Demanda t'il conseil a son père.
- Pas super bien apparemment, je dit.
- Effectivement, pour moi c'est pas normal. Il faut extraire la balle ou elle en a plus pour longtemps.
- Relaxe papa, relaxe ! Elle va s'en tirer.
- Pourquoi tu lui a tirer dessus ?
- Parce que Berlin allez l'abattre. J'avais pas d'autres solutions.
- Le fils de pute ! S'il voulais sa mort, il avait qu'a faire le travail. Nous on est des voleurs, on est pas des tueurs. Comment on a réussi a se foutre dans cette merde bordel ?
Denver rassura son père et il alla toquer a la porte des toilettes Monica.
- Tu as terminé ?
Elle ouvrit la porte, et Denver l'attrapa pour la porter.Sur le chemin Monica commença a parler :
- J'ai entendu un coup de feu.
- C'était les fliques, expliqua Denver. Ils ont tiré sur un otage.
- Un otages ? Le quel ? Sur qui ils sont tirés, dit le moi.
Moscou ouvrit la porte du coffre, et nous rentrèrent, tandis que je répondit :
- Le chef de la fabrique.
La respiration de Monica s'accéléra.
- Arturo ? Demanda t'elle. La police a tuer Arturo ?
- Non juste blessé, la rassura Denver.
- Ça va allez ? Il est vivant ? Et il va bien ? T'es sur ?
- Il va bien ouais. Ils envoient un chirurgien avec une équipe. Ils vont l'opérer.
Moscou lui donna un cousin, et elle continua a parler :
- Il faut que tu lui dise que je suis vivante. Il faut que tu lui dise. Tu m'entend ?
- Inutile d'allez lui dire si vite, expliqua Moscou. Ça va très bien se passer pour toi, et pour lui il n'y auras aucun problème. Tu es une fille forte et tu es sauvée. Détend toi.
- Il doit croire qu'a cause de lui on nous a fait du mal. Que j'ai pris le téléphone parce qu'il me la demander et que par sa faute je suis morte. Dit lui que je suis vivante, d'accord ?
Denver aquisa mais elle continua :
- Et que son fils aussi.
Les traits du visage de Moscou tombèrent aussitôt :
- Tu es enceinte ?
Monica répondu d'un geste de la tête, Moscou regarda Denver :
- Très bien. Félicitations.
- Donne moi de quoi écrire, demande t'elle.
Denver déchira aussitôt un bout de papier et lui donnas avec un stylo. Monica commença a écrire.
- Il faut qu'on extrait la balle, informa Moscou.
- Fait le toi papa, tu as plus de sang froid.
Les yeux de l'homme le plus âgé se posèrent sur moi.
- Non moi je ne saurais pas faire, mais elle, elle peux le faire. Il nous faut juste la trousse de premier soins du professeur. Tu sais qui la prise ?
- Je crois que c'est Berlin. Fait chier. Il va se demande pourquoi il nous la faut !
- Et les chirurgiens, va leurs piquer un scalpel, allez !
- Non non mais ça va pas être possible, j'enlève la balle de personne moi, je m'exclama. J'ai jamais fais ça de ma vie ! J'en suis incapable !
- Il existe une première fois a tout, relativisa Moscou.
- On ne peux compter que sur toi, nous on t'expliqueras, et toi tu le feras.
J'appuya mon dos contre le mur. C'est impossible. Je n'arriverais pas a faire ça.
Denver se leva.
- Attend s'il te plais, une minute, supplia Monica. Donne ce mot a Arturo, je t'en pris.
Il l'attrapa en lui fessant un bref sourire. Puis son visage se crispa et il me dit :
- Toi aussi, monte avec moi.Peu de temps après, nous étions retourné a l'étage, ou se trouvais Arturo. Toujours sur la table, il avait l'aire de ne pas se porter si mal que ça.
- Arturo, s'approcha Berlin. Ta femme s'appelle comment ?
- Laura.
- Comme c'est mignon, et bien tu va pouvoir lui raconter tes malheurs. Les épouses sont la pour ces moments la. Elles sont réconfortantes. Bon il faut reconnaitre qu'elle ont tous un peu tendance a les oubliés quand on est en train de draguer mais quand on a un problème, un accident ou qu'on a tout simplement la trouille ça change la donne. Quoi ? C'est a ta secrétaire que tu penses la ? C'est va ? Rigola t'il. Non... dans ta situation, qui penserais a sa maitresse qui est en train de se faire avorter ? Ou...
- Ça va allez, l'interrompit Arturo. C'est pas le moment des discours.
Berlin sortit son arme et l'appuya sur la blessure d'Arturo qui hurla de douleur.
- Ecoute moi. Encore une connerie comme ça, et je t'explose le coeur.
Pour une fois que je suis d.accord avec Arturo... J'en ai marre de ses discours, je le penser si différents...
Berlin donna un téléphone a l'homme allonger.
- Tient c'est pour toi Arturo.
Il l'attrapa et le plac a son oreille :
- Bien... Je vais bien...Oui...Ils laissent entrer des médecins pour m'opérer...Oublie tout ça chérie...On s'en fiche...C'est de ma faute tout ça...Je sais qu'entre nous ça va pas trop et ça fait un moment que ça dure...Que je suis pas la pour les enfants...Que je suis égoïste...Je sais...Mais je te promet que ça va changer tu peux me croire...Je te le promet chérie...On iras en Australie...Peu être que la bas les gamins apprendrons a parler anglais....Et luis on iras voir les kangourou...C'est la première chose qu'on feras quand je sortirais... Je te le doit bien...Et je le ferais pour toi, parce que je t'aime, je pense a toi, a toute ces nuits passer a chercher le bonheur en marchant et dans mon boulot. Alors que la seul chose qui comptait c'était toi mon coeur...Et ça a toujours été toi, du jour ou tu m'as sourit, j'ignore ce qu'il ta pris d'ailleurs...J'en sais toujours rien mais je ne l'oublierais jamais Monica...
Un gros blanc s'installa, il s'était tromper de prénom le con, il avais appeler sa femme par le nom de sa maitresse.
- Laura... Essaya t'il de se rattraper, même si c'était déjà trop tard.
Arturo raccrocha. J'observa la main de Denver, froissé le papier que Monica lui avait donner quelque minutes plus tôt,et le ranger dans le fond da sa poche
Puis sa femme raccrocha. Berlin se mit a rire :
- Il faut avouer Arturo que t'en as une sacrée paire, ta secrétaire...Et ta femme qui attend le retour de son amour chéri dans son foyer. Tu es une légende, Arturo, je t'assure.
- Berlin, interrompit Nairobi, les médecins sont arrivés.
Rio du emmener Alisson dans une autre pièce. Tandis que nous, nous enfilions notre masques de Dalí.Les portes s'ouvrirent et chirurgiens entrèrent avec toutes les armes pointés sur eux. Se retrouvant face a quelques braqueurs et des otages dont je fessais partit. Je commencer a réellement prendre goûts pour cette histoire.
- Entrez, cria Nairobi. Posez tout vos sacs par terre.
Les portes se fermèrent derrière eux et il exécutèrent les ordres. Ils furent fouillés, et pendant ce temps Helsinki introduisit un micro dans les lunettes de l'un des hommes. Et ensuite ils les emmenèrent la ou se trouvait Arturo.
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Casa de papel - Ilana
FanficLors d'une visite scolaire, Ilana et sa classe sont victime d'un braquage. Changeant à tout jamais sa vie. Tout ce qu'elle croyait connaître se retrouve bouleversée, son père la t'il vraiment abandonnée ? Et t'il si mauvais que ça ? Saison 1 & 2 + s...