Vu que tout le monde était maintenant au courant que Monica était vivante, Denver décida d'organiser des retrouvailles entre elle et Arturo.
On alla le retrouver dans une pièce ou il attendait avec Helsinki. Des qu'elle entra, les yeux d'Arturo se mirent à briller et il porta ses mains à sa boucle.
- Helsinki, tu viens, ils ont de choses a se dirent.
On sortit et Helsinki partit ailleurs, sûrement pour aller exécuter d'autres ordres de Berlin. pendant ce temps Denver et moi attendions devant la porte, sans se parler. Denver avait le dos appuyé contre le mur et les yeux dans le vide, songeant. Ne supportant plus le silence, je le brisa :
- Tu l'aimes ?
- De quoi ? Demanda t'il en levant la tête d'un geste vif.
- Monica, tu as des sentiments pour elle ?
Il se redressa, et marcha en passant devant moi jusqu'à me tourner le dos :
- De toute façon ça changerais quoi, elle a Arturo.
- Tu as vu comment elle te regarde ? Et comment elle le regarde lui ? Tu as vu tout ça ? Elle ne vous voit pas de la même manière. Quand elle te voit, a chaque fois, ses yeux brillent et elle a toujours le sourire !
Il allez répondre quand la porte s'ouvrît. Arturo sortit tous sourire, suivis par Monica qui elle avait l'aire triste. On retourna dans la salle commune des otages et je m'assya a cote de mon ami, loin de Arturo :
- Je peux te parler de quelque chose ?
- Je t'écoute, me répondit Monica interloquer.
- Tu ressent quoi pour Arturo ?
- Pour être franche, avant j'avais de l'attirance pour lui, j'avais des sentiment aussi. Je pensais être amoureuse.
- Et c'était pas le ça ?
- Maintenant je me rend compte que c'était pas de l'amour que j'avais pour lui, c'était de l'admiration. Et cette admiration s'est dissipée. Tout a l'heure, me confia t'elle en parlant moins fort, dans la salle quand on s'et revu pour la première fois, il me touchait et se frottait contre moi. Je n'ai pas osé lui dire d'arrêter, il avait l'aire si heureux. Mais je me suis senti violer.
Je l'entoura de mes bras, essayant de la réconforter. Elle paraissait choquée de se qu'elle avait vécue et c'était bien compréhensible. Elle rendit mon étreinte.
- La prochaine fois tu refuse, d'accord ? Tu n'as pas a t'obliger, pour personne.
Je décida de ne pas parler de ma discussion que j'avais eu avec Denver quelques minutes avant. S'il voulais lui en parler, c'etzit a lui de la faire.J'appris que Raquel, la femme qui s'occupait de l'enquête sur le braquage qui était en train d'avoir lieu, allez rentrer dans la fabrique pour parler a tous les otages et ainsi avoir de preuves de vies de chacun.
Quelques minutes après elle était déjà la. Tokyo, Rio et Berlin, qui avaient déjà été démasquer par la police n'avais plus besoin de se cacher, c'est alors eux qui allèrent la fouiller a son arrivée. Les otages passés les un après les autres pour lui parler des conditions de vies et des braqueurs.
Venu le tour de Monica, j'observa de loin son entretient avec la policière. Elle devait s'efforcer de ne pas boiter, pour ne pas montrer qu'elle s'était fait tirer dans la jambe. De la ou j'était je ne pouvais pas entendre ce qu'il se disais, mais je pouvais tous voir. Monica se posta bien droite devant la femme. Après avoir parler pendants plusieurs minutes, l'inspectrice se leva, c'était la première fois depuis le début de l'interrogatoire qu'elle quittait son siège. La femme continua a lui parler, et tandis que d'un sourire poli Monica hochait la tête, sa main s'était porté a sa blessure, lui fessant apparemment horriblement mal a force de rester debout. Berlin, qui avait du qui aussi remarquer ce détail, se leva a son tour et mis fin a l'entretient.C'était maintenant a mon tour. Je suivis Tokyo et Rio, puis ils m'emmenèrent jusqu'en bas des marches du grands escalier. Je me retrouva en face de Raquel et de Berlin, tout deux assis sur des chaises l'une a cote de l'autre.
- Bonjour, votre nom s'il vous plais.
L'inspectrice était une femme aux cheveux châtains. Elle avait un visage fermé et épuisé, montrant l'acharnement qu'elle devais lettre dans cet enquête.
- Ilana Cordoba, dis-je en prenant une voix la plus assurée possible, je fais partit des élèves de la classe qui était en sortit.
- Bien, et comment vas tu ?
- Tout vas très bien, je mange correctement et j'ai pu dormir.
- Rien d'autre a déclarer ?
- Rien d'autre, j'affirma en osant même un sourire forcé pour insister sur ma bonne santé.
Je me retourna et remonta les marches lentement. Es ce qu'en mentant sur la bonne santé de Monica, ça signifier être complice avec les braqueurs ?
En haut je retrouva Denver, il attrapa le nécessaire pour soigner Monica et on alla la rejoindre dans un salle avec un bureau. Sur le chemin, je parla a Denver :
- Es-ce que tu me fait confiance ?
Il tourna la tête vers moi, intrigué de mes propos :
- Comment ça ?
- Je veux dire, avant tu n'était pas trop pour que je te suives partout, mais tu était obliger pour Monica. Et maintenant, ça a changer ?
- Je me suis attacher à Monica, et à toi aussi. Mais je ne permettrait à personne de faire foirer ce plan, alors si jamais l'une de vous deux me désobéis, je perdrais tout attachement. Vous restez sous mes ordres après tout.
Ces mots étaient cru et difficile a avalé. Denver était avant tout un braqueur, et il était normal que l'on passe au second plan dans cette histoire. Mais pour une question que j'ignorais encore, j'aurais eu envie d'avoir plus d'importance pour lui.
- Et pour l'instant tu n'as qu'a faire quelques points à Monica pour réparer sa blessure qui s'est réouverte.
- Denver ? Dit-je en arrêtant net de marcher, les yeux dans le vide.
- Oui ? Répondit t'il en s'arrêtant a son tour et en se tournant vers moi.
- J'ai... la phobie des aiguilles, je ne peux pas recoudre Monica.
- Je ne suis pas assez précis, je ne peux pas le faire. Quand tu lui à enlever la balle c'était super. Alors tu es obliger, je suis désolé.
Mon regard se tourna vers lui, un regard pleins de larmes et de peur qui entra en contact avec ses yeux bleus.
- Je t'en pris, ça je ne peux vraiment pas. Je suis vraiment capable de beaucoup de choses, mais les aiguilles je ne peux pas. Je n'en suis pas capable. S'il te plais, ne m'oblige pas.
Pris d'un élan, je m'approcha de lui sans réfléchir et le seras dans mes bras. Après seulement quelques secondes de réflexion, il me rendit ma tendresse en passant ses bras autour de mes épaules. Des larmes chaudes coulèrent le long de mes joues.
Il mis fin au câlins peu de temps après, et me tenant toujours en face de lui, ses mains sur mes bras, il déclara :
- D'accord, je vais essayer le faire. Ne te met pas dans cet état la, tout va bien se passer.
J'acquiesça et il se mit a remarcher quand je le re arrêta :
- Berlin me fait peur.
Il se tourna et se re rapprocha de moi.
- Il ne te feras rien, j'y veillerais. Je te le promet. Tu est une fille très courageuse, tu sauras réagir face a lui.
Même si j'en doute, nous nous remettons a marcher cette fois ci sans interruptions.Arriver devant la porte, Denver ouvra brusquement et entra dans la pièce. Je le suivis et observa autour de moi. Arturo avait un aire suspect mais je ne pouvais pas le confirmer manquant de preuve concrètes.
- On ma dit que tu avais une plaie ouverte, demanda Denver a Monica.
- Oui, j'ai voulu éviter de boiter pour que l'inspectrice s'en rende pas compte, et je crois que ça s'est réouvert.
- Tu veux bien que je jète un oeil ?
- Ouais, pas de problème.
Monica descendu la fermeture éclaire de sa combinaison rouge quand Arturo s'exclama :
- C'est nécessaire qu'elle se déshabille ?
- Comment tu veux qu'il me soigne sinon ? S'étonna Monica.
Je m'asseilla et continua a observer Arturo du coin de l'oeil, quelque chose ne tourne pas rond.
Denver sortit les aiguilles et il commença à la recoudre, je m'obligea à tourner la tête pour ne pas voir ça. Malgré mon envie de vomir et mon impression de pré-malaise je réussis à garder le contrôle sur ma peur irrationnelle.- Bon je t'ai fais des points, c'est pas parfais mais il n'y auras pas besoin de les refaire. C'était prévu que ça soit Ilana qui te les fassent mais elle n'a pas pu.
- Je comprend pas, interrompis Arturo, vous êtes chirurgien maintenant ?
Exaspérée je lui répondit :
- T'en as pas marre de toujours avoir ton mot a dire ? Tu peux pas la fermer de temps en temps ? Pour le bien de tous, je t'en pris.
- Je veux dire, vous avez lavé vos mains avant ? Se rattrapa t'il maladroitement.
- Mais bien sur que oui Arturito, le surnomma Denver. Pour qu'elles soient propres quand je t'en colle une dans ta face.
- J'ai la tête qui tourne, annonças Monica. Si je pouvais retourner là ou j'était pour me reposer.
Denver fut d'accord. Il se levèrent tout les deux.
- Ilana, tu viens ? Me demanda t'il.
- Hum, non, c'est bon, je préfère rester ici pour l'instant. Je m'y sent bien.
En réalité, si je voulais rester ici, c'était juste pour savoir ce que trafiquer Arturo.
- Bon d'accord. Si jamais tu nous cherches, de toute façon tu sais où on est.
Je lui fit un sourire et ils sortirent de la salle, Monica dans les bras de Denver pour l'éviter de marcher. La jalousie s'emparait de Arturo.
Aussitôt que la porte fut fermé derrière eux, il se précipita pour parler a Alison :
- Ecoute moi, c'est pas négociable. Il faut que tu le fasse, pour tous. Franchement tu veut continuer à être la cible de tous tes camarades de classe ?
- Qu'est-ce que vous en savez ? S'énerva t'elle.
- Je le sait, rigola t'il, comment il se moche de toi, comment ça parle derrière toi. J'ai tout vu, j'ai vu qu'il te traite comme un moins que rien. Et tu peux tous changer, aujourd'hui, tout de suite, c'est entre tes mains. Tu as la possibilité de changer ton destin. Mais tu doit suivre mon plan, d'accord ? Tu doit absolument te cacher dans ce coffre, tu m'entend ?
Jouer avec la sensibilité et les sentiments des gens c'est vraiment pas quelque chose que je conçois, Monica et maintenant Alison... Je vais lui casser une dent un jour, voir même peu être deux.
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Casa de papel - Ilana
FanfictionLors d'une visite scolaire, Ilana et sa classe sont victime d'un braquage. Changeant à tout jamais sa vie. Tout ce qu'elle croyait connaître se retrouve bouleversée, son père la t'il vraiment abandonnée ? Et t'il si mauvais que ça ? Saison 1 & 2 + s...