Tandis que les après-midis servaient plus souvent à faire des cours beaucoup moins théoriques comme par exemple une immersion dans une cuve d'eau :
- Non non non, il y a aucun moyen que je descende la dedans ! Disais Denver. On passe pas par ce trou de souris là, on pourras plus sorti.
- On sortira comme on est rentré, expliqua Bogota. Allez grouille.
- Et puis ça pu en plus, sans déconner il y avais quoi là-dedans ? Des pesticides ou de l'eau de javel ? Tu trempe deux minutes on repêche que ton squelette !
- C'est de l'eau ! S'écria Nairobi.
- Et mon cul c'est du poulet ? Tu me convaincra pas de descendre la dedans !
- Ça serais plus facile de d'entraîner dans une piscine, mais ça servirait à rien. C'est plus dut de descendre dans cette cuve, continuer Bogota qui s'asseya en se mettant à fumer. Mais là-bas il seras pas question d'avoir peur.
- J'ai pas peur, c'est pas ça le souci.
- Non ta pas peur, tu te chie dessus.
Il lu tendis une cigarette et Denver la pris volontié, puis m'en proposa aussi une.
- Non merci, je fume pas.
- Dommage pour toi, tu sais pas ce que tu rate. Mais Denver, le truc c'est que tu es devenu père.
- Ouais c'est vrai. Je doit dire que je suis d'accord avec toi sur ce coup la. Avant je sais que tu aurais foncé sans réfléchir, t'es plus pareil.
- Ben avant s'il m'arrivait un truc c'était que moi que ça impliqué, tu vois ce que je veux dire ? J'étais pas le dernier pour faire des conneries, c'est sur que je serais allez sans la citerne. Mais c'est fini.
- Tu sais ce que c'est un bon père ? C'est quelqu'un qui se conduit comme s'il n'avais jamais eu de gamin.
- C'est ça, rigola méchamment Denver. Ouais, et qui rentre de soirée complètement défoncé au p'tit matin.
- Si ton truc c'est de faire la fête toute la nuit, c'est important que tu continues. Sinon tu finiras par en vouloir à tes enfants. Et là, tu seras un mauvais père.
- Tu sais ce que tu devrais faire Bogotta ? Blagua Nairobi. Tu devrais écrire un livre ! Du genre « comment être père sans arrêter la drogue »
On se mit à rigoler et elle continua :
- Laisse moi deviner, ta pas d'enfants ?
- J'en ai 7..., il déplia des photo dans son porte feuille, semence de qualité premium.
- Vous allez me donner la nausée tout les deux ! S'écria Nairobi.
Il présenta un a un ses enfants du plus grand au plus petit blaguant sur chacun d'entre eux.
- Je précise que je veille sur eux, mais sans me trahir pour autant. Bon d'accord je suis pas la au match de foot du dimanche ou à la pièce de fin d'année de leurs écoles. Mais bon, quand je me pointe par surprise au bout de six mois ou un an sans avoir demandé le moindre signe d'affection. Tu peux être sur qu'ils me sautent au cou et qu'ils me couvrent de câlins à chaque fois. Pourquoi à votre avis ? Parce que je qui leurs paternelle c'est tout. Faut pas renoncer à son ADN, jamais. Braqueur un jour, braqueur toujours. Si tu risqué ta vie avant, tu doit continuer.
- Tu en penses quoi toi ? Me demanda Denver.
- Sûrement que Bogota à raison, après je parierai pas sur de la science exacte, mais... évite de faire 7 enfants quand même s'il te plais.
Il ria et on changea de sujet.Un jour qui suivit on aborda le sujet à propos de Rio :
- S'ils le relâchent, il est fort probable qu'ils lui ai implanté un micro. Si quelqu'un a le moindre doute, le mot clé a savoir sera « petite vacances », commença le professeur.
- Une balise GPS cachée dans un implant dentaire, un micro à l'intérieur d'un tissu musculaire, dans le crâne ou n'importe où ailleurs, continua Lisbonne.
- Quelque soit l'emplacement, on va vous apprendre à l'enlever.
On se déplaça pour allez dans un salle à côté. Sur une table au centre se trouvait un cochon mort. L'odeur était épouvantable.
- Qui se lance ? Demanda le professeur.
- Moi je peux pas, déclara Marseille.
- Qu'est-ce qui te pose problème ? Ria Nairobi
- Disons que j'ai des principes. Je suis opposé à la souffrance animal.
- Tu es soldat, ton boulot c'est de tuer des gens, je voit pas ce qui pose problème, continua Palerme.
- Les humains c'est une choses, les animaux s'en est une autre. J'ai de l'affection pour eux.
- Un assassin qui défend les animaux ? Demanda Bogota.
- Est-ce que j'ai le droit de penser comme je l'entend ou es ce que tu soit me dire tout ce que je doit faire ?
- Au sujet de ton amour pour les animaux ? Alors écoute, voilà ce que je vais te dire, si tu l'aimes vraiment ce cochon, tu prend un couteau, tu récupères la puce et ensuite avec tout l'amour du monde tu le bouffes.
- Je ne toucherais pas ce cochon, déclara t'il. Quand j'était à la guerre, j'avais un chien a mes côtés. Les hommes se sont découragés, le chien lui jamais. Je me suis fait une promesse : « Ne touches pas à ce cochon ».
Denver l'attrapa par le bras et lança :
- Tu es un tueur ou pas ?
Marseille le saisit violemment à son tour'en le menaçant avec un visage fermé. Tout le monde se mit à crier pour les arrêter.
- Tu me touches encore une fois et c'est toi que je vais ouvrir de la tête jusqu'au pied !
- Pourquoi vous voulez absolument que ce soit Marseille qui face ça ? J'intervenue. Il seras même pas dans le bâtiment. !
- Marseille, le bistouri ! Lança le professeur. Et sortez tout les deux.
- Moi ? Cria Denver comme l'aurait fait un enfaite. Mais c'est ça faute à lui, il veut pas ouvrir ce cochon.
- Sort ! Insista t'il.
- Ok je sort mais si...
- Sort !
Il s'exécuta aussitôt et le professeur continua :
- Bon peu importe qui si colle, vous avez seulement quelques minutes pour localiser la puce et pratiquer l'intervention. Qui veux essayer ?
- Moi ! Je lança en m'avançant.
- Très bien alors toi Sydney, tu vas opérer. Et... Helsinki tu vas passer le détecteur pour trouver où se trouve le micro.
Helsinki s'avança aussitôt, il passa la machine et le trouva rapidement. Je commença a opérer tandis que Nairobi et Tokyo se proposèrent comme assistantes pour me passer le matériel. Après quelques minutes, le micro fut enlevé le plus délicatement possible et je me mis à recoudre la plaie. Durant ces trois ans j'avais réussie à surmonter ma phobie des aiguilles, bien que cela me donne encore parfois quelques vertiges. Quand j'eue finis, le professeur me félicita et tous applaudirent comme si j'avais réussie un exploit.Le professeur nous prépara finalement à toutes les possibilités, même ceux qui paraissaient les plus improbables ... :
- A un certains moment, Lisbonne et moi, nous seront noyés sous la pression que les policiers nous mettront.
- On auras l'armée sur le dos en plus de la police, continua t'elle. Et il se peut que ça tourna mal.
- C'est pour cela que nous avons le plan Alcatraz, si nous nous retrouvons dans une situation critique, il faudra absolument que vous créiez la plus grande diversion possible très rapidement.
- Le but est que la police ne pourras pas chasser deux lièvres à la fois. Et la seule chose qui oit aussi importante a leurs yeux que nous deux...
- J'imagine que c'est nous, tenta Tokyo.
- S'ils pensent que vous vous échappez, ça seras le plus gros coup de pression qu'on peut leurs donner. Ça va les rendrent dingues. Sur Rio, ils auront placé au minimum un micro et un capteur qui tournerons à notre avantage. Ils vont ressentir notre fuite. L'ouïe mêlée à la peur est le plus grand générateur de paranoïa ! Et là on pourr leurs faire croire n'importe quoi. Imaginez, cette fuite c'est de la tension, de l'excitation, de l'obscurité et de l'échos. Dans une galerie il y a des flaques, on doit mettre tout les détails. Ils doivent y croire. Et leurs oreilles vont installer tellement de doute en eux qu'ils vont avoir besoin d'un autre sens : la vision. Et c'est à ce moment précis qu'un nouveau membre entrera en action, Sofia ! Nous l'équiperons d'une puce de localisation et nous la préparerons tout en continuant à brouiller leurs sens de l'ouïe. Ils ne penseront qu'à une seule chose parce que la comparaison est évidente, et ils ne vont pas aimer ça ! Et alors quand arriveras la moment, on les piégeras vraiment, on relâchera Sofia. Puis nous couperont le micro et il ne leurs resteras que le satellite. Par conséquent, l'option qu'il leurs restent seras de suivre le signal GPS, ils iront donc là où va Sofia.Les journées passées vites, et dès que j'avais du temps libre j'allais m'entraîner à tirer, j'en étais même devenue plutôt forte.
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Casa de papel - Ilana
FanfictionLors d'une visite scolaire, Ilana et sa classe sont victime d'un braquage. Changeant à tout jamais sa vie. Tout ce qu'elle croyait connaître se retrouve bouleversée, son père la t'il vraiment abandonnée ? Et t'il si mauvais que ça ? Saison 1 & 2 + s...